Le parc

(hrp : Sur une erreur de manipulation l'ancien par à été supprimé par un admin, j'ai donc pris la charge de le relancer. Il y aura une récompense au 100ème message posté dans le parc, pas de flood. Et allez pas me demander ce qu'est la récompense, je l'ignore... /fin hrp)

Un léger vent s'était levé sur Aëringor. Les passants allaient et venaient, vacquaient à leurs diverses occupations. Il existait en ce monde la taverne du paon. Un magnifique établissement où quiconque pouvait venir s'y détendre.

Mais derrière cette taverne existait un lieu dit de paradis. Quasiment en permanence ensoleillé en ce début de printemps. Ce parc, où se trouvait une magnifique herbe, était magnifiquement coloré de part la diversité de la flaure qui y était représentée.

Il rêgnait encore un silence pesant sur ce parc mais la porte de l'arrière de la taverne s'ouvrit. Malgré l'abondante lumière dégagée par un soleil radieu, rien si ce n'est une forme noire se trouvait sur le pas de la porte. La chose commença à avancer dans le parc. Nul ne pouvait encore définir ce qui se trouvait derrière cet habit noir. Pas la moindre faillure, le visage comme les mains n'apparaissait pas. Mai svisiblement, la chose savait où aller puisqu'elle évitait d'une incomparable légèreté n'importe quel obstacle se dresant sur son passage. Après quelques secondes, on put nettement savoir où elle se dirigeait. En effet, elle allait en direction d'un banc caché du soleil par un magnifique noyer.

Du légèreté sans précédent, la chose se posa sur le banc puis relia ses mains autour de sa taille. Même après d'intenses observations, nul ne pouvait savoir qui elle était.

*Falmala avait une pause entre deux cours. Elle avait envie de profiter de ce merveilleux soleil qui s'affichait dans ce ciel d'un bleu intense. Elle portait une longue robe couleur émeraude et avançait d'un pas léger dans l'herbe fraîche. Ses pieds nus appréciant le contacte de la terre.*

*Elle se dirigea vers le petit étang. Elle n'avait croisé personne sur sa route et n'entendais que le bruit des oiseaux et du vent dans le feuille. Elle esquissa un sourire et s'assit au bord de l'eau pour l'observer pendant quelque longues minutes. Elle inspira longuement et sourit a la nature avant de plonger le bout de son indexe dans l'étendue aquatique. De l'emplacement de son doigt s'étendis de la glace tout le long de la surface de l'eau, transformant le tout en une sorte de nature morte. Falmala se releva et pausa ses pieds sur la glace. S'arrêtant quelques instants pour apprécier le contacte glacé.*

*Elle se mit a chantonner doucement de sa voix cristalline. Elle se mit à faire apparaitre du bout des doigts des fleures glacée, qui poussaient le long de la surface d'eau, tel une danse glacée. Falmala dansait d'un pas léger au milieu de ses créations faisant apparaitre de multiples fleures et autres apparitions aux formes étranges*

Ominoe Gondanba, assis en tailleur en haut d'un arbre, observa avec amusement Falmala regarder le lac avec ses yeux dont le fond en avait la couleur, puis avec emmerveillement ses pouvoirs à l'oeuvre.
Il se laissa aller à une cure de soleil, adossé contre le tronc, mais une petite appréhension au fond de lui, maintenant qu'il avait vu ce que sa collègue pouvait faire...

Je ferais moche, en nature morte...

Le chevalier Nichiren continuait son périple dans le monde merveilleux de ces lieux enchantés quand un paysage verdoyant et vivant se présentait devant lui. Il entrait dans le parc, marchant doucement sur le chemin, marchant et humant l'air ambiant, des parfums sucrés et doucereux des pollens des fleurs qui se prélassaient au soleil.
Avançant lentement, suivant le gré des paysages chatoyants, le chevalier s'arreta à un point d'eau pour éclaircir son visage fatigué et le nettoyer avant de boire un peu de cette eau pure et limpide.

"J'espère que je ne serais pas sanctionné d'avoir bu de cette eau claire"

Se retournant, voyant que personne ne disait quelque chose, Nichiren, bu un peu de cette eau pure, puis il se déplaça à nouveau, voyant des gens qui se détendaient sur l'herbe, pieds nus ou peu vétus.
Il était vrai, qu'il fesait chaud, ce qui avait d'ailleur motivé la soif chez le chevalier. Il avait passé des heures à parcourir les lieux, il lui fallait désormais un peu se détendre et ce en plein milieu de l'après midi.

Nichiren enleva son armure dorée et la posa reconstituée à coté de lui, le vêtement du chevalier révéla une chemise blanche et un pantalon noir, puis s'installa délicatement sur l'herbe fraiche et humide, préalablement arrosée sans doute. Le chevalier ne tarda pas à tomber en rêverie au gré du bruit de l'eau qui coulait de la fontaine non loin de là, le clapotis de l'eau répercutant sur elle même et sur la pierre de marbre blanc laissait songeur l'être du lion d'or. Peu à peu, la rêverie laissait place a un certain sommeil et ce fut sur l'herbe que le chevalier fit sa sieste. La réputation du Lit on dort qu'avait Nichiren n'était pas à refaire bien au contraire.

Home marchait sur les toits. Il était monté là, depuis tôt ce matin. Il avait vu le lever du soleil, qui petit à petit avait chassé la nuit, humide et glacial. Le petit homme chat était venu ce réfugier ici pendant que tous le monde dormait.

Dans sa petite chambre il l’avait encore sentit hurlant et brûlant au fond de son âme.

Pourtant c’était la première fois depuis qu’il était arrivé à l’Académie. Il pensait avoir enfin trouver la paix, ne plus jamais entendre parler de lui. Mais apparemment il s’était trompé, tapis au fond de son cœur la bête vibrait encore. Se réveillant en sursaut, dans la pénombre de sa chambre, Home découvrit que son bras droit avait doublé de volume, ses poils avaient noirci, et des griffes énormes avaient poussées. La colère et la haine le tiraillaient, déchirant son cœur de l’intérieur. Se sentant dépassé, perdu, étouffant dans sa chambre le petit être au pelage orange s’était retrouvé sur les toits, pour fuir, pour se dérober à l'inévitable.

Son bras avait repris depuis sa couleur orangée, les griffes avaient disparu, mais la voix au fond de lui, le lançait encore, lancinante comme une brûlure … les cloches annonçant les premières heures de cours avait sonné mais Home était resté sur son toit de tuile rouge. Il regardait au loin la foret se découvrire et se paré de milles couleurs en même temps que le temps passait. Elle le renvoyait à sa tristesse et à sa solitude.

Cela faisait longtemps que Home déambulait sur le toit…il arriva au parc…un vent frais vint lui chatouiller le museau et lui apporter une odeur familière, celle de Falmala, fraîche et parfumée comme les premiers flocons d’hivers. Home sauta du toit, il retomba sur ses pattes, sentit l’herbe douce, chauffé par le soleil de fin de matinée. Il put voir des élèves dans le parc se mettant à leurs aises, profitant de leurs quelques petites graines de temps éparpillées entre chaque leçons…

Il avait sécher les premières heures de cours, Home se gratta la tête…

- après l’histoire du lézard je vais encore me faire tirer les oreilles par les doyens…

Il s’approcha lentement de l’étang gelé, l’âme encore tourmenté.

Il put découvrire le lac, entièrement recouvert de glace malgré le soleil et Falamla, gracieuse et envoûtante dans ce décor irréel… la voix de la jeune femme subjugua le petit homme chat qui de l’autre coté de la rive, pour la première fois de la nuit se sentit en paix. La colère, la peine et les hurlements avaient disparu.Au loin il fit signe à Falmala.

Rumulus avait ranger sont parapluie, l'écureuil était toujours allonger sur ses cuisses. Dormant dans un profond sommeil réparateur, soignant toute les hivers angoissant et la dureté de la vie qu'il avait passée, ce petit être tout petit avec une âme si magnifique. Rumulus ne bougea pas d'un poil, il ferma les yeux...il n'avait vu aucune personne dans le parc aujourd'hui pourtant il avait entendu plusieurs voix.

Il n'avait jamais eut une femme....ce qu'il regretta aussitôt, il avait vécu toute sa vie dans les université, les hôpitaux et le gouvernement, il c'était fait de très rare amis et il était célibataire depuis trop longtemps. Cela commençait à se faire sentir. La solitude c'était rajouté à la fatigue, cela prendrait du temps avant que mon corps n'ai été complètement réparé...durant 45 de pression, stress, angoisse, nuit blanche et négligence de soit même...pour atténué les effets il avait commencé à boire....il comptait arrêter ici, dans l'académie, un premier pas vers la lumière.

Le petit écureuil tressaillit, Rumulus ouvrit les yeux. Un chat orangé observait le lac. Rumulus ne fit pas attention au chat particulier et ferma les yeux, profitant de l'air paisible du parc pour récupérer. Il devait dormir beaucoup pour rattraper se qu'il avait perdu comme heure de sommeil.

De retour sur Jadis il devrait nommer un Vice-président...cela ne pouvait duré comme ceci, il s'occupait de beaucoup trop e chose, il n'avait jamais prit de vrai vacances et il se dévouait trop à son peuple. Rumulus pensa tout de suite à Bowell, qui l'avait peut-être vu dépérir au fil des ans, Rumulus se remémora les conseil de celui-ci....la moitié du temps il demandait à Rumulus d'aller voir le médecin, de modéré sur l'alcool et de prendre une nuit de sommeil...mais il était resté sourd....quel erreur...

Rumulus commença à caresser le pelage cuivré du petit écureuil.

Et cet solitude, il ne devait pas resté célibataire toute sa vie, il devrait y remédié au retour sur Jadis...dans quelques mois...

Une légère brise se leva et poussa les feuilles argentées des arbres. Le cri de tourterelle se fit entendre au loin et une porte se referma.

Rumulus rouvrit les yeux, le chat orangé avait disparut, peut importait ce chat, il devait profité de ce moment de pur relaxation et écureuil aussi en profitait, pauvre petite créature.

[HRP] Le parc fermé ? affraid

c'est quoi ce bins, mon endroit préféré [HRP]

Stevenel, sorti de sa petite maison qu'il louait sur l'aile gauche de la propriété de l'Académie.
Il était en pleine rédaction, et avait envie de prendre l'air. Venant d'écrire 7 pages à la plume et à l'encre, il avait un peu mal au poignet et décida d'aller s'allonger dans l'herbe du parc comme il aimait le faire.
il avait demandé à avoir un maison près du parc, car c'était l'endroit principal où il écrivait ses textes, assit sur un banc, appuyé contre un arbre ou couché sur le ventre dans l'herbe.
c'était aussi dans le Parc qu'il tirait son inspiration; en effet, il s'inspirait beaucoup de la nature dont il tentait d'apprendre le plus. il venait par exemple de finir un livre magnifique sur les fourmis et leur société. il en était tombé amoureux et pendant 2 jours il ne fit qu'observer les fourmis, les suivant partout ou elles allaient, sans gêner leur travail considérable.
Il adorait aussi observer le soleil, l'astre qu'il aimait le plus de tous, pour sa chaleur, sa luminosité, et toute les caractéristiques qu'il avait décrites dans un de ses poèmes ...

Il marcha donc quelques minutes, durant lesquelles il cueillit un fleur orange au parfum d'agrumes, et il s'alongea de tout son long, la fleur en bouche quand il arriva sur l'herbe moelleuse du Parc ...

*Comme j'aime cet endroit* se disait Grendelor en marchant nonchalement dans le parc. Contrairement à sa planète natale où l'hiver reprenait ses droits en ce moment, Aëringor semblait bénéficier d'un climat plus clément où le printemps se faisait sentir.

La jeune femme marchait doucement, ses yeux bleus cernés de poches profondes qui lui donnaient bien dix ans de plus. Elle trouva un coin d'herbe au soleil où elle étendit une couverure qu'elle portait pliée sous le bras. Elle farfouilla dans la ceinture qui lui ceingant la taille et en sortit un cahier et un stylo.

*Vraiment cette ceinture est trop pratique, je me demande encore comment j'ai pu vivre sans!*

Elle s'assit sur la couverture et ouvrit le cahier à une page blanche. Le stylo dans la bouche, elle commença à réfléchir à la suite de son histoire. Le soleil lui tenait chaud au dos. Ses yeux se fermaient. Grendelor s'ébroua dans un sursaut et posa le stylo sur la page blanche. Elle s'endormit, sa tête penchant doucement du côté où elle allait tomber, ce qu'elle fit gracieusement. Elle remua mais ne se réveilla point, son visage se détendant, la chaleur du soleil l'enveloppant comme une couette bien épaisse.

Ominoe Gondana, sur son arbre toujours perché, aperçut Grendelor en train de s'endormir. Non loin de là, sur une brache, pendait une pomme de pain. Maitre Ominoe de s'en saisir, et de la laisser tomber sur la belle vierge endormie.

Grendelor fut réveillée en sursaut par le choc d'un corps sur le sien. Désorientée, elle tourna la tête en tous sens avant de remarquer une pomme de pain sur sa toge. N'étant pas sous un sapin, elle se demanda un instant comment cela était possible. Retrouvant assez d'esprit pour aligner deux pensées logiques, elle en déduisit que quelqu'un lui avait lancé cette pomme. Elle leva donc les yeux et chercha le pin le plus proche. C'est ainsi qu'elle apperçut Ominoe souriant tel un gamin à une bonne farce, perché sur une branche.

Ne sachant pas encore si elle était d'une humeur massacrante ou bien joueuse, la jeune femme retourna tout de même le projectile à l'envoyeur, encore assise par terre.

Ominoe Gondana éclata de rire en recevant la pomme de pin en pleine poire, et tendit dans un reflexe issue de sa prime jeunesse la main pour en attrapper d'autres. Avant de se raviser.
Bombarder une faible femme ne sied hguère à l'académie...

Bonjour, Grendelor. Alors, on apprecie les charmes de l'endroit ?

Il sauta sveltement en bas de son arbre, le sourire aux lèvres.

Comment allez-vous, très chère ?

*Falmala dansait encore. Elle aimait chanter et laisser ses pieds glisser sur la douce glace de son enfance. Cela la rendais seraient et joyeuse. Elle vit approcher l'homme chat. Son pelage brillait de milles reflets dans le soleil. Il semblait anxieux, puis son visage se détendit. Elle du sourire lorsqu’il lui fit un signe de la main.*

- Venez, venez ...

*dit-elle tout en continuant a chanter. Elle lui fit signe d'approcher*

- N’ayez pas peur ... c'est solide ....

*Elle continua a chantonner d'un voix douce tout en attendant Home. Lorsqu'il fut près d'elle elle pausa sa main sur son épaule et le fit avancer sur la glace. A pas lents. Elle ne cessait de chanter puis arriver vers le milieu de l'étang elle se mit a genoux, regarda Home dans les yeux et souris. Elle frotta ses deux paumes les unes contre les autres et fit s'ériger un bloque de glace difforme. Puis du bout des doigts elle se mis a faire fondre ou "pousser" la glace, jusqu'a ce qu'elle prenne la forme voulue .... Deux oreilles et un museau commençaient a apparaitre sous les doigts habiles de la femme.*

Grendelor avait remarqué l'esquisse du geste d'Ominae et s'était préparée à une bataille acharnée, mais celui-ci semblait avoir renoncer à ses projets guerriers. Il descendit à sa hauteur et Grendelor se leva du même coup.

Elle sourit chaleureusement.

Ma foi je ne vais pas si mal que ça. Débordée par le travail au point de ne plus savoir quel nous sommes mais comme toute bonne chose a une fin je trouverais bien un moment pour me guérir de cette fatigue.

Elle haussa négligeament les épaules, puis eut un sourire espiègle

Enfin je pourrais me reposer si cette Académie n'était pas envahie de galopins de la pire espèce qui dérangent les jeunes femmes pendant leur sieste.

Ominae présenta une mine contrite qui fit éclater de rire Grendelor.

Allons ce n'est rien de grave, et puis je devais travailler et non dormir!

Lui désignant sa couverture étendue sur la pelouse elle lui proposa de s'asseoir avec elle.

Rhalala quelle flemmarde... pas étonnant qu'on la voie rarement...

C'est un honneur, dame Grendelor, que de vous tenir compagnie.

Charmé par la plastique de la professeur, Ominoe s'assit sur la couverture sans un mot.

Home vit que Falmala lui demandait de venir sur la glace, avec de un temps d’hésitation, il posa une de ses pattes sur l’étendu gelé. Le froid toucha ses coussinets et remonta jusqu’à ses oreilles le faisant trembler. Le petit homme chat orangé pris son courage entre ses deux pattes et se lança sur le lac. La sensation était nouvelle pour lui, il n’avait jamais connu cela auparavant. Il glissa jusqu’à Falmala qui évoluait avec beaucoup de grâce et de facilité.
Home qui sur le sol ferme était agile, se sentait engourdi et empoté sur la glace. Il manqua de se rompre le coup a plusieurs reprises, s’aidant de ses bras pour ne pas tomber et garder l’équilibre.
Quand il vue la sculpture de glace se formé entre les doigts de Falmala, Home ouvrit des grands yeux.

- c’est merveilleux.

Il était impressionné, dans cette académie il avait put remarqué les nombreux pouvoirs des autres académiciens. Certains semblaient se comprendre sans parler, d’autres volaient, certains n’avaient même rien a envier a son agilité. Home les enviais son pouvoir ressemblait plus a une malédiction,une maladie : catégorie C, stade 2. Les termes des soldats de l’empire lui revinrent comme une, pierre en pleine figure.
Perdu dans ses pensées, il glissa en arrière et tomba brusquement sur les fesses. Il dériva emporté par le poids de sa chute jusqu’au bord du lac… Il sauta sur la rive se frottant les fesses humides et froides.

Il put voir le sourire amusé de Falamla. Se rendant comte du ridicule de la situation il éclata de rire…

- je m’assoie ici, c’est plus sur.

Home s’assit dans l’herbe chauffé par le soleil avec un grand sourire de bonheur. Il sortit une cigarette et l’alluma, là, assis près d’un lac gelé, sous le soleil du printemps, au milieu des herbes et des fleurs teintées de milles couleurs, il souffla sa fumée. Il regarda Falmala belle et gracieuse, évoluer tel un ange au milieu du lac.

- c’est le paradis…

Ominoe contemplait le corps de Grendelor qui, habituée, n'y fit pas attention si ce n'est pour le noter mentalement dans un coin de son esprit. Il faut dire aussi que le port de la toge n'était pas fait pour cacher mais plus pour souligner les formes généreuses de la jeune femme.

Alors dites-moi, est-ce là un de vos passes-temps favoris que de bombarder le gens avec ce qu'il vous tombe sur la main ou bien étais-je une victime particulièrement tentante?

Grendelor regardait son compagnon la tête légèrement penchée sur la gauche comme si elle essayait de deviner ses pensées, et un petit sourire flottait sur ses lèvres.

Ominoe Gondana éclata de rire.

Ma foi, tout est bon quand je suis d'humeur bondissante ! Y compris les pommes de pin, si vous saviez comme ça me rappelle mon enfance, les cabanes, les courses dans les bois...
Et puis je dois dire qu'en y ajoutant votre sommeil de princesse, telle Iseult attendant son amant, avec en plus un corps superbe, je ne pouvais plus resister...

Il scruta quelques instants le visage de sa collègue avant d'esquisser lui aussi un grand sourire.

Vous êtes très belle quand vous êtes heureuse... mais je suppose qu'on vous l'a déjà dit.

Dans un léger soupir, il se laissa tomber de tout son long, l'air énigmatique.

Le temps est propice aux romances, aujourd'hui. Vous le sentez, vous aussi ?

Grendelor rougit délicatement au compliment.

]Le printemps est le temps de la romance par excellence je trouve. Sans compter que cet endroit y est particulièrement propice avec ses effluves odorantes, son paysage enchanteur...

La jeune femme s'allongea aussi, contemplant le ciel et laissant le soleil, maintenant presque au zénith, la chauffer. Un autre sourire se dessina sur son fin visage.

Ce que je préfère dans la romance ce sont les premiers instants. La première rencontre, le premier regard, les premiers échanges, les premières sorties. Ce sont ces moments qui lui en donnent toute sa saveur. Ce sont des souvenirs éternels.

Sa voix était douce, comme un souffle, un peu lointaine comme si elle même se remémorrait de tels instants.

*Home était reparti s'assoir sur le bord du lac. Cela fit sourire Falmala, elle ne pouvait pas l'obliger a rester la au dessus de l'eau. Ce pauvre chat. Elle ferma les yeux en imprégnant l'image de Home dans sa mémoire et se mis a parcourir la glace du bout des doigts pour terminer la sculpture qu'elle avait commencé. Elle chantonnait encore et encore, tout en restant a genoux devant son œuvre.*

*Home au loin pouvait voir évoluer ses formes sous les doigts de la dame des glaces. Mais lorsqu'elle commencé a former les épaules et les bras une chose étrange se produisit. Les formes du chat n'étaient plus les mêmes... les épaules étaient plus larges, les poiles semblaient hérissés de tout parts et les bras semblaient avoir doublé de volume. D'énormes pattes aux longues griffes semblaient vouloir s'en prendre au premier venu. Le corps était robuste et impressionnant. Ses pattes étaient énormes tout aussi griffues que les mains. Cette sculpture commençait a prendre des formes étrange. Juste la tête semblait être la bonne pour représenter l'homme chat au pelage roux. Falmala laissa continuer à balader ses mains sur la glace, comme si elle était en transe ou une profonde réflexion. Ses mains remontaient vers la tête de la statue et se mirent à la former autrement. Ses oreilles pointus, le poile sauvage et ébouriffé. De gros yeux flamboyants malgré son aspect de glace et une énorme gueule au croc acérés se formèrent sous ses doigts. La créature était impressionnante et ne laissait plus du tout deviner son état d'origine.*

*Falmala fini par ouvrir les yeux pour observer son œuvre. Son sourire s'effacera et son regard se troubla. Quel était donc cette créature qu'elle avait créé. Ce n'était pas a lui qu'elle pensait lorsqu'elle faisait sa sculpture. Elle tourna un regard inquiet vers Home.*

Home fumait, assis dans l’herbe grasse, profitant du temps qui semblait s’être figer. Il regardait Falmala sur la glace, jouant avec sa sculpture qu’elle créait juste avec ses mains.
Le petit Homme chat se releva un tout petit peu pour mieux voir le travail de son amie. Il tira un inspiration sur sa cigarette. La forme le représentait, un sourire se dessina laissant apparaître ses petites canines.
Au fur et mesure que la reproduction se formait entre les doigts habille et gracieux de Falmala, Home sentit un malaise l’étreindre. Les bras de la sculpture n’était pas les siens, bien trop gros et le poil hirsute. Une chaleur angoissante venu du fond de son cœur l’étouffa, le regard figer, il ne respirait plus…le sourire fugace disparu de son visage.
La sculpture se transformait, elle prenait forme en même temps que Home la découvrait, le mal être s’étendait en lui tel un poison le rongeant petit a petit. Il laissa tomber sa cigarette sur le lac gelé elle s’éteignit sur le coup…
Le visage se formait, le petit homme chat repris sa respiration, haletante et poussive. Il n’avait jamais vu se visage, formé dans la glace pourtant les yeux enragés et flamboyants le regardaient et résonnaient au fond de lui, au rythme des battements de son cœur.
Soudain son bras droit se mit a bouger, Home le regarda effrayé. Il semblait ne plus être solide et des bulbes bougeaient en dessous de la peau, comme un liquide en ébullition.
Les yeux apeuré de l’homme chat croisèrent le regard inquiet, de Falmala. Il devait le contrôlé, ne pas le laisser sortire, ses efforts, sa vie ici serait anéanti. Home ferma les yeux et expira profondément…
Il resta là un instant, une éternité pour lui, il rouvrit les yeux le bras était redevenu normal. L’étreinte au fond de lui avait disparu, il était partit. Home souriait a Falmala, elle ne devait pas savoir, elle ne devait rien voir…
La sculpture représentait toujours cette bête infâme, mais Home ne la regardait plus il fixait le regard de Falmala, il lui souriait à pleine dent, l’air de rien.
- cela n’est pas très ressemblant…

(hrp : bon il fait pas tout le temps jour et mon personnage est nocturne, je me dois donc d'amener la nuit dans le rp, vous pouvez ramener le jour quant vous voulez... /fin hrp)

Le soleil n'était plus visible depuis quelques minutes, la nuit venait enfin de faire son apparation sur le parc qui de part sa magnifique verdure avait brillé durant de longues heures. Durant celles-ci de nombreuses personnes étaient venues se restaurer en ce splendide lieu et même encore en cet heure.

Les premiers rayons lunaires commençèrent à toucher l'herbe éclairant quelque peu les personnes présentes dans le parc. Tout était magnifique à cet heure, les reflets de la lune sur le lac...

Mais l'étrange personnage qui avait inauguré ce parc n'avait pas esquissé le moindre de geste durant la journée. Son corps tout de noir vêtu était resté de marbre mais à parement personne ne l'avait remarqué. Assise sur son banc sous l'arbre, elle était restée ainsi camouflée évitant ainsi toute confrontation.

Mais la nuit avait fait non apparition. Une drôle de sensation attira l'attention du curieux personnage. Un léger frisson avait engourdi ses membres. D'un coup rude, la silhouette se leva de tout son long. Son curieux sommeil avait pris fin mais pourquoi à cette heure...

Elle commença à s'avencer mais quelque chose la stoppa, un dernier rayon de soleil avait traversé la nuit et avait touché sa main qu n'était plus recouverte. Une main gracieuse armée de long ongles rouge de plusieurs centimètres.

De part se choc, le haut de son capuchon tomba... Un magnifique visage de faire tomber n'importe quel mâle croisant son regard. Celui-ci était de braise, des yeux rouge écarlate dominaient l'ampleur du mal habitant ce corps. C'était bien une femme mais quelque chose de curieux éait en elle.

Une fois le mal procuré par le rayon du soleil passé, la "femme" regarda tout autour d'elle, quelques regards s'étaient figés sur elle. Remarqua alors que son visage était nu sans aucune protection pour les regards diverses.

Mais quelque chose la submerga, une envie... terrible, elle n'arriverait jamais à la surpasser. Elle savait ce que c'était mais se refusait de la laisser agir. Mais combien de temps arriverait t'elle à le faire? Elle ne pouvait le savoir. Un cri strident éclata, brisant le tranquille début de la nuit. Le visage pâle esquissa un sourire. De très longs crocs apparurent. Aucun doutes n'étaient possibles, c'était une vampire... l'une des dernières encore présentes en Aëringor si elle n'était pas déjà la seule survivante.

Mais à parement ce cri n'avait pas été provoquée par la femme mais par ce qu'elle renfermait. L'envi de sang se faisait de plus en plus pressante au fil des secondes. Combien de temps pourrait elle tenir ainsi?

Puis il s'en suivi un nouveau cri strident et la vampire tomba sur le sol durement puis son corps se convulsa...

Son corps était quasiment à nu, lors de sa chute, son capuchon étai tombé laissant ainsi la vampire avec pour seule protection de son corps un léger habit mettant en valeur ses magnifiques proportions.

Astriel entra dans le parc, non pas par la voie des airs cette fois-ci, il avait besoin de marché. De se retrouver seul, seul ? Non pas tout à fait. Ah que ferait-il parfois, dans ces moments là, sans l'astre lunaire, Séléné, veillant sur les êtres durant leur sommeil telle une grande soeur sur ses petits frères. Il s'assit dans l'herbe fraîche et ondulante de part une légère brise venant du nord. Malgré cela, il faisait bon. Un calme sans pareil régnait dans la cité académicienne, les pâles rayons de la lune donnaient un air fantomatique et cristallin à l'ensemble des bâtiments. C'était beau. Émouvant même.

Astriel resta là, allongé dans l'herbe, et sans se rendre compte, il sombra doucement dans les abîmes réparateurs, bercé par les bras de Morphée.

La lune quant à elle continuait de veiller...

Rumulus n’arrivait pas à dormir cette nuit là. Ce devait être l’habitude de ce faire réveiller en pleine nuit. Il resta dans son lit pendant une heure, fixant le plafond, puis il se décida d’allé se levé et de s’habillé, dans trois heures l’aube se lèverait.

Il décida de se promener dans le parc, il faisait quelque peu frisquet, et Rumulus enfila un manteau léger. Il prit sa canne et il sortit au dehors. Il traversa quelques rues, puis il arriva au parc. Les bruits nocturnes avaient remplacé le tintamarre des bruits de la journée. Une légère brise soufflait, emportant une petite odeur de Jasmin. Il s’engagea dans un sentier et il s’assit sur un banc, près d’un lac.

Il déposa délicatement sa canne et il commença à admirer le reflet de la pleine lune sur le lac devenu sombre. Un hululement de chouette retentit au loin. Rumulus remarqua une masse sombre sur l’herbe, mais il ne s’en préoccupa aucunement. Ce devait être un simple buisson. Rumulus resta donc immobile, écoutant la petite brise et les croassement de quelque crapaud visqueux qui rôdait autour du lac, il ne savait pas que la masse sombre dans l’herbe n’était nul autre que Astriel endormie.

Peu à peu, de minutes en minutes, la sérénité de cette nuit emporta doucement le sommeil à Rumulus. Il s’endormie profondément au son du clapotis de l’eau du lac.

Invité

ChaosAngel, qui se promenait dans la ville, entendit soudain un cri, puis un second, il se précipita donc vers l'endroit d'où provenait ce son strident.

Courant à travers les rues sombres, ChaosAngel essayait de s'y rendre le plus vite possible. Le ciel n'était éclairé que par un croissant de lune, dans quelques jours, ce serait la nouvelle lune. Il se transformera en loup garou et sera contraint de rester la journée entière dans les bois.

Arrivé à l'entrée du parc, il commenca à ralentir, depuis plusieurs minutes, plus aucun bruits ne lui était parvenu. Il avança donc prudemment, d'un pas de loup, ce qui était naturel pour un loup garou. Les allées étaient déserte, normal, peu de monde se promenait la nuit dans le parc, les bois semblaient menaçant, avec le vent les branches se tapaient les unes contre les autres, les arbres se penchaient comme pour attraper les promeneurs innattentifs. Soudain, dans la pénombre, il discerna une silhouette, celle-ci lui rappela étrangement quelqu'un, ou quelque chose, qui sait.

Une fois à portée de bras, il s'accroupit près de la jeune femme, inerte. Cette silhouette qui lui sembleit familière n'était autre que Sélène, sa professeur. mais une chose le choqua, deux longues canines sortaient de sa bouche. Que devait-il faire ?

Son instinct lui ordonna de tuer la jeune femme mais, sa partie humaine, lui souffla d'aider son prochain, comme l'avait fait Sélène, même si, elle, ne connaissait pas la vraie nature du jeune homme. Sa décision fût de prendre dans ses bras la si jolie femme afin de l'emmener à l'infirmerie, où elle pourrait sans doute avoir des soins appropriés.

Un banc.
Un petit banc en fer blanc, et en bois noble.
Posé devant la pelouse du jardin à l'anglaise qui bordait l'autre côté du grand étang, L'amiral était assis.
L'on distinguait très bien son uniforme blanc dans le noir.
Les yeux fermés, il pensait, réflechissait.
Puis, lorsqu'un souffle de la brise fraiche --sans être froide-- effleura son visage, il secoua lègérement la tête...
L'athmosphère était bonne...les nuits plutôt tranquilles...de l'autre côté les hommes continuaient de vivre avec leurs préoccupations habituelles, parfois grandioses, parfois belles, parfois généreuses, parfois mesquines, parfois mauvaises...
Mais ici le silence était tellement stimulant...
L'endroit idéal. Son chef-d'oeuvre pourrait prendre forme.
Son regard se posa sur la machine à côté de lui.
Le chant des oiseaux s'était tut. Il fallait y remédier. Le silence, c'est la mort...
Tranquillement, il saisit un disque, un 45 tours antique, le posa sur la platine, et mit le tout en marche.
Après quelques cirssements discrêts, la musique emplit l'air autour du banc .
De l'orgue.
Du Bach.
Puis du Piano, joué avec une lenteur toute gracieuse.
Voilà qui était parfait. Une mélodie qui sans être forte meublait le monde sonore...
Satisfait, il s'empara de la petit planche cartonnée.
Et posa dessus une feuille, blanche, prête.
Ensuite, il s'empara du stylo.
Et nota, avec son habituelle écriture claire tout en étant tarabiscotée:

Syllas
Essai d'écriture: n°LXI
Titre provisoire:
Au terme de l'ére millénaire

"Wenn der Krieg verloren ist, ist es mir egal dass das Volk leidet"
Adolf Hitler

« I have nothing to offer but blood, toil, tears, and sweat… »
Winston Churchill

....

Son stylo s'arrêta...il donnerait les traduction splus tard. Le début du nouveau roman s'annonçait bien...

[HRP]Vous avez bien lut..je commence un nouveau RP...il sera posté ici vu qu'il n'est aucunement dnas le background Ogame. J'eesayerais de venir régulièrement[HRP]