Le parc

Kyo sourit à la réflexion de Ramrod.

"Oui, c'est une technique ancestrale passée de générations en générations. Un savoir faire unique, une maitrise qu'avait enseigné le père de ma mère de mon père de la soeur..."

Il stoppa son discours, jetta un oeil à ses deux interlocuteurs et pouffa de rire.

"Non, je blaguais, c'est en effet moi qui les prépare et vous trouverez la recette dans ce livre."

Ce sur quoi il tendit le bouquin : * La boulette de Riz pour les nuls *
Et, finissant de rire.

"Content que cela vous plaise."

Invité

Ramrod sourit à la boutade de Kyo.

Bien joué, Kyo. Cela n'enlève cependant en rien la qualité de tes petits mets.
J'ai bien failli croire à ta "technique ancestrale" ...

Puis il tapota le sable à côté de lui, et se leva d'un bond.

Sur ce, Messieurs, je vais devoir vous laisser, la populace Aëringorienne me manque de trop, je vais me rapprocher de la Cité pour fureter dans les rues.
Et puis, il faut bien que je m'occupe des Ateliers, les commandes doivent s'amonceler.

A très bientôt ? Ominoe, Kyo ..., fit-il, accompagné d'un geste de la main, en s'éloignant.

Invité

Spoiler:

Sephiroth sourit à l'elfe qui se tenait assise devant lui, souriante. Lorsqu'elle lui avoua son plaisir d'être ici , son sourire s'élargit et il lui répondit:

- Je me ferais un plaisir de vous inviter à nouveau si cela vous tente...J'aime ces soirées quelque peu magiques, où tout est silence et beau...surtout l'invitée, si je puis me permettre...

Il fut gêné de s'être laissé emporter dans sa lancée, et s'arrêta de parler alors même que les mots, les phrases se bousculaient dans sa tête...Il avait tant de choses à dire, mais beaucoup de choses assez...futiles, indignes d'être prononcés parce que banales, lourdes, ou autre. Bref, il inventait X raisons de ne pas se livrer, et il s'en voulut...Lorsque la musique cessa et que les domestiques débarassèrent la table des reliefs du repas, il s'assombrit...

- Je crois que le moment pour vous et moi est venu de prendre congé...Apprenez que cette soirée me fut fort agréable...J'espère que vous accepterez ma prochaine invitation.

Lorsqu'il lui dit au revoir, Sephiroth frôla les lèvres d'Idrial avant de disparaître dans l'obscurité du parc...Un sifflement et les yeux d'un loup se firent voir avant de disparaître à leur tour...
Sur la table, Idrial pourrait trouvé ce mot, déposé subrepticement sur la table avant son départ:

* Merci pour cette soirée.*

Invité

Dyraa entra dans le parc, seul, enfin ... en compagnie de Alkvar, son nouveau Saint Bernard. Ce dernier avait besoin de se dégourdir un peu les pattes. Son poil était aussi doux que sa truffe était mouillé.

Comme à son habitude, Dyraa vint s'asseoir sur le banc face au lac, la lune et les astres lointains se reflétaient dans l'eau limpide de cette étendue glaciale.

Alkvar se mit soudain à courir après ce qui semblait être un lièvre. Ce spectacle divertissait grandement Dyraa, voir ce contraste entre la lourdeur et l'allure massive du chien et la vélocité ainsi que la finesse du lièvre ... Mais étrangement, le gros chien réussit à attraper "sa proie", mais plus grande fût la surprise de Dyraa quand il vit que son compagnon ne fît que lécher l'animal avant de le relacher. Le lièvre, comme reconnaissant, ne cessa de tourner autour du chien, ce qui semblait être pour lui un jeu.

Invité

[HRP]Le Role Play est une forme d'écriture qui se travaille au même titre qu'un texte.

Un post de trois lignes est tout sauf du RP, c'est fade et sans aucune qualité, ça appauvrit forcément les réponses des suivants qui n'ont pas matière à rebondir sur du vide. De temps en temps, c'est toléré mais certains ici ont la facheuse tendance de le faire partout. Postez moins mais postez mieux si vous voulez que l'arbre des grands évènements perdure. Soyez imaginatifs et pas paresseux. Des règles précises vont devoir être instaurées si vous n'êtes pas capables de respecter ces bases. [HRP]

Idrial ne savait plus quoi faire maintenant. Elle soupira en se laissa tomber sur sa chaise. Elle posa sa tête dans ses mains en fixant la table, le regard perdu dans le vide. Seulement, celui-ci fut attiré par un petit bout de papier disposé au centre de la table. L'elfe haussa un sourcil puis se redressa. Elle se saisit du papier et parcourut du regard les quelques mots inscrits dessus. A nouveau, un sourire se dessina sur ses lèvres.

Non, c'est moi..., murmura-t-elle pour elle-même.

Au final, l'elfe s'en alla pour laisser aux domestiques le soin de tout remettre en ordre sans être déranger. Elle avait décider de se dégourdir les jambes...Et puis, comment décider autrement lorsque l'on se retrouve dans un endroit beau comme ce parc ?
Alors, Idrial longea la lisière de la forêt qui encadrait le parc et se dirigea vers le point d'eau qu'elle avait repéré quelques temps auparavant. La lune était déjà haut dans le ciel et elle se reflétait dans les eaux calmes du petit étang. Cependant, l'elfe pensait qu'il y avait encore plus beau à voir en cet endroit et ne s'attarda pas plus longtemps. La pâle clarté de la Lune éclairait le parc d'une manière tout à fait fascinante. Elle donnait une allure mystérieuse aux eaux, pourtant clairs et limpides, de l'étang désormais coloré par un bleu profond impénétrable.
Idrial parcourut l'étendue d'herbe luisante qui se balançait docilement dans un sens ou dans l'autre au grès du vent pour aller se perdre dans la forêt. En tant qu'elfe qui se respecte, elle se devait d'aller rendre visite aux âmes de cette forêt. Seulement, ce soir, ce n'était pas son but précis..
Idrial, ce soir, avait vraiment envie de se vider l'esprit. C'est pourquoi elle avait décidée de se dissimuler sous l'ombre des arbres.
L'elfe prit une grande inspiration et façonna en elle l'image d'un loup. Ou plutôt une louve...Au pelage blanc, grisé à certains endroits. Brusquement, une aura bleutée dessina les contours de sa silhouette qui se déforma et elle prit l'apparence d'un louve !
Idrial remercia encore une fois intérieurement son père, sorcier, de lui avoir enseigner cela et de lui avoir transmis une infime partie de ses pouvoirs à la naissance...Shalimar avait pleinement hérité du côté sorcier de son père tandis qu'elle avait hérité du côté elfique de sa mère. Cependant, chacune des deux soeurs possèdait les deux facettes de cette héritage par le sang. Un côté moins développé chez l'une que l'autre à chaque fois.

Quoiqu'il en soit, La louve était parti pour quelques jours a vivre sous cette forme car elle en avait décidée ainsi. Idrial s'engouffra alors plus profond dans la forêt, laissant derrière elle et pour quelques temps le reste de l'Académie...

Bousculer par les événement du jour, Emmanuel-le errât longtemps dans le parc, à la recherche d'un trou à rat, d'un terrier de lapin, d'un espace où se lover, où se cacher... C'est épuisé qu'il finit par s'arrêter au pied d'un arbre... il s'écroulât plus qu'il ne s'assied. son dos contre l'écorce... tentant de reprendre son souffle et sa tranquillité inquiète. D'un mouvement brusque il dégrafât les bandages, laissant la possibilité à sa poitrine de se gonfler d'un large soupir... Il n'en pouvais plus d'étouffer, se demandant si il supporterais de vivre ici, entourer de tant de chose qu'il ne comprenais pas... on lui avait appris la peur et la douleur, la peine et les mâchoire qui se crispe, rien de plus. Il arrivait ici, un lieu inconnu, et aucun code, aucune chose ne ressemblais à ce qu'il avait connu...

Petit à petit, son angoisse tombât, personne n'était à proximité... elle fermât les yeux

*qu'est-ce qu'implique un mariage ? pourquoi tant de faste ? en quoi... cela a t'il une valeur ? qu'est-ce qui les as décider ?...*

Sans le savoir Emmanuel-le frôlais en penser la réalité de l'amour, sans sans rendre compte ces paupières était lourde... et déjà, la tête sur sa poitrine, il dormait profondément.

Main dans la main, un jeune couple s' avançait sur les bords du lac. Le temps était clair et le Soleil éclairait les deux jeunes gens d' une aura divine. Marchant sous les saules et les connifères, dans un atmosphère de paix et de bonheur, ils se tenaient là, se souriant timidement.
Schaft retira alors ses souliers et, en un grand rire, se mit à courir dans l' herbe humide à travers les fleurs. François, amusé, fit de même et se mit à courir après la belle femme. Ce n' était alors plus que rires, jeux enfantins... Après un instant, une bonneheure, une journée, une éternité le jeune homme attrapa sa belle et ils chutèrent joyeusement dans l' herbe.
Ils se tournèrent alors vers le ciel, tentant de trouver telle ou telle forme dans les nuages. Sinon, ils restaient là, le bras de François entourant délicatement le cou de la jeune fille, à comptempler les reflets d' argent du Soleil sur l' eau.

Heureuse et souriante, la jeune femme s' amusait et riait en en perdre sa voix d' ange.
-Schaft...
Les sens déboussolés, le coeur manquant d' éclater come un ballon trop gonflé d' amour et de bonheur, il se pencha vers elle.
-Je t' aime...
Et là, en ce lieux idylique, il l' embrassa et son coeur explosa en une gerbe colorée de bonheur et de paix.

[HRP]Francois va y molo sur la notion de jeune couple ! j'avais dit une balade, pas la petite maison dans la prairie folatre dans els champs ! Evil or Very Mad

[HRP]

Schaft rompis le bonheur de Francois en lui toussant au nez, manquant de s'etrangler.

*"je t'aime" qu'il dit ? MAIS IL EST FOU CELUI CI ?*

Schaft verifia discretement l'haleine de son ami. Non, il n'avait aps bu.

Elle s'approcha dangeuresement de lui, une lueur inquietante dans ses yeux d'ange herités de son pere.

-Qu'as tu dis ?

Francois deglutit avec peine et repeta sa declaration d'amour.

- Tu m'aimes.

Malgre elle, elle parti d'un grand rire.

*Le fou*

-Eh bien soit ! Aime moi. Mais aime moi A VIE. Jamais tu ne me tromperas, jamais tu ne feras quoi que ce soit contre moi, tu m'aimeras, entend tu ? Tu m'aimeras meme apres que je soit morte si tu survit apres moi. Jamais tu ne me delaisseras, meme si, un jour, je me montre interressée par un autre.
Ne manques jamais a ta parole ou je te ferais souffrir milles morts, et les Enfers de Hel te sembleront une terre d'acceuil chaleureuse face au courroux d'une femme offencé.

Mesure les effets de ta declaration, desormais ....

Elle s'approcha doucement de lui, plongeant son regard ou des flammes semblait brulées d'une ardeur surnaturelle.

- ... Tu m'appartiens.

Elle plaque un baiser sur les levres de son nouveau soupirant, celant son pacte avec lui. Et il aurait mieux valu a Francois d'etre au diable que d'etre a elle.

Entrainée par Hezeriel, toujours sa rose à la main, elle admirait le couché de soleil faisant tournoyer la fleur entre ses doigts. puis elle lacha la main du métamorphe pour tourner sur elle même au point de plus pouvoir tenir sur ses pieds.

- Le savez vous ? ...

Elle se laissa tomber délicatement sur le sol pour admirer le ciel rougie par l'astre.

- ... Je suis heureuse ...

Elle ferma ses paupières, écoutant le bruissement des feuilles et souffle du vent.

- Qu'elle merveilleuse idée avez vous eut là !

Le Jeune Prince accompagna dans sa chute volontaire Silissia et la garda serrée tout contre elle. Il ne goûtait pas au spectacle, il préférait ses mains dans la chevelure délicate de l'Ange. Ses yeux se fermèrent un peu et ils restèrent longtemps immobile, l'un contre l'autre, laissant un Crépuscule vermeil embraser le ciel.

Peut être...oui... est ce une merveille idée... et peut être est-ce... le bonheur... .

Une vague de lumière entoura Silissia, et quand elle s'en alla un loup dormait tout contre elle, la tête posée sur ses genous, le corps si apaisé qu'il semblait ne plus respirer. Sul une vague interstice sous ses paupière laissant filtrer un oeil brulait disait à Silissia:

Y a t'il eu un jour... ou j'étais aussi calme, aussi serein qu''aujourd'hui? Loin... de tout...

Sahro qui ne quittait jamais son Maître trouva une place à l'ombre, sous son arbre, et s'y installa. De loin il regardait cet enfant qui se perdait dans les Jeux de l'Amour...et du hasard.

Arrethas arriva dans le parc, se promenant tranquilement, puis il aperçut un couple, l'ange qui faisait partie de son passé et le jeune homme avec qui il s'était battus. Il vit le bonheur dans leurs yeux, pris d'une soudaine impulsion, il se dirigea vers le coule, un sourire moqueur sur les lèvres. Soudain Hezeriel se transforma en loup. Mais cela n'empêcha pas Arrethas de leur parler avec une voix moqueuse et blessante

- Tiens, tiens, mais qu'avons nous là, un gamin qui flirte avec un ange, on aura tout vu. Alors, heureux les tourteraux

il les regarda, le sourire aux lèvres et le visage provocateur. Sa haine pour Hezeriel était grande, il ne pouvait s'empêcher d'en éprouver de cette haine qui déclanche les conflits

- Ce matin à la taverne, ce devait être marrant de bousculer ma table et ainsi faire tomber mon verre, au passage, vous me devez deux pièce d'argent pour avoir renversé mon verre

Emmanuel-le doucement émergeât... Déboussoler, il se frottât les yeux, passant sa main dans ces cheveux longs. Il ne savait pas où il se trouvais, le tronc le soutenais toujours mais sa mémoire se troublais... Tout lui revient par bride, son départ, son arriver ici, son ami, la taverne et sa peur, le monde, toujours le monde... à cette évocation son pouls se remit à battre trop fort... Il eu un long soupire qui lui fît prendre conscience qu'il avait défait son bandage, il se contorsionnât pour le refermer sans savoir trop pourquoi il voulais cacher ces seins... Il osât jeter un oeil autour de lui... personne n'était à proximité, sa tête se fît lourde et les larmes vinrent d'elles même... Trop longtemps réprimer, elles s'épanchaient toujours plus, sans aucun bruit, elle se recroquevillât autour de sa douleur, en boule de chagrin... Ses pensées ce perdaient, il n'était plus qu'une plaie béante au passé envahissant et en terrain étranger... au loin, quelques oiseaux jouait à parader, c'était si loin de lui, l'idée de la parade, du chant, de la beauté...
La tête dans ces mains, les larmes ne semblais pas pouvoir s'arrêter, il n'entendais que son souffle et le froissement de tissus du bandage à chaque inspiration... Elle ne songeait à rien, et surtout pas à la suite, elle ne voulais qu'un silence pour toujours, une perte de mémoire...
Son corps trop frêle tremblais, tremblais comme seule le tremble dans le vent c'est le faire... de toute les parcelles de son être, il frissonnais de peine et de crainte. Il était incapable de ce lever, incapable d'avoir de la vonlonter, incapable de se mouvoir vers la suite...

Hezeriel resta en boule dans les bras de Silissia, ignorant avec un irrespect amusé les propos d'Arrethas. Il s'en moquait, à vrai dire il en était presque fier d'être tout contre son Ange, regardant d'un oeil distrant Sahro qui léchait méticuleusement son pelage brillant.

- Cematin à la taverne, ce devait être marrant de bousculer ma table et
ainsi faire tomber mon verre, au passage, vous me devez deux pièce d'argent pour avoir renversé mon verre

Le silence lui plaisait et il ne daigna pas lui répondre. Mais Sarho semblait avoir senti dans ces mots tant de haine que ses oreilles se couchèrent que son corps fut traversé d'un frisson d'excitation menaçant.

Arrethas n'avait pas remarqué le Loup sous l'arbre. Il lui tournait le dos.

Hezeriel restait immobile. Préférant laisser sa lourde tête sur les genous de Silissia. Il ne voulait pas, il n'avait pas envie de se battre. Il se sentait heureux comme il était, il ne désirait rien d'autre.

Et toute la haine de l'homme debout se retrouver confronté à une indifférence si immense qu'elle en paraissait plus que provoquante.

Hezeriel, l'ignorait et cela ne faisait qu'augmenter sa rage. Il sortit son épée buveuse d'âme et s'entailla le bras avec, faisant ruisseler le sang dessus et la réveillant par la même occasion, il transféra la haine qu'il ne pouvait garder dans son épée, puis il la remit au fourreau, désactivent ainsi son pouvoir. Voyant qu'il n'arriverait pas à se calmer et à parler tranquilement avec le jeune homme, il sortit son instrument de musique et commença à jouer un air sauvage. Si sauvage que les plantes se courbaient, si sauvage que les animaux et les oiseaux s'enfuyait, toute sa haine était en train de sortir. Puis quand il n'y eut plus de haine, il s'arrêta de jouer et rangea son instrument et adressa la parole au couple.

- Excusez moi pour ces propos déplacé, mais mon coeur était plein de haine, mais plus maintenant, elle m'a quitée

Le doux soleil de l'été caressé les deux êtres que plus rien ne semblait atteindre. Elle n'avait pas remarquer l'ange au début, ce n'est que quand il fit couler son sang qu'elle frissonna. L'importance de sa fuite avait été éffacé. Elle était à présent sur d'avoir fait le bon choix. Elle posa sa main pour apprécier encore plus la fourure douce du loup. D'un geste aussi délicat que doux, elle le caressa. Silissia releva la tête vers Arrethas.

- Je suis ravie de ne pas avoir eut à intervenir ... Que nous vaut ta visite ex soldat de l'armée angélique ?

Sa voix n'était en rien provocante, bien au contraire, elle était appaisante, presque maternelle. Elle ne voualit qu'un simple renseignement, rien de plus, rien de moins. Elle retira sa main de sur le corps d'Hezeriel pour refaire un peu sa tresse. Qu'elle était bien ici, elle ne voulait plus repartir.

- Te plais-tu ici mon doux ami ?

Elle déposa un baiser sur le front du loup et recommença à le caresser.

- Je ne faisait que me promener et quand je vous ai vu, la haine s'était de nouveau emparé de moi, maintenant, elle m'a quitté. Je me demande pourquoi j'ai ressentit pareille haine, elle me rappelle celle que j'ai éprové, quand mon plus proche amis m'a litéralement trahit.

Il resta songeur quelque minute se rapelant des souvenirs plus horribles les uns que les autres.

- Ce très cher amis pouvait se transformer en loup exactement comme hezeriel, mais ça remonte à tellement longtemps que je ne pourrais dire si c'est lui, tout ce dont je me rappelle, c'est d'un loup qui l'acompagnait partout et qui m'a laissé cette cicatrice

Il souleva un peu sa tunique, dévoilant une cicatrice qui partait du coté et qui remonté vers sa poitrine.

-Je crois que ce loup s'appelait Sahro, mais j'en suis pas sur, ça remonte à tellement longtemps.

Il y eut un léger grognement vers l'Arbre. Sahro s'était levé, un frisson dans tout le corps. Il semblait prêt à bondir, mu par des émotions étranges et surannées.

Hezeriel ne bougeait pas, calme et confiant. Au fur à et mesure qu'Arrethas parlait, il fixait son loup avec intensité. C'est comme s'ils se parlaient, comme s'ils échangaient quelque chose à ce moment même. Les deux regards étaient profondément ancrés l'un dans l'autre, ne se laçhant sous aucun prétexte.

Quand Sahro n'hésita plus et jaillit sur l'Ange debout. La suite fut rapide, insaisissable et violente. Un éclair aveugla Silissia et Arrethas, un vent froid les gifla sur place et quand ils purent rouvrir les yeux ils eurent devant eux un spectacle étrange.

Un Loup blanc tenait dans la gorge un autre loup blanc, l'obligeant à rester couché.

Sahro tremblait sous l'emprise d'Hezeriel, surpris et troublé à la fois.

Le vent si glacial avait disparu et il ne restait plus qu'un vol de feuilles légères qui allaient et venaient sous une brise chaude.

Arrethas regarda les deux loup blancs, celui qui se faisait térasser par l'autre n'était autre que celui qui l'avait blessé, il regarda hezeriel et sut qu'il avait en face de lui, son ancien amis. Il voulait se mettre en colère, mais il ne le pouvait, sa musique faisait toujours effet. Il les regarda encore un fois.

- Sahro, ainsi Hezeriel, c'était toi, qui autrefois était mon amis et qui m'a trahis, seulement, tu t'appelais Azolée et c'était il y a longtemps. Ainsi nos routes se croisent à nouveaux, ce n'est pas un hasard, le destin aurait il voulu me permettre de me vanger, j'en sais rien, tout ce que je sais c'est qu'elle ne m'interesse pas, que je veus rayer ce passage de ma vie à tout jamais

Elle avait simplement fermer les yeux, elle ne désirait pas que ce manège continue. Elle ne se leva pas, elle ne bougea pas. Elle avait envie de rire tout les trois se connaissaient, il y avait un lien qui les unissait. Haine, amour, admiration, tristesse. Autant de sentiments que tous avaient ressentit. Elle ne leva même pas son petit doigts, pas la peine de le faire.

- Pfff ...

Sa volonté de les arrêter se démultiplia, elle fit tout passer dans son aura qui les rejeta tout trois en arrière. Slissia se releva, un vent violent soufflant tout autour d'elle. Ses yeux n'étaient pas visible.

- Arrethas n'y pense pas. Sahro repars sous l'arbre. Hezeriel, voudrez tu revenir vers moi ?

Elle tendit sa main vers le métamorphe en s'accroupissant.

Hezeriel ne revint pas. Il se transforma subitement tandis que Sahro regagnait son Arbre.

Quand il apparut ses cheveux étaient légèrement décoiffés et l'on pouvait voir une entaille à sa joue gauche. Au fond de ses yeux traînait un goût d'amertume. Il voulait être tranquille, il n'a réussit qu'a s'irriter encore, jusqu'à devoir même intervenir pour calmer son Loup. Décidément... entre le Parc et la Taverne... il ne pouvait pas trouver un coin tranquille.

Il se retourna légèrement vers Arrethas. Lui... il n'avait pas oublié... Mais il n'avait surtout pas envie de se ressouvenir.

Silissia...rejoindre la Colline d'Eden vous plairait-il?

Il n'attendit pas la réponse, la prenant au vol il l'entraîna vers ce qui était la grande Fête annuelle d'Aeringör.

* Belle matinée pour une fois, pas une once de pluie, et quelques nuages blancs pour rendre le ciel moins monotone dans sa pureté azurée *

Astriel se posa dans l'herbe, préférant s'allonger un moment, histoire de contempler le ciel. C'est toujours étonnant ce que l'on peu observer en ne regardant que vers le haut, s'en ait tellement surprenant parfois que l'on se demande si l'on ne rêve pas éveillé. Moment de quiétude entre toutes ces réunions ébruitées et ces marche à travers une cité en constante activité, et ce croissante de jour en jour. Ici au moisns, les seuls son que l'on pouvaient entendre provenait de Dame Nature et des ses protégés, entre les murmures du vent, le froissement de l'herbe sous l'éther, le gazouilli des oiseaux, le chant des criquets et le vrombissements des abeilles. Et il resta là, se laissant bercé par les effluves naturels et l'ambiance procuré par cette immersion avec ce qui l'entourait. Rien de brusque, tout n'est alors qu'un fleuve presque paisible, où seul quelques bouillonnements font leur brève apparition. Un rêve, éveillé, c'est beau comme cadeau.

Ominoe effectuait lui aussi une belle petite promenade dans la douceur du matin, quand il vit une ombre angélique dans le parc. Il resta en retrait quelques instants, admirant l'apparence humainoïde d'Astriel. Il n'avait encore que peu vu le maître sous sa forme angélique...

Il finit par s'avançer vers lui.

Tiens, bonjour, ... je dois avouer que ta nouvelle apparence m'embête, je ne peux plus t'appeller le chat... je crois que ça sera donc Astriel, tout simplement...

Sans notion du temps, Emmanuel-le, dos à l'arbre, pleurais sans bruit... Un long moment c'était écouler déjà quand il se rendit compte de la situation... Il se troublât, voulu caché ces larmes qui avaient déjà fait leur trace dans ses joues un peu trop creuse. Doucement, il repris sa respiration, reprenant ces esprit, il se levât en se soutenant à l'arbre, faillit tomber tant il était épuisé... Elle restât debout un temps, toujours dos à l'écorce, ces mains frôlant le bois rêche, elle respirait plus doucement, hésitât un peu, puis remis en place ces bandages... Pas encore prête à assumer sa poitrine, calmant toujours plus sa respiration... Personne au alentour immédiat, quelques silouhéte passait, elle ne les voyait pas... Seule enfin, elle se décrochât de l'endroit où elle était tomber, il se redressât alors, tentant de tenir droit sur ces jambes... et se décidât à marcher, un peu perdu, il retournât vers la taverne d'où il venait, n'osant pas entrée... Il finit par prendre sur lui et en poussât la porte... que risquait-il ? tout au plus un dragon... il se résonnais comme il pouvait. Il entrât.

Invité

Encore une journée triste sur la ville immaculée d’Aeringor. Le ciel, comme à son habitude, en cette saison pourtant normalement chaude et ensoleillée, était couvert par les nuages gris, ternes et moroses. Mido, le peintre et élève de l’Académie, avait décidé de sortir de ses pinceaux et de sa plume pour se promener, oubliant un peu les charges qu’il avait à remplir. Il était partit de son appartement de la place blanche en début d’après midi, et avait commencé à flâner dans les rues de la ville moyenne. Les commerces étaient remplis, et l’elfe n’avait toujours pas rouvert sa boutique. « Je devrais le faire bientôt ».

Après une demie heure de vagabondage, il décida de partir dans un endroit un peu moins peuplé, plus calme, et en tout point plus agréable. Il se dirigea vers l’entrée du parc. Personne. Il rentra, et se sentit bien immédiatement. L’air était embaumé par les senteurs des fleurs encore fraîches, et des plantes odorantes qui dégageaient leurs vapeurs sans cesse en cette saison. Mido prit le chemin qui menait à la forêt, et quand il y fut, s’allongea au pied d’un arbre, et prit un brin d’herbe dans sa main. Il se sentait bien. Peut être quelqu’un pointerait le bout de son nez pour le saluer.