Le Comptoir: parlons de vos lectures

Méphistophélès a écrit:

PS: Et mon flood imbécile te zut, petit nem.
[/color]

Petit nem deviendra grand
Bon c'est déjà milles fois plus éclaircissants et riches que ton premier post quand même....Là je me dis "rahlalla c'est beau la réflexion" dire qu'auparavant je pensais plutôt à "Mais mon dieu qui est-il pour dire ça ?".

Pour revenir sur le sujet, j'ai depuis environ deux ans dans ma bibliothèque un livre qui s'intitule Bobby Pendragon de D.J.Machale. Le titre ainsi que la couverture m'ont toujours amené à repousser ce livre pour un autre mais j'aimerais avoir votre avis et savoir si oui ou non, il en vaut la peine.

Citation :

Toutefois, il me
semble que ces écrits sont trop profondément ancrés dans leur époque
pour être au goût du pauvre petit lecteur du XXIème siècle que je suis

Je ne partage pas du tout cet avis sur Henri Bayles...

Je me souviens d'une professeur de français à l'époque qui nous avait appris une phrase de Nietzsche qui disait de Stendhal qu'il était le dernier psychologue français. Son oeuvre est d'une richesse à faire pâlir nos auteurs contemporains; elle est certe encrée dans le XIXème, mais parle de sentiments que tout jeune contemporain connaît: l'ambition et l'amour, l'avenir et le passé sont des axes de lecture de Le Rouge et du Noir. J'ai laissé ce roman à la manière de Sorel sous mon oreiller pendant des années. C'est une oeuvre que j'ai adoré. La Chartreuse de Parme est un roman des plus érotiques comme avait dit Amélie Notomb dans l'émission Bouillon de Culture... Sensualité de la pureté, une écriture a réveillé les morts.

Haaa je fond, le réalisme subjectif... Racine et Shakespear, De l'amour ou son dernier Chroniques italiennes sont jouissifs pour mes yeux comme pour mes oreilles. Des monuments phrasiques et sémantiques qui vous font voler quand vous prenez la peine de les saisir.

Balzac, le summum, des descriptions d'une minutie flamboyante, une lecture difficile pour le neophyte, mais des pages et des pages d'un talent littéraire innimitable, sauf par Proust quand il c'est amusé personnellement à travailler le style d'Honoré. Sensationnellement jouissif que de lire ces lignes. Le lys dans la Vallée, Les Chouans, le Colonel Chabert, La peau de chagrin, Le père Goriot et sa petite Delphine si craquante... Rastignac aide moi à convaincre ces jeunes que ton maître fût l'essence même de la littérature française.


" Paris est le plus délicieux des monstres : là, jolie femme; plus loin,
vieux et pauvre; ici, tout neuf comme la monnaie d'un nouveau règne; dans ce coin, élégant comme une femme à la mode. Monstre complet d'ailleurs! Ses greniers, espèce de tête pleine de science et de génie; ses premiers étages, estomacs heureux; ses boutiques, véritables pieds; de là partent tous les trotteurs, tous les affairés. Eh! quelle vie toujours active a le monstre? "

Balzac je t'aime !

Pour être franc, je n'aimais pas étant jeune, mais j'ai beaucoup changé. C'est en cultivant la fibre littéraire qu'on peut à terme apprécier le style que les jeunes considèrent souvent comme pompeux de Balzac ou Prout notamment.

Et pour en revenir au sujet, en ce moment j'ai vomi sur Harry Potter en version original et j'ai jeté comme du papier pourri ce torchon de littérature fantastique. Tellement m'en avait parlé comme d'un chef d'oeuvre. Un chef d'oeuvre pour gamin, digne des romans pour donner le goût de la lecture à nos jeunes, rien de plus. Style littéraire d'une faiblesse énorme. Déçu j'ai été énormément. Alors je suis revenu à de vieilles lectures. Un petit recueil d'Edgar Allan Poe avec les nouvelles Petites discussions avec une momie, Le puits et le pendule. Saisissantes comme d'habitude, en plus les traductions étant faites par Baudelaire, je me délecte. J'ai entamé aussi les poèmes que Verlaine avait écrit en prison (une partie publiée dans Sagesse) que j'aime tout particulièrement pour la montagne de références culturelles imagées. Et là récemment j'ai encore craqué sur plein de bouquins que je n'aurais pas le temps de dévorer.

Ah si, un vieux Marion Zimmer Bradley qui reste l'un de mes auteurs préférés en matière fantastique, voir en fait, ma préférée. Je vous la conseille à mort si vous aimez les émotions et les belles histoires d'amour fantastiques.

Citation :

En ce qui concerne la littérature fantastique, je te trouve un peu sévère à l'endroit de ce très cher monsieur Potter: serais-tu de ces gens pour qui tout est soit absoluement hideux, soit foncièrement génial ? [/color]

Sévère ? Non voyons, juste, et objectif en toute circonstance. Sans prétoucher à l'ironie, je dirais même qu'il est monstrueusement mal écrit. Mais je ne conteste pas son aspect intéressant en terme d'attirance des jeunes pour la lecture. S'il peut amener en notre giron quelques nouveaux passionnés, pourquoi pas, mais sa portée en ce qui me concerne n'ira pas plus loin. Une bonne autodafé ne me déplairait pas.

Sinon bien au contraire, on me qualifie souvent d'être "gentil" notamment en matière cinématographique par exemple. J'aime presque tout, mais quand c'est hideux, je frappe avec violence. Pour toi public (un peu de culture diantre), un petit classement de mes lectures uniquement fantastiques (attention je parle des oeuvres originales et pas des traductions), de la pauvreté littéraire au chef d'oeuvre. Je vais même m'amuser à nuancer.

M. Moorcok (merde infâme)
J.K. Rowling (métaphoriquement réel hideux)
A. Rice (euphémisme bouseux)
R. Barjavel (simpliste)
C. Dickens (intéressant)
J.R.R Tolkien (pas trop mal pour son côté pionier)
D. Buzati (très intéressant)
F. Herbert (philosophiquement intéressant)
M.Z. Bradley (émotionnellement très fort)
J. Verne (inventeur, qualité littéraire hors norme)
O. Wilde (j'adore)
I. Asimov (je lui mange dans la main)
Edgar Allan Poe (je lui fais l'amour quand il veut)

Bref c'est assez amusant d'essayer de les classer de manière subjective mais comme tu vois les nuances sont présentes. Enfin bon un peu d'inculture dans un monde de brutes et un classement sidérant pour prouver d'un caractère m'ont fait sourire, c'est déjà ça de gagner.

Citation :

Balzac ou Prout notamment.

c'est pas moi qui l'ait dit c'est TrOn (je tiens à préciser que Proust est mon auteur préféré de l'époque...)

Bon, je ne vais pas revenir sur Potter ni sur Stendhal (je suis assez d'accord avec TrOn) je viens aujourd'hui vous parlez de notre cher Emile XD

Bref voilà, j'avais une question...

Je suis en train de lire "Au bonheur des Dames", que je trouve très bien écrit, voire entraînant... Alors que j'ai détesté tous les autres Zola que j'ai lus.

Est-ce que je pourrais avoir votre avis sur ses oeuvres et savoir si vous avez pu constater une différence entre ce livre et les autres ?

C'est quand même pas normal ma réaction non ? XD

Bref, j'aimerais aussi savoir s'il a changé d'écriture au cours de sa vie (d'accord, je pourrais chercher sur internet, mais je pense que vos renseignements seront bien plus précis, surtout venant de toi Méphi, tu as déjà dû le faire en cours non ?)

Enfin, il se peut aussi que ce soit moi qui ait évolué, mais ça ça m'étonnerait, je me sens toujours aussi bête qu'avant

Bon ben entretemps je me suis quand même posé moi-même la question de savoir pourquoi j'aimais bien le bonheur des dames et pas les autres... La réponse est toute simple : le roman est beaucoup plus rhytmé.

Je m'explique : dans l'Assommoir ou Nana, par exemple, l'action centrale se déroule autour d'un seul personnage, Gervaise, ou Nana, justement... Dans le bonheur des dames, l'action se déroule selon moi autour d'un lieu, le magasin de nouveautés le bonheur des dames. Ce qui fait qu'on cotoie en même temps plusieurs personnages, et ce dans le même chapitre, que ce soit la vendeuse Denise, le patron Mouret, la cliente Mme Desforges, le concurrent bobineau etc. Ce changement de point de vue entraîne un effet de grandeur vis à vis du magasin dont dépend autant de monde, et on a l'impression que le roman est une étude de ses différents mécanismes...

Maintenant, j'ai l'impression que mon analyse est entièrement fausse, si vous vouliez me dire ce que vous en pensez...

Zehyr, je n'ai jamais lu le prince de Machiavel même si je devrais, mais les extraits que j'en ai étudié m'ont plu. C'est bien s'il t'a plu, tu vas e avoir besoin l'année prochaine en français, et plus tard en philo

Je n'ai pas non plus lu l'autre livre, désolée...

Mephi, j'attends ton avis sur la chose, même si tu ne feras pas changer le mien... *sartre powaa*

Citation :

le Prince, de Machiavel, dont je suis tombé fan,

Une superbe analyse politique et un écrit montrant très bien à quel point l'Italie était divisée et l'est restée jusque fort tard par rapports aux autres nations européennes. Ce manuel de gouverner m'a très bien servi dans Ogame ainsi que sur d'autres jeux.

Zola... j'ai lu quelques nouvelles de lui, j'ai lu les plus grands passages de Germinal et mon avis reste le même : il faut vraiment avoir une volonté de fer pour aller jusqu'au bout. Le style est lourd et assez fatiguant et je n'aime pas les thèses naturalistes concernant l'hérédité et tout ce qui en découle. Le genre naturaliste emprisonne l'auteur dans des règles trop strictes pour un réel épanouissement.

Je suis en train de lire un livre avec tout l'indifférence dont je suis capable (et qui ne suffit pas). Pas que le livre soit nul, juste qu'il vaut mieux se montrer indifférent face à cette histoire vraie sinon on larmoie... Le livre comprend deux parties : " Le moins que rien " et " l'ado perdu" de Dave Pelzer. (il existe aussi les deux parties sous forme d'un seul livre chacune je pense )
Un résumé rapide des choses qui y sont lisibles :

Citation :

la mere fait boire de l'amoniaque à son fils, et lui fait recracher au dernier moment,
elle lui fait prendre des bains d'eau glacé en l'obligeant à garder la tête sous l'eau, en plein hiver, avant qu'il retourne dormir dans le garage sur un vieux lit de camp.
Elle l'oblige à manger des excréments canins ou humains quand elle est de bonne humeur parce que d'habitude elle lui donne pas a manger.
Elle l'a meme poignardé et n'a meme pas été à l'hopital : il a du nettoyer sa plaie pleine de pus avec un linge humide dans le garage, manquant de tomber dans les pommes.
Le plus remarquable, c'est quand elle lui a mis la main dans les flammes du gaz de la cuisinière et qu'après elle voulait qu'il se couche dessus.

Bon, ce ne sont que ce que j'ai retenu, le lire est plus impressionant encore. Il faut savoir qu'il a été reconnu comme un des enfants les plus martyrisés durant son enfance. Pas besoin de vous faire un dessin pour deviner le thème de toute facon. Toujours est-il que ca nous fait ouvrir les yeux de lire ce genre de choses. [anecdote: moi qui croie en la bonté des gens, j'ai du mal à voir autre chose que de la pourriture en la personne de "La Mère" ^^']. Bref, je recommande aux âmes non sensibles (peut être les sensibles aussi en fait ) de lire ce bouquin. Pas pour le plaisir, mais pour se rendre compte que ca existe

Petit résumé sur l'auteur :

Dave Pelzer (né en 1961) fut martyrisé et battu par une mère alcoolique, jusqu'à l'âge de douze ans. Pour cette "mère", son fils n'était qu'un esclave, un souffre-douleur, une chose qu'elle torturait de jeux d'une inconcevable perversité dont, plus d'une fois, il faillit mourir. Condamné à dormir au sous-sol, dans un vieux lit de camp, il portait d'infectes guenilles pour tout vêtement et, quand il avait droit à une pitance, celle-ci consistait en restes que les chiens de la maison refusaient. Et bien sûr, personne ne se doutait de cet enfer à huis-clos. C'est au terme d'années de lutte de privations et de désespoir qu'il sera enfin libéré de son bourreau.
Il échouera, au gré des institutions, dans cinq maisons d'acceuil, jusqu'à ce qu'il trouve celle où l'amour est le plus fort. Petit à petit, il réussira à sortir de l'abîme, à force de courage et de persévérance, et à rencontrer des êtres capables de l'aimer enfin.

Il a été identifié comme un des enfants les plus sévèrement maltraités de l'histoire californienne. A douze ans, ses professeurs risquent leurcarrière et sauvent sa vie en alertant les autorités. A 18 ans, il est enrôlé dans l'US. Air Force. En 1994, il est le seul américain à recevoir un des dix prix "Outstanding Young Persons of the World" pour son travail de sensibilisation et de prévention faite aux enfants et sa capacité à inspirer du courage.

Ce n'est pas un mauvais romancier. Il est également l'auteur des Rivières Pourpres et de L'empire des loups ou encore, le Concile de Pierre récemment adapté au Cinéma.

Je lui reproche juste d'écrire un peu trop en visant l'adaptation cinématographique. Lorsque l'on regarde bien, les scènes apparaissent de manière a être facilement filmées et le personnage du flic mystérieux ou alors aux méthodes brutales finit trop par ressembler à Jean Reno ou a son jeu en général (ce n'est qu'un exemple mais dans l'Empire des Loups j'ai réellement vu Reno et je n'ai pas été surpris de le voir jouer un rôle lorsque le livre a été adapté au cinéma).

Plus que de parler de mes lectures récentes (je suis en plein dans Asimov), j'ai envie de vous faire une liste aussi peu exhaustive que possible des auteurs qui m'ont marqués et de leurs oeuvres.

Dantec : les racines du mal, Cosmos Inc, Babylon Babies. Malgré ses approximations ses bouquins sont passionants et nourrisants du fait des nombreuses references scientifiques et philosophiques.

Palahniuk : Son oeuvre compléte hormis le dernier qui va trop loin dans la de structuration du recit. Lui aussi je l'apprecies pour sa documentation, mais aussi pacre qu'il experimente un max, et pousse la forme du roman au dela de ses limites.

Robin Hobb : Pour le coté distrayant

George R.R. Martin : Le Trone de Fer, ATTENTION CHEF D'OEUVRE, ou quand les rois maudits rencontrent l'Heroïc Fantasy. Une saga a vous couper le souffle.

A tout ça se rajoute beaucoup de sciences humaines diverses et variées, de Tocqueville à Bourdieu en passant par Hayek Freud et Debords...
Même si beaucoup d'auteurs de sciences humaines ont une mechante tendance a la redite.

Sinon je lis beaucoup de Fantasy et de SF mais c'est souvent pas tres bon juste distrayant

Elvia a écrit:

Chuck Palahniuk est un auteur que j'ai découvert en lisant "Berceuse". Un style vraiment intéressant, un récit enchassé de flash-back avec des passages de descriptions hallucinantes (je pense à la scène où le journaliste piétine une maquette de cathédrale si mes souvenirs sont bons, la façon dont l'auteur le écrit m'a vraiment marqué).

Dans un tout autre style, quelqu'un ici a t-il lu "Le Démon" d'Hubert Selby Junior. C'est le seul livre qui m'ait jamais autant mise mal à l'aise, avec une véritable souffrance physique que de poursuivre sa lecture.

Le dernier paragraphe me fait irrésistiblement penser à "L'Assomoir" de Zola qui est l'unique livre que je n'ai pas pu finir. Car en plus de la noirceur terrible du livre, j'en ai commencé la lecture dans une période particulièrement noire pour moi. Finir ce livre m'était tout bonnement impossible. Un grand bravo donc à l'auteur, malgré la crainte que je garde de parcourir à nouveau les pages de ses livres.

J'ai lu Last exit to Brooklyn de Selby et j'ai adoré c'est glauque a souhait et c'est ce que je recherche dans la littérature contemporaine

Ah bah je te recommande vivement "Le Démon" alors. C'est l'histoire d'un homme qui est complètement soumis et dépendant de ses pulsions sexuelles. C'est .. dérangeant à souhait.

Je n'ai pas lu "Last Exit to Brooklyn" mais j'ai vu le film issu de ce recueil de nouvelles qui est assez glauquissime dans son genre : Requiem for a Dream.

A vrai dire à mon sens Dantec Palahniuk et Selby sont de la même trempe, ils sont passés maitre dans le degout. Pour ceux qui ont lu Les Racines du mal de Dantec ou A l'estomac de Pahlaniuk comprendront ou je veux en venir.

Ca sent la merde et le vomi. Même les actes d'amour poussent a la destruction

Aaaah, je viens de lire cette semaine le Candide de Voltaire et Animal Farms de George Orwell (Titre Français : La Ferme des Animaux).

Ce sont tous simplement deux livres géniaux.

Le Candide aussi dit l'Optimisme est une critique de l'optimiste béat et inutile, mais aussi une critique de l'esclavage, du fanatisme, de la guerre, du despotisme, et propose une philosophie de vie honorable "Il faut cultiver son jardin".
Un livre dont la lecture et l'étude plus approfondie m'ont beaucoup apportés et que j'ai trouvés, à la fois par la forme et le fond, d'une grandeur peu comparable.

Quand à Animal Farms, c'est jusqu'ici l'un des meilleurs bouquins de contre-Utopie qu'il m'ait jamais été donné de lire. Jubilant à souhait grâce à l'humour et le cynisme de l'auteur, il critique au passage les dictatures diverses et les dérives du pouvoir....Un livre qui se doit d'être lu, totalement dans la même lignée que 1984 (Big Brother) du même auteur, George Orwell.

Je vous conseille très chaudement ces deux livres dont la lecture ne prend franchement pas plus d'une semaine pour les plus lents.

Je suis en train de lire un livre de Fantasy qui vient juste de sortir
Je n'avais lu aucun de ses livres mais je peux dire que celui là me plaît. C'est un peu dur de rentrer dans l'histoire mais peu à peu un monde se créer autour de nous!

Citation :

La vie de Théo a basculé : un groupe de rock, une petite amie, un bébé en route, et soudain, tout s'écroule. Son groupe l'abandonne, sa fiancée le plaque, sa mère disparaît : le cauchemar. Et voilà que surgit une petite créature magique qui l'envoie, allez savoir comment, dans un monde digne d'un conte de fées déjanté peuplé de personnages bizarres. Théo va très vite comprendre qu'il n'est pas dans un dessin animé mais dans un univers bien réel où l'accueil qu'on lui réserve est franchement désagréable. Guidé par quelques compagnons facétieux (une elfe gothique, une fée colérique et des trolls jumeaux gardes du corps), Théo découvrira en Faërie le mystère de sa destinée...

Citation :

Robert paul "tad" williams est né en 1957 en Californie.Il exerce toutes sortes de métiers: chanteurs de rock,illustrateur et cartooniste ou encore présentateur de radio etde télé.A 25 ans,il commence à écrire L'arcane des épées et connait un succés mondial.Il est également l'auteur de saga de SF Autremonde et de la trilogie de fantasy Les royaumes des marches.

Source: www.fleuvenoir.fr

Un de mes livres préférés : "Les trois lunes de Tanjor"

Ecrits par deux auteurs : Anne et Gérard.

Résumé :

Un peuple d'individus aux cheveux blonds et aux yeux bleus est réduit en esclavage. Mais une légende raconte qu'une déesse nommée Ayesha viendra les sauver. On suit donc l'aventure palpitante de Marikani et de Arekh El Morales, à qui il arrivera de multiples péripéties.


Avis personnel : Livre très simpa, et qui m'a donné beaucoup d'émotions. C'est une oeuvre quelque peu engagée qui combat le racisme et le fanatisme religieux.

Les auteurs ont-ils écrit d'autres livres ? Aurais-tu quelques passages à nous soumettre ?

Ils ont élaborés des scénarios de jeux de rôle, ils ont écrits "l'Oeil des Dieux", et ont également écrits des bandes dessinées. (Bloodline, Chevalier Dragon...)

[Source Wikipedia ]


Pour un extrait du livre, je vais aller relire le début et l'écrire ici mot pour mot (juste quelques lignes)


"Ils étaient arrivés par milliers, traversant à pied les mers gelées. Les hommes, les femmes, les enfants du Peuple turquoise...Espérant une nouvelle vie, un nouveau soleil.

Nous les avons réduits en esclavage.

C'était ily a plus de toirs mille ans. Trois mille ans de captivité, trois mille ans de chaines, sous le regard des dieux. Sans le savoir, ils attendaient...génération après génération, ilss attendaient la légende qui leur donnerait le courage, l'étincelle, la flamme qui leur manquait...

Ce livre est l'histoire de la libération du Peuple turquoise.
Ce livre est l'histoire d'une révolution.

Tout commença par un naufrage..."







Voila la 1ere page...

rien que sa sa me donne des frissons et me rappelle des choses :p


Merci de ne pas faire de double post.

Pankhürya a écrit:

[...] j'ai relu cette semaine toute la trilogie La Quête d'Ewilan de Pierre Boterro, j'ai relu également les Fleurs du Mal
de Baudelaire, en suspend, ou en tout cas, prévu pour la semaine
prochaine, une relecture de la trilogie Les mondes d'Ewilan et surtout,
le dernier de ce que je croyais être une trilogie[...]
Avez-vous lu ces livres? Vous avez aimé?

mOi j'ai lu tous les tomes de la Quête d'Ewilan de BOTERRO et sache que j'ai beaucoup aimé!!!Je cherche à lire les fleurs du mal de BAUDELAIRE.Mais malheureusement j'en ai tellement à lire que je sais plus par où commencer!!