La guerre nouvelle [Science fiction]

[HRP] Excusez pour le dernier paragraphe, problème de couleur... [/HRP]

Chapitre I : Une vengeance longuement attendue


Nous sommes en l’an 5621, la vie des humains n’a pas beaucoup changé car les maisons sont quasiment pareilles,, à part les quelques transformations qu’elles ont subies pour le confort des humains. Ils vivent maintenant plus sereinement et s’activent ensemble à présent. Les guerres ont cessées et c’est ainsi que cette civilisation s’entraide au lieu de se disputer, c’est un énorme problème résolu de plus. On pourrait dire que la vie des humains s’est nettement améliorée, mais il persiste quelques événements qui inquiètent surtout un vieux jardinier lorsqu’il se leva un jour et regarda par la fenêtre…


Les plantes qui poussaient dans son jardin étaient magnifiquement entreposées dans une petite étendue de verdure, les haies coupées soigneusement formait un très bel ensemble. Mais un problème survint dans la tête du vieil homme penché à son balcon de feuilles : l’énorme rangée d’arbres qu’il avait mit tant de temps à s’occuper avait disparue. En effet, les énormes conifères qui surplombait son jardin de rêve n’étaient bel et bien plus là et la vielle personne en tomba raide morte sur le balcon en pierre de sa chambre.

La lumière blafarde de la télévision ruminait encore ses mots dans ce tragique instant de la mort d’un humain : « … Des accidents survenus un peu partout dans l’Europe…. Des arbres disparus…. Impossible de trouver le coupable par manque d’indices, les traceurs n’ont détectés aucun signe de vie humaine autour des arbres en questions… La police cherche...


La forêt commence à s’éveiller dans le crépuscule de ce matin, les gouttes des feuilles vertes scintillent devant les rayons du soleil, et les oiseaux entament leurs chants matinaux. Le sol est humide par le brouillard et la rosée des débuts de journée, mais il va bientôt se faire fissurer par les petites secousses que les animaux ressentent. Le sol tremble par moments, et les racines d’un arbre immense sortent tout à coup de la terre. Un nuage acide et jaunâtre flotte autour de ses feuilles au vert vermeille, et ses bases commencent à onduler sur le chemin de pierre. Son passage est semblable au souffle du vent et d’autres arbres s’activent à cette tâche, un même nuage pareil à celui-ci au dessus des géants verts.

Le rassemblement se prolonge comme les fourmis qui se hâtent pour construire leur fourmilière, les arbres débutent enfin à se diversifier. Des conifères apparaissent suivi de plantes rampantes comme les ronces ou le lierre, tous se rassemblent pour se diriger vers une plaine proche. Arrivés, ces plantes font penser à une forêt qui se déplace, cela devient un peu affolant…

Les humains continuent leur vies habituelles comme le cours d’eau qui est la vie. Les plantes avancent et je ressens leur haine et leurs colère qui montent en eux, ils veulent la vengeance qu’ils croient juste. Les ronces dépassent les arbres et avancent camouflés dans la blondeur des grains de blé, un homme voit la forêt vivante approchait, deux hommes voient la forêt vivante approchait, trois hommes voient la forêt vivante approchait…. La voix résonne comme un écho… Et la nature dévoile sa colère blanche aux humains.


Les ronces s’enroulent autour des humains et leurs visages sont griffés tandis que la chair commence à partir en lambeaux. Le lierre monte le long des jambes rouges et tuméfiées à cause des branches puissantes des conifères. Des cris stridents se font entendrent dans les bâtiments qui subissent impuissants l’invasion des plantes, la tête d’un humain passe de rouge à violet lorsque qu’il sent le lierre qui l’étrangle. C’est le premier crime de la nature et il va y en avoir bien d’autres… Mais moi, jeune loup, a entendu l’appel de la forêt et pourtant, je l’ai écouté même si je sais que c’est mal, et aujourd’hui : j’ai tué.

[ HRP: Merci pour ton message Méphistophélès pour ton message, j'y penserai la prochaine fois, bonne lecture !! /hrp ]

Chapitre II Menace grandissante ??


Vu les circonstances, les lances-flammes et armes destructrices ont été remises en service.



Le journal de 20heures passe à la télé et les journalistes y mettent toutes leur énergie pour rapporter les événements passés.

« … Des habitants désespérés devant leurs maisons détruites et leurs familles mortes, c’est ce qu’on peut rapporter des pauvres personnes qui habitent la région des vosges. Apparemment, ce serait des arbres, ou des ronces qui s’attaqueraient à cette région très boisée, on ne peut que voire des gens désespérés et accaparés… Un député a eu enfin le courage de venir faire un discours et d’envoyer des bûcherons abattrent ces arbres…. ».


« Comme la nature nous a tous surpris par ses raids rapides, notre réaction est un peu tardive. Il faut agir, je vous l’accorde. Je vous autorise à allez abattre la forêt qui nous menace, mais agissez avec prudence…. ». La voix de l’homme est incertaine, comme si tout ça n’est que l’imagination des habitants.


La plaine verdoyante s’étend à perte de vue, les herbes folles dansent au rythme du vent. C’est une journée comme les autres, sans problèmes, bref, la nature vit son cycle normal. Les bûcherons avancent d’un pas lourd dans le sol jonché d’herbe. Au-loin, ce n’est qu’une forêt verdoyante vivant son cycle. Arrivants près de la clairière, les hommes s’aspergent pour essuyer la sueur de leur front et partent accomplir leur besogne. Sifflotant, l’un d’eux heurte sa hache au tronc et rien ne se passe car l’arbre reste immobile. Une entaille quelque peu profonde se dessine sur l’arbre, ce qui satisfait le bûcheron.


« Ben c’est bon !! Y’a rien à craindre !! »


Sa voix tonitruante résonne dans la verdure à perte de vue et les coups de haches s’enchaînent. Un arbre tombe lourdement sur le sol suivi par d’autres jusqu’au moment où le silence se fait dans la clairière. Les hommes se regardent inconsciemment, ils regardent en face l’horreur que des habitants vivent depuis quelques temps. Un loup, les babines retroussées les regardent fixement. Le combat dure longtemps, ce n’est que fourrure et sang pendant trois heures.

Rien à ajouter si ce n'est que face à un tel phénomène, les humains auraient balancé du napalm.

Sinon tu répète fort le mot "humains" dans ton premier post, c'est gênant sur le long terme. Vivement la suite que je puisse mieux juger

Chapitre trois : une cuisante défaite

Les humains auraient-t-ils trouvé un adversaire à leur taille ?? Nul ne le sait. Ce qui est sûr, c'est que la nature est déchainée, et qu'elle ne s'arrêtera pas à quelques massacres.

27 mars 2009 : je commence ce journal, des évènements plus que troublants m'ont poussé à le faire. Mon magnifique chêne a disparu et il parait que les forêts des vosges s'attaquent aux humains. Invraisemblable, comment un arbre planté dans la terre, peut-il tout à coup, comme ca sortir du sol et avançait ? Je commence mes recherches sur ce sujet

" Ren... u.....poi... d'a... que !!!!! ".
La voix du capitaine est couvert par le rugissement des voitures militaires. Les tanks, les lance-missiles, l'armée a sorti les armes. Mais par nessecité, car c'est pour rassurer plutôt qu'autre chose les habitants.

Le camp est monté tandis que les soldats patientent en fumant... Le soleil est éclatant avec un ciel bleu magnifique," c'est signe que les arbres arrivent" leur crient leurs habitants. Foutaises, les soldats les rassurent et les raccompagnent chez eux....

Le silence tranquille règne quand l'éclaireur reveint et déclare que des arbres avacent vers la ville.
"Soldat, vous n'auriez pas fumé trop de cigarettes !!!!!! Vous allez me faire des patates mon gars. "

Faisant demi-tour, il se rend compte que le sol est jonché de lierre, le regard pitoyable du soldat lui fait comprendre que il n'a pas tout a fait tort. Regardant le lierre, par terre, il remarque un léger mouvement qui est lent mais régulier. Soudain, le rythme s'accèlère et s'enroule autour de sa jambe.

Le hurlement du capitaine lorsque le lierre l'étrangle décident les soldats à ouvrir le feu. Le missile fuse vers l'arbre le plus proche, en entrainant des éclats de bois, la forêt est déjà perdue. Les mitrailletes tirent, les tanks tonnent, c'est la fin. Des restes d'arbres gisent inertes sur le sol.

Plus loin, dans un plaine, Niro Okami se cabre, l'immense plainte de la forêt hurle de toute son âme. C'est un mélange de tristesse, peine, il emplit le loup qui est presque obligé de s'aplatir par terre tellement que la plainte fait mal. Des larmes commencent à couler sur son pelage, ces sentiments qui le prennent d'assauts son devenus insupportables. Les humains n'ont rien à craindre de la forêt, il n'ont qu'à la détruire à coup de bombe. Ce n'est pas une menace mais les humains n'ont pas compris ca....

La plainte se tut d'un coup. Les yeux du loup se rouvrent... Emplis de rage. Les babines retroussées, courant à une allure folle, il fonçe vers ce qu'il pense juste : aidée la forêt à faire comprendre aux humains ce qu'elle veut dire.

Le désastre est horrible à voire, une forêt qui se fait abattre un par un alors que la forêt hurle aux humains qu'ils faut qu'ils l'aide ! C'est assez, le loup court à pleine vitesse et ouvre la geule pour....

Le soldat maitenant fermement sa mitraillette tire de toute part sur la forêt. Tous ces compagnons en font autant à côté, la mission est simple, on détruit des arbres, on se fait payés et on recommence. Soudain il entend un grondement sourd dans les rangs et un corps gît à côté de lui. Se retournant, il voit un loup qui a sauté sur un autre le homme, leurs regards se croisent. Comme un ralenti, l'homme, horrifié, voit les dents casser un par un les os de la nuque de son ami... C'est un cauchemar.

Ils me tirent dessus mais je cours dans tout les sens ce qui fait que je ne recois presque pas de balle, humf, dans la patte. Je les tue tous mais je n'y arriverais pas, il faut que je m'en aille, la forêt a repris le dessus, non elle se fait détruire. Je m'enfuis....

Les branches s'abattents sur les tanks mais sans aucun effet, le lierre s'enroule autour des humains mais ce font déchiquetés, c'est une cuisante défaite.

Les humains auraient-t-ils trouvé un adversaire à leur taille ?? Nul ne le sait. Ce qui est sûr, c'est que la nature est déchainée, et qu'elle ne s'arrêtera pas à quelques massacres.

Bonjour, serait-il possible d'archiver cette " guerre nouvelle " car j'ai decidé de faire un nouveu projet avec ces deux textes. Je n'en dis pas plus !

Niro Okami