Mariage du maitre d'école Ominoe et de Dounette

Invité

Once Upon A Time…

Il était une fois, sur une planète où le malheur et la pauvreté régnaient en maitre, le seigneur Ominoé. Ce Roi, je dois vous l’avouer, était le pire Roi que vous puissiez imaginer. Même son père, le fameux
Souverain Maudit, dont l’Histoire même n’a pu totalement effacer les
crimes, était un saint à coté de ce despote sanguinaire.

Ce roi,qui vivait dans un luxe honteux, et de mauvais gout, en plus, aimait à se balader dans son pays exsangue, savourant la crainte qu’il pouvait lire sur les visages de ses humbles sujets. Rien ne pouvait plus le mettre en joie que d’assister, tôt le matin, à une sympathique lapidation sur place publique. Cela aidait à la digestion de son petit déjeuner, disait-il.

Cependant, malgré ses richesses et ses petites joies quotidiennes, Ominoe ne parvenait pas à trouver le bonheur. Les écartèlements ne lui suffisaient plus. Seul, tout en haut de sa tour d’ivoire, le monarque ne prêtait parfois même plus attention aux cris des suppliciés. Le roi se souvenait…

Dans sa prime jeunesse, le roi avait connu ce que nous pourrions appeler une forme de bonheur. Petit garçon joueur, comme le sont tous les enfants de son âge, il avait trouvé une compagne de jeu, qui n’avait pas son pareil pour enlever délicatement les ailes des mouches qu’il attrapait pour elle. Hélas, les plaisir simples n’ont qu’un temps, et un jour, la petite fille ne vint plus au rendez-vous. Il parait que ses parents avaient déménagé, clamant haut et fort que vivre dans ce royaume maudit était mauvais pour la santé. Quoi qu’il en soit, le petit prince ne revit jamais son amie, et son humeur, déjà difficile, devint massacrante. Jamais, se disait il, jamais je ne trouverais une autre jeune fille comme elle.

Un soir, alors que l’été tirait à sa fin, le roi décida brusquement de sortir. Tout le monde en fût très étonné, car c’était le moment de la journée où les grands banquets étaient dressés pour le festin de nuit, et jamais le roi ne manquait cette occasion de parader, en grande tenue de soie brodée d’or. Le carrosse royal fut rapidement amené, et le cortège démarra, laissant tout de même sur place un cocher qui avait eu l’incroyable outrecuidance de marcher sur l’un des royal pieds dans la précipitation. Un tel manquement à l’étiquette aurait dû être chèrement payé, mais le cocher fut bien soulagé de ne recevoir qu’une petite quarantaine de coup de fouet. Le roi était d’humeur guillerette.

Hélas, son humeur s’assombrit vite. Son humeur joyeuse avait du être contagieuse, car le bas pays avait l’air nettement moins malheureux qu’il n’aurait dû l’être. Une telle insolence était tout bonnement incompréhensible, et le roi commença à se demander s’il ne vieillissait pas. Le rythme des écartèlements avait il diminué ? Un horrible soupçon le traversa…ses bourreaux préférés l’avaient ils trahis ? Maintenant qu’il y repensait, il avait cru discerner le matin même un soupçon de joie dans les cris d’un écartelé…

Il fut brusquement tiré de ses amères réflexions par un beuglement inhumain. Il se redressa sur son siège, dans l’attente d’un autre cri, et un large sourire s’étira sur son visage lorsqu’un deuxième hurlement épouvantable traversa la campagne. « Mais cocher, quel est ce son si doux ? » Le cocher, effaré que le roi lui adresse la parole, bégaya : « Seigneur,
c’est la saison de la saucisse… » « Faire pendre ce cocher »,
nota mentalement le roi, tout en ordonnant d’une voix excitée qu’on l’amène à l’origine du cri. C’est ainsi que tout le cortège royal se retrouva en train de s’engager dans la cour crasseuse d’une petite fermette délabrée.

Le roi se senti défaillir. Là, se tenait la plus merveilleuse créature qu’il ai jamais vu. Les manches retroussées, grognant et jurant, une jeune femme tentait de retirer les entrailles d’un cochon encore fumant. Aux bruits des carrosses, elle se redressa, laissant sur son front une large trainée de sang noir. A cette vision merveilleuse, le roi n’y tint plus, et ordonna à son cocher, dans un grand élan romantique, d’aller querir la jeune femme pour la ramener au château. « Ne l’abimez pas trop », murmura le roi, tout étonné de sa propre faiblesse.

C’est ainsi que Dounette, jeune donzelle au caractère improbable, connu dans le milieu très select des porchers pour être proprement insupportable, fit son entrée fracassante au château.

On murmure que, finalement, elle finit par se calmer au bout de quelques jours, après, évidement, avoir cassé quelques bras et pas mal de dents. Elle fini même par s’accorder avec le Roi. Le rythme des exécutions ne baissèrent pas, mais on put y décerner par la suite une touche de raffinement toute féminine.

Le roi de l'école, le bel Ominoe, vêtu d'orange et coiffé de ses lauriers plus reluisants que jamais, sorti de son royaume avec sa dulcinée au bras, et discretement suivi par des esclaves qui ne se faisaient pas trop remarquer, le maitre tenant à une réputation "clean" hors de ses murs.

Les doux chaots de la calèche le bercait tendrement, et il mit sa tête contre l'épaule de sa promise.

Alors, très chère, tout cela vous va-t-il ? Nous devrions arriver pour la cérémonie en toute discretions...

Hélas... il n'étaient pas arrivés qu'une foule d'admirateurs en délires se pressaient autour des mariés.
Notant dans un coin de sa tête qu'il devait pendre ceux qui n'avaient pas su tenir leur langue, il appela ses laquets-eclaves pour organiser une grande fête digne de ce nom... et de lui.

Ambre avait revêtu son plus beau costume bariolé pour le mariage de son maître avec la fougueuse dounette. Elle franchit tant bien que mal la foule des admirateurs en délire, subtilisant habilement quelques bourses au passage. Elle arriva enfin devant le souverain et sa future compagne et s'inclina bien bas.

"Bien le bonjour, noble seigneurs ! Vous me voyez honorée d'être présente le jour de votre union. Permettez que je vous accompagne de mes tours tout au long de cette noble journée, événement majeur de votre vie, qui verra fleurir à foison les héritiers pour notre beau trône."

Elle se redressa et fit une cabriole.

"Permettez-moi tou d'abord de vous présenter mes plus sincères félicitations pour cette union si judicieuse."

Alban avait reçu le matin même un fair-part de mariage. Il avait d'abord cru à une blague mais il avait tout de même décidé d'aller voir de quoi il s'aggisait. Il sa faufillla à travers la foule, telle une ombre, cachée sous une longue cape blanche d'élèves. Il parvint enfin au couple des plus étranges : le maître orange Ominoe et une mentorette dont il ignorait presqeu tout : Dounette. Il y avait également là sa mentorette qui présentait ses félicitations au couple. Il décida de l'immiter, elle semblait mieux renseigné que lui sur le protocole.

- Mes félicitations seigneur et mentorette, puissiez-vosu trouver dans cette union ce que vous avez toujours cherché.

Il s'inclina une nouvelle fois puis marcha discretement le long du carose en ruminant une étrange pensée :

* Il n'y a aucun garde du corps... Etrange pour la promenade d'un tyran et de sa futur femme...*

Arhain avait été surpris de recevoir une lettre en ce levant se matin ci, un fair part qui plus est.

*Tiens encore un mariage, sa commence à faire tout sa!!"

Ainsi, arhain se rendit au lieu indiquer, dans l'espoir de félicité son cher Ominoe et sa futur femme, une certaine Dounette. Il arriva sur une place, déjà investi par de nombreuses personnes. Il vit AFA et Ambre en présence des futur marier. Il salua tout d'abord Ambre et AFA, puis reporta son attention sur le souverain et son épouse

"C'est un jour important pour vous, et j'espère que vous serez heureux de part votre union. Cher Dounette, puissiez vous aimer cet homme et qu'il vous serve bien (^^), et vous mon ancien maitre et maintenant seigneur, puissiez vous être aimer et chérir cette femme."

Quand il eut terminer son petit discours, Arhain se recula vers AFA et dit tout bas:

"tu la connait un peu Dounette?"

Alban ne put s'empecher de sourire à la question de Arhain'sen. Il réfléchit longuement avant de donne un semblant de réponse :

- Son arrivée ici est pour moi brume dans ma mémoire. Je ne l'ai pas beaucoup vu dans les lieu de haute fréquentation mais j'ai oui dire que son histoire avec Ominoé de date pas de la dernière pluie même si mes sources de renseignements ne sont pas parfaite. Je sais juste qu'elle est arrivée après Ambre et qu'elle est égalment mentorette. Et toi, tu en sais quoi ?

Alban nourissait le secret espoir d'augmenter sa basse de données en rassemblant son savori avec l'ombre du phenix, Arhain'sen.

Ominoe avait toujour trouvé le fou drôle, et il se décida à l'embarquer dans sa calèche, désormais à quelques centaines de mètre du lieu de cérémonie. Il remercia la bouffone pour ses voeux, et Dounette fit de même : elle avait elle aussi beaucoup de sympathie pour cet être étange.

La foule se faisait de plus en plus compact, quand il vit s'avancer vers la calèche un élève qui lui était bien connu. Ils firent ralentir un peu le cocher pour recevoir les sincères salutations d'AFA. Ominoe lui serra la main avec entrain.

Merci, Albzn, merci... merci d'être venu, et j'espère que vos paroles se réaliseront, mon ami. Comme je suis sûr que vous trouverez le bonheur, vous aussi. Je compte bien vous voir toute la journée, que vous profitiez du buffet, nous pourrons encore discuter un peu...

Etant arrivé sur les lieux, le couple descendit de la calèche en grande pompe. Ils avaient opté pour quelque chose en plein air, mais n'avaient ps prévu telle affluence. La colline, qui ne comportait théoriquement que l'autel pour leurunion, était en train de se remplir de stand pour acceuilr très bientôt les buffets et animations commandées à la hâte par le maître des oranges pour satisfaire les convives. Inutile de préciser que les oanges étaient ici l'élement principal de décoration.

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Dounette se tenait bien droite, les yeux rivés vers l'horizon, les mains derrière le dos, dans l'attitude la plus noble que son éducation de porchère pouvait lui laisser imaginer. Elle jetta un coup d'oeil fébrile à son beau seigneur Ominoé. Il ne lui prêtait pas attention, ce qui, dans son cas, était une nette marque d'affection. Rassurée, la donzelle essaya de détendre discrêtement ses muscles endoloris. Que la cérémonie était longue !

Soudain, son regard se porta vers un tréteaux qui avait été monté un peu à l'écart, sous une tente. Son regard se plissa, puis, quelques instants après, on pu voir la reine courir, toute heureuse, vers la table chargée de victuailles.

"Ô seigneur, s'écria t elle, comment vous remercier? Quel magnifique cadeau !" Sous ses yeux éblouis s'étalait une quantité phénoménale de charcuterie et de cochonnaille. Le roi Ominoe s'approcha, et, posant ses larges mainS sur les épaules somme toute assez carrées de son épouse, lui murmura "En homage à notre rencontre, chère amie".

Ayant eu vent de cette grande nouvelle, Aldaron avait pris place non loin des stands que la foule envahissaient peu à peu. Vêtu d'une grande toge brodée pour l'occasion, il commençait à être noyé dans foule et prit soin de s'en extirper legèrement pour pouvoir gratifier le couple de cette union. Il s'inclina respectueusement devant le roi, et fit un sourire à sa mentorette.

« Bonjour mon seigneur, puisse cette union vous apportez le plus grand bonheur, que ce mariage soit béni... »

Il se releva avec délicatesse et regarda le roi et sa mentorette dont les yeux pétillaient de joie, avant d'effectuer un leger retrait pour admirer le grand buffet.

[HRP]Euh, je suis désolé les gens... Mais il y a des règles pour ça.

Une fête, ce qu'on apelle un évent de RP, ne s'improvise pas. Euh oui, ça s'organise et il faut demande les autorisations préalables là où il faut, soit auprès du Gardien des Portes de la Ville Basse qui vous donne date et conditions, et ensuite, une fois arrangée avec lui, vous devez proposer la fête en Ville Haute - surtout quand l'un des concernés fait partie des Quatre Sages =)

Je suis désolé, c'est de nôtre faute, on a un peu délaissé le précédant mariage et de fait vous ne saviez pas tout ça, mais maintenant que vous le savez, n'hésitez pas à l'organiser, auprès des personnes concernées Wink

Vraiment confus mais on ne peut pas laisser tout le monde se marier ou organiser des fêtes comme ça leur chante.

J'ai vérifié, pas de message du SBienveillant en fonction dans ce topic, aucune annonce en Ville-Haute... Je vais mp les personnes que ça regarde et voir ça avec elles.

J'espère que votre mariage sera arrangé le plus tôt possible, voyez les dates avec qui de droit.

Cordialement,

.A.[HRP]

Edit Ominoe : Oki, ça marche...
En fait étant donné qu'on prenait en charge tout le RP et qu'on avait pas spécialement besoin d'annonçe, j'avais juste demandé l'autorisation à Nichiren hier soir, autorisation qui avait été donné.
Je savais pas qu'il fallait obligatoirement annonçer, et tout et tout...
Excuses donc.

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