Ma vie [ essai comique ]

Que suis je ?

Aujourd'hui je suis un adolescent comme tous, qui veut avoir son bac de français à la fin de l'année, qui voudrait rencontrer une fille expectionnelle, qui voudrait mener une petite vie tout tranquille, sans craindre les gens dans la rue, dans le froid avec ce vent démoniaque qui tourne comme un aigle autour de sa proie. Je voudrais juste un sentiment de bonheur car je ne l'ai jamais connu, je voudrais me sentir en sécurité dans des bras tendrement enlacés autour de mon buste, je souhaiterais la petite vie paisible que bon nombre d'adolescent voudrait connaître.

Mais dans 2 ans je partirai loin de chez moi, pour mes études délaissant ma petite amie, mes parents, mes anciens amies qui comptent plus que tout pour moi. Et je rencontrerai des gens, des femmes et des hommes car nous aurons tous plus de 18 ans et on pourra se prétendre un peu plus adulte qu'avant. Peut-être arriverai je à finir mes études.

Puis 4 ans plus tard, je me trouverai un boulot selon mes études, selon mes ambitions, selon mon aspect mental. Puis la vie me donnera encore une nouvelle amie ( pour sûr ) , sinon je resterai seul dans mon petit appartement à manger de la glace sur mon petit canapé devant une télé à tube cathodique. Mais on va faire un résonnement, comment dire…mélioratif.

Je trouverai une femme avec qui je m'entendrai à merveille et on aura notre premier enfant à l'age de 26 ans, et notre deuxième à 30 ans puisqu'un enfant seul est triste et j'en connais quelques choses, mais me direz vous il y a des exception. Oui mais laissez moi raconter mon histoire, non mais OH!!!

Bon j'en été où moi dans cette histoire ( moment où l'on cherche ce qu'on à dit mais dont on ne se souviens jamais ) ah oui j'ai trouvé.

A 31 ans, je connaîtrai le bonheur avec mes bambins et leur sales excrément, dont le vomie qui décorera une grande partie de l'appartement et ma fabuleuse femme que je demanderai en mariage la veille de la pleine Lune ( pourquoi rajouter ce détails, c’est complètement bête, ah mais oui j’avais oublié, c'est toi qui écris ) enfin bref, nous nous marierons un mois après cette romantique demande. Juste devant le maire mais pas à l'église. ( pourquoi, ben parce que j'aime pas les églises ) Nous nagerions dans le bonheur. ( tu trouves pas que c'est bien aussi de couler dans le bonheur, personnellement je préfère ce mot )

A l'age de 40, ma vie dans mon boulot ne sera pas fort réjouissante, et je ferai comme tout homme, la petite crise que les femmes adorent, car sa leur permettent d'avoir beaucoup plus de câlins, et c'est ainsi que dans nos bras, elles s'emmitouflent. Mon premier enfant me détestera car il sera en pleine crise de l'adolescent, l'âge de la puberté. Il me fera chi** comme le deuxième à vouloir partir chez tel pour telle chose à faire tel truc. Mais se n'est qu'après avoir signé ce maudit papier disant que vous devez prendre soin de votre enfant que l'on s’aperçoit sur la tranche du livre, en inscription minuscule les choses dans ce genre qui nous pourrisse la vie.

A 50 ans, je serai enfin près de la retraite ( tu rêves mon vieux, avec Sarko, tu mourra au boulot ) Donc je disais qu'à 50 ans, je virerai mes enfants de chez moi pour qu'eux aussi aillent bosser dans les prépats et les facs ( Bon on rêve mais comme dit Huygens " La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre )

Quand j'aurai enfin 60 ans, je serai à la retraite ( t'es fou, ta rêvé ) avec ma charmante femme enclin à faire un petite voyage. Et notre vie deviendra à ce moment très monotone. Nos enfants nous aurons délaissés pour leur vie et leur nouvelle famille. Nous croupirons tout les deux dans notre 150 mètre carré. ( arrête l'Opium, fait pas comme Baudelaire )

A 80 ans, ma femme décédera avec moi ( et ben tu vois quand tu veux, tu ne dis pas que des conneries ) et je pleurai toutes les larmes de mon corps ( ouais ben j'ai rien dit ).

A 85 ans je mourrai d’un meurtre causé par mes enfants, et ils se partageront l'héritage que je leur aurai enlevé. ( c'est bien mon gars, t'es un chic type quand tu veux )

Je reposerai à coté de ma femme dans un cimetière pommé au milieu de la campagne. Et c'est ainsi que je ne veux pas voir ma vie.

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Mdr, l'optimisme d'une étrange manière. Parfaite en tout point cette vie ou presque. Mais à mon avis, à 70 tu travailles encore Wink

. enfin, pas de politique. Je t'ais envoyé les fautes que j'ai relevé mais tu devrais, à mon avis, revoir les concordances des temps dans le texte. Je crains qu'il n'y est un joyeux bordel de futur, d'imparfait et de contitionnel.

Sinon continue comme cela, j'adore toujours tes écrits. Bravo

Tu indiques ce texte comme étant un "essai comique". Mais après lecture, je crois que "sinique" correspondrait nettement mieux à la situation. Honnêtement, je n'ai pas rie des masses, ou alors c'était un rire jaune dira-t-on...
On peut déceler un humour noir, mais qui est rouillé, car n'est à mon sens pas assez grinçant. L'humour noir n'est pas le plus simple à mettre en oeuvre, c'est certain... Il faut pas avoir peu je pense d'y aller très fort en l'utilisant, de pas prendre de pincette avec, de le plonger brut dans le texte...

Outre les problèmes orthographiques signalés par AFA, je trouve que les remarques entre parenthèse saccadent le rythme de la lecture. Ca veut donner une sorte de double personnalité à l'auteur, une majeure (bleue) et une mineure, assez hostile d'une part, mais aussi (et surtout) agaçante d'autre part. C'est pas qu'on voudrait parfois lui en "coller une" mais presque... Si encore ça faisait rire un peu, ou même grincer bien fort, mais ça reste assez empreinté... Dommage ^^'

Je pense que tu ne t'es pas encore assez lâché là dedans, ça reste trop correct, faut que ça nous choque un peu plus je pense... Enfin choquer dans le bon sens, pas comme avec le coup de "Sarko" que je passerai...

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