Bon Anniversaire Warlhoq!!

Bon anniv Warlhoq

Et bien, bon anniversaire warlock !

Citation :

"Tous les Académiciens se joignent pour te souhaiter un très bon anniversaire Warlhoq! Que la sagesse de ton âge t'apporte encore mille et un bonheur!"

Ben dis donc, pauvre sagesse...elle a encore du boulot

Pas le temps de faire du RP donc je me contenterai, cher Warlhoq, de te souhaiter plein de bonheur et un
JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!!

PS : c'est que tu deviens vieux, dis donc

Noyeux Janniversaire

[HRP] Très beau RP qui m'a beaucoup amusé, remplacé l'homme par l'animal et laisser tout se dérouler dans le cadre de vie de l'homme, c'est vraiment une très bonne idée. Bravo j'adore ton RP.

Encore une fois bon anniversaire, puisses tu en avoir encore à fêter de nombreux... si je pouvais je te ferais même la bise... (quoi que :s)

Enfin bref, j'espère que tu passeras une bonne journée et encore une fois (3e ou 4e en tout) Bon anniversaire !![/HRP]

[HRP]Vu mon manque de temps, je fais pas de rp ce coup ci
Je tenais a te souhaiter un tres bon anniversaire, que l'année de plus t'apporte plus de sagesse que de vieillesse, la deuxieme ne se déroulant que dans la tête Profite bien de TA journée, qui je le vois a déjà bien commencé. Ah oui aussi, j'ai bien aimé ton rp [/HRP]

A trente-cinq printemps,
La vie a déjà parcouru,
Un long chemin.

Cette route est tracée,
De joie et de tristesse,
D’amour.

Tu manies la plume,
Avec dextérité et talent,
Qui nous ravie.

L’âge n’a pas d’influence,
Sur ton esprit,
Ni sur ton cœur.

Une plus grande sagesse,
Tu acquérra,
Avec le temps.

Reste toi,
Ne change pas,
Bonne anniversaire.

Un oreiller s’écrasa mollement sur les draps bleus et blancs. Le dit objet à plume se décala lentement pour faire apparaître une tête endormie, bien que les yeux soient clos. Maintenant assis dans son lit et torse nu, le jeune Prince s’étira, en toute connaissance de cause de l’état d’esprit de la personne qui tapait actuellement du pied sur le sol, les bras croisés. Une mine d’ange innocent prêchant le blanc nuage sur le visage, il demanda :

Mmmh ? Qué’qu’ya ?

Ce fut la goutte qui mit le feu aux poudres du vase :

Comment ça ? Tu rigoles, j’espère ? Akira Hajia, comment oses tu me demander ça ?

Un sourire vînt danser sur les lèvres du concerné avant de s’éclipser pour laisser place à une mine affolée. Il fit craquer ses mains en étirant ses deux bras et bondit au bas de son lit. Bah oui, « au bas », c’est un Prince, quand même. Enfilant rapidement un kimono pour aller dans la douche il répondit :

Il est sept heures, ‘suis même pas en retard pour le lycée, t’abuuses…

Notre jeune héros avait parfaitement conscience que l’ancienne nourrice qui l’avait protégé lors du massacre de ses parents tolérait certaines de ses largesses d’attitude. Mais il savait aussi qu’en public il devait mériter son rang. Il n’avait pas fini :

T’es pas drôle…

Non ! Je ne suis pas là pour être drôle ! On ne m’a pas choisi pour être drôle !

La tête dans les épaules, il attendit la fin de la décharge mais elle ne vînt pas. Alors il reprit calmement ;

Donc, je disais, t’es pas drôle, m’obliger à aller au lycée aujourd’hui… fff…

La vieille nourrice, qui était prête à n’importe quoi pour satisfaire le plaisir de son orphelin de filleul (sauf évidemment de le laisser faire quoique ce soit qui puisse altérer son éducation) haussa ses massives épaules et se dirigea vers l’extérieur. Elle meugla une dernière fois :

Et je te préviens, dans dix minutes, t’es en bas…

Akira eut un soupir d’enfant et sourit. Il alla offrir son visage au soleil par la large baie vitrée, sentant l’humidité de l’autre côté de la vitre et imaginant les frissons des feuilles sous ces rayons de lumière chaude qui annonçaient un printemps proche.

Oui, il arrive, et avec lui la beauté des filles… Avec lui, le froid de mon cœur…

Puis il évalua rapidement l’heure et se faufila dans sa douche. L’eau chaude revigora son corps encore endormis et il décida de s’habiller d’un kimono blanc, pour mettre sous sa toge rouge de Doyen. Mais d’abord, avant de descendre voir sa grincheuse de marraine, il avait prévu quelque chose…

Il se dirigea discrètement vers une tenture et se glissa derrière pour passer par une porte presque secrète, laquelle menait aux chambres du personnel. Parmi ses guerriers, gardes du corps, serviteurs, femmes de chambre et autres, il en rejoignit un, qui s’appelait Otayo. Ils avaient prévu quelque chose…

***

Quelques instants plus tard, voici nos deux amis penchés sur un large et épais gâteau – de quoi tuer de crise de foi un bœuf en phase terminale d’engraissage pour l’abattoir. Ils s’appliquaient à compter les bougies. Otayo posait la vingt-cinquième quand son cadet eut un soupir d’aise :

Ayé ! On lui porte ?

Son grand frère le regarda avec perplexité :

Mais… Il en manque dix, Aki’…

Si le jeune Prince avait eut des yeux ouverts, ils seraient devenus touts ronds d’incrédulité. Sa bouche prononça quelques paroles de surprise muette, faisant des formes dans le vide avant qu’il ne réussisse à articuler d’une voix suraiguë :

Déjà ? Mais il… Il est super…

Otayo fronça un sourcil (bah puisque je vous dis que lui, il y arrive, vous allez pas chipoter, hein ? Puis je m’en fou, c’est moi l’auteur et je fais faire ce que je veux à mes personnages, même voler ou faire des éventails avec leurs pieds) et demanda :

Vieux ?

Non, justement… Il ne les fait pas… Son esprit a gardé ce côté merveilleux… Tu sais ? « Faites que le rêve dévore votre vie et non pas que votre vie dévore votre rêve »…

Le jeune Officier-Samouraï d’élite rattaché à la garde du château eut un geste de tendresse pour son petit frère et acquiesça :

Ouais, tu as raison. Allez, tu vas lui porter ?

Akira se redressa complètement et opina du chef, ravi. Il porta le gâteau et – avec le précieux concours de son frère, porta le gâteau sur sa tête, aidé de ses deux mains pour stabiliser le bord. Le chef d’œuvre sucré était trop large pour être porté devant soi.

Quelques instants plus tard (ah, continuez pas avec vos remarques, je fais ce que je veux, et je sais que c’est la deuxième fois que je dis « quelques instants plus tard », mais c’est pour faire syn-thé-tique, vous voyez. Non mais oh ! Alors chut, maintenant, y’en a qui aimeraient suivre !), Akira tapait à la porte de Warlhoq avec son genoux, afin que celui-ci vienne lui ouvrir. On entendit une voix au loin :

Oui, oui, j’arrive, trente secondes !

Le jeune Samouraï prit donc son mal en patience, priant pour qu’aucun serviteur bavard ne passe à ce moment dans ce grand couloir. Mais plus les secondes de ce lot de trente secondes qui commençaient à devenir quarante-cinq secondes voire même soixante, passaient, plus Akira avait du mal.

Il en a de bonnes lui, des secondes, c’est des minutes oui, voire des pavés de minutes, ou pire, des pruneaux de minutes…



Comment ça « CrAc » ?

Il ne lui fallut pas longtemps pour l'apprendre et même si son imagination avait anticipé l’affaire de quelques dixièmes de secondes, Akira se retrouvait bel et bien à l’intérieur de son gâteau…

C’est alors que la porte s’ouvrit. Il eut un sourire navré mais cependant sincère, tandis que les bougis ornaient sa têtes et ses épaules, et que ses bras dépassaient, faisant de lui comme un chandelier :

Bon anniversaire Warlhoq !

Et bien sûr il ne manquait plus qu’une chose… Qui arriva. La voix de ténor vachesque assez impressionante retentit dans le couloir, quelques dizaines de mètres plus loin :

Akira Hajia, quand tu auras fini de te déguiser en stupide gâteau, tu me rejoindras dans ta chambre, je pense que nous allons avoir une PETITE discussion !

Le Prince pouffa en croisant le regard amusé de son camarade. Décidemment, être un Prince mal élevé, il aimait ça…

[HRP]L’autre jour, tu m’avais fait la remarque que tu n’avais lu aucun de mes RP « longs ». Et tu as raison, ils sont de plus en plus rare. Alors, ça ne vaut pas grand-chose, mais en voilà un qui t’es dédié et spécialement fait pour toi. C’est ton cadeau d’anniversaire de moi pour toi.

Joyeux anniversaire l’ado éternel, l’âge de la sagesse, hein (tu parles !) [/HRP]

Erian entra dans la salle où devait se feter l'anniversaire de Warlhoq.
Les bras chargés de bouteilles de vins, de cognacs et d'alcools fermentés en tout genre, il cria:

"WOOOOOOOHH !!! BON ANNIV' WARLHOQ !!!"

Sur ce, il éventra un tonnelet de bière et commença à boire en son honneur.

[HRP]Bon anniversaire Warlhoq !
Quoi ? J'lai d'jà dit ?
[/HRP]

[hrp] Bon Anniversaire ! [/hrp]

Astriel a écrit:

Je me demandais qui m'avait chapardé ma plume aussi...

[HRP] C'est mon ancien avatar, les Doyens reconnaîtront ;)

Et je n'enlève pas les bornes HRP pour souhaiter un...

Ce jour avait été plus facile à vivre que le stress pressenti le matin même au réveil. Il avait vu défiler nombre d’Académiciens et de visiteurs, et l’ensemble des témoignages reçues lui étaient allé droit au cœur.

La grande salle, d’habitude classique voir simple, était ce jour là multicolore. C’était un feu d’artifice de couleurs. Entre guirlandes, ballons, banderoles et autres artifices, elle était royalement décorée. Bien que cela lui semblait beaucoup pour sa simple personne, ça n’est restait pas moins des préparatifs événementiel.

Couplé au jeu de couleurs, le buffet recelait lui aussi son attrait par les différentes saveurs des mets préparés. Sucré, salé, acidulé ou amer, l’explosion des goûts était au rendez vous. Cela représenté un grand nombre de culture, équivalent à toutes les personnes que l’on pouvait croiser dans les couloirs de l’Académie.

Accumulé aux décors et au goûts, le dernier élément nécessaires à une fêtes réussie était lui aussi présent. Il y avait ceux qui l’avaient accueilli a son arrivé mais aussi un grand nombre de ceux qu’il avait lui-même accueilli a leur arrivé. La liste est bien trop longue pour que tout les noms soit cité, elle représentait la gente des Académiciens.

Apres être passé de gâteau en gâteau, pour en souffler toutes les bougies, il cru bien à un moment qu’il allait manquer de souffle pour pourvoir toutes les éteindre. Mais il en vint à bout quand même. Là encore les gâteaux, tant dans leur forme, que leur couleur ou encore leur goût, c’était l’explosion de saveurs culturelles.

Une bonne partie de la journée fut passé à ouvrir les nombreux présents reçus. Là aussi il y avait de tout, pour lui, pour s’équiper ou décorer. Autant pour le confort, que le travail ou la détente. Il était sur que quoi qu’il fasse le lendemain et les jours suivants, il ne pourrait pas faire autrement, pour qu’au moins un des cadeaux du jour lui passe dans les pattes.

Les allés et venues dans la salle s’étaient faites au rythme des obligations de chacun. Pour la première fois depuis son arrivé au sein de l’Académie, il n’avait put quitter la salle du « Saké Joufflu ». C’est seulement au soir d’une journée passée plus rapidement que d’habitude qu’il réussi enfin a rejoindre sa chambre.C'est les pattes chargées, mais aussi les bras de quelques personnes l’aidant et l’accompagnant à son antre,qu' ils entrèrent afin de déposer tous les présents dans un coin de la chambre.

La porte refermée sur ses bienfaiteurs, il se retourna en se demandant bien comment il allait pouvoir réorganiser sa chambre, sa penderie mais aussi sa chaire (son bureau). Un fois la toge retirée et déposée sur le lit, la bête était à poil, dans toute sa splendeur. Redescendu de ses pattes arrière, il était enfin à quatre pattes au sol. C’est en essayant l’un de ses cadeaux, le Zabuton, qu’il s’endormi roulé en boule dessus, écrasé par la fatigue.


[hrp] Un grand merci a tous, pour l’effort et l’originalité de chacun. Comme le veut la règle, la journée étant passée, je clos ce message, en vous offrant un dernier petit RP... (Pour ce poste)

Encore une fois, Mille Mercis … [/hrp]