Le Réveil du Mordor

Viendez viendez les gens continuer les aventures et autres contes des monde de Tolkien, le mal n’est point vaincu et se relève bien plus vite qu’on ne veuille le croire, il est déjà presque prêt pour renouveler bataille et mettre la Terre du Milieu à sang et à feu pour le bonheur de leur maître des ténèbres, vaincu depuis déjà une vingtaine d’année (après la chute de Barad Dur)

Cette aventure ne suit pas des lignes directrices très précises, en gros je n'ai pas préparer grand-chose et je laisse donc une totale liberté quand aux actions de vos personnages, si ce n’est qu’ils n’entravent pas celui des autres bien sûr (si il y a des différents, les mp sont là pour vous dépatouiller).

Il n'y a pas d'inscription, vous êtes libre de venir et d'aller comme bon vous semble. Soyez quand même intelligent et ne participer pas si vous savez très s bien que vous ne poursuivrez pas l'aventure au bot de 3 jours.

Donc, c'est à vous qu'il reviens de faire un scénar, je donne juste quelques piste très globale, après vous vous dépatouillez avec ça. Z'êtes libre, mais n'oubliez pas que si l'on est maître de ses actions, mais pas forcément de leurs conséquences"

Mouahahah (l'anneau...my precioussss !!!
- dégage Golum !
* Paf ! *
- Ouille )

Certaines règles sont par contre à respecter pour que ça ne soit pas le bordel complet. (z’inquiétez pas c’est pas méchant). Entre autres :
* Vous devrez choisir une couleur (que vous utiliserez pour votre personnage – paroles & pensées)
* la narration sans couleur en italique
* les pensées entre "*" => * blablabla *

Petit conseil, si vous voulez poster un long message où d’autres personnages participent, faites un rp coordonnés et utilisez msn, ça sera bien mieux vous verrez. ^^

Il ne me reste plus qu’à vous souhaite une bonne aventure dans ce monde qu’est celui de Tolkien (qui ici ne se limite pas aux terres du milieux)

Voici la carte (pour qu’on sache où l’on se situe, prenez en compte les trajets qui mettent un certain temps, disons qu’à cheval, de Fondcombe à Minas Tirit, ya au moins 15 jours de voyage, 20 même voir plus) :





Astriel arriva dans une petite bourgade de quelques centaines d’habitants, il se situait en bordure du fleuve Calduln qui se déversait bien plus loin dans la Mer de Rhun (ou Mer de L’Est). Il faisait bon vivre dans ces terres du pays des vignobles. Le vin bien sûr était la boisson locale, il était même coutume de faire boire du vin aux enfants chaque année lors de la Fêtes des Vignes. Il faut dire que c’était dans ces contrées que les meilleurs vins étaient concoctés, loin des affrontements récents entre les hommes et le mal du Mordor, les terres de ce pays ne furent pas touchés par les influences du mal, aussi elles étaient bonnes, donnant de splendides vignes dont les raisins tenait un éclat qu’on ne pouvait retrouver nulle part ailleurs.

Il s’arrêta sur un monticule rocheux, sont voyage depuis les Monts de Fer l’avait érinté, cela faisait déjà une dizaine de jours qu’il chevauchait sans relâche pour tenter de suivre la piste de ces orcs. Qui n’avaient donnés nulles traces depuis la nuit dernière, ça en devenait très inquiétant, les patrouilles d’orcs et de gobelins se faisaient de plus en plus nombreux depuis quelques semaines, surtout la nuit. De nombreuses caravanes avaient été attaquées et le nombre d’enlèvement s’était accru comme une traînée de poudre sur toute la région.

* Les orcs ne disparaissent pas comme ça… *

Il caressa son cheval et ils repartirent en direction du entre du village, qui se nommait Garhilia.

Astriel arriva dans l’enceinte de la bourgade, les gens le regardèrent d’un regard fuyant mais respectueux. Les étrangers étaient d’habitudes biens accueillis mais avec tous ces problèmes récents, les humeurs étaient à l’inquiétude et à la peur. Comme si un ombre de terreur planait dans le ciel, influençant les esprits.

Il cella sont cheval dans les écuries d’une auberge appelé, La Vigne Ensoleillée, il y entra et commanda son repas ainsi qu’une chambre. La nuit tomba, le jour reprit le cycle éternelle commander par le temps lui-même. Quelques coqs chantèrent le lever du soleil encore endormit. Et la vie reprenait cours dans Garhilia, les paysans allèrent dans leurs chants, les boutiques s’ouvraient, et de plus c’était le jour du marché, un bon nombre d’habitants s’y rendaient donc, paniers et sacs à la main pour faire leurs emplettes.

Astriel resta ainsi à glaner durant deux jours pour prendre du repos, il trouverait bien une trace de cette escouade d’orcs de toute façon, elle se rendait vers la Forêt Noire, plus précisément elle semblait se rendre vers la Brèche de L’Est, étrange tout de même que de se risquer d’être encore plusieurs centaines de kilomètres à couvert…

Mais c’est durant la nuit du deuxième jour que l’ombre s’était armée pour lancée son combat, implacable, et sans pitié. De nombreux orcs s’étaient cachés dans les grottes situés non loin du village, l’alarme retentit dans tout le patelin, mais il était déjà trop tard pour bien répondre à cette attaque éclair, les orcs avaient déjà enfoncés les portes lorsque Astriel se rua dehors, déjà des maisons brûlaient sous le feu des flèches enflammés tirées par les archers gobelins. Il dégaina sont épée, et se prépara à l’assaut de la meute enragés, éprise de vengeance…Ils semblaient nombreux, au moins deux cents et nombreux sont les gardes, hommes, femmes et enfants qui avaient déjà périt sous les griffes des créatures infernales.

Le mal était là, il n’y avait pas de doute, quelque chose se préparait dans l’ombre, quelque chose de puissant. Il était aux portes de ces terres et réclamait sa faim de souffrance et de vengeance, de mort…

Astriel fut tiré de ses pensées, il prit son épée, Azkilia, forgée par les elfes il y a de nombreux siècles de cela, et s’empara de plusieurs de ses dagues empoisonnées. Passant dans l’ombre des bâtissent, il parvint à supprimer deux orcs dans la foulée, et lança deux de ses dagues sur des archers gobelins qui tombèrent des toits. A un tournant il fut surprit par un orc qui manqua de le trancher en deux, mais esquivant de justesse, le combat s’engagea alors, plusieurs coups furent échangées, d’un revers de main il désarma son adversaire pour lui trancher la tête.

Il continua sont chemin dans les rues, espérant trouver une quelconque résistance organisée contre cette attaque.

Dans l'ombre Yehoval Garamon dormait dans un hotel miteux. Son corps entraîné suivait le rhytme doux de son coeur. Ses long cheveux noirs qui lui tombaient jusqu'aux épaules étaient nonchalement dispersé sur l'oreiller.Fatigué par des journées de marche, il n'entendait rien du bruit qui courait dans la ville, traînées de hurlements et de cris de bataille. Son visage était calme et il semblait même qu'il rêvait des choses heureuses; un sourire s'était glissé, imperceptible, sur ses lèvres entrouvertes.

Quand la porte de sa chambre éclata violement. Des cris de bêtes assoiffés se firent entendre et le cliquetis disntinctifs des armes furent les salutations bienveillantes des orcs qui avaient envahi le motel. Il se laissa glisser en dehors de son lit au moment même où ils se lancèrent, cimeterre et poignard vers lui, hurlants (ou riant, les expressions des orcs restent encore un mystère). Au sol il toucha son Epée, endormie dans le fourreau et son arc posé non loin de là. Posant deux doigts sur son cou tandis qu'il prenait de sa main gauche son sabre, il songea

*C'est malin ça... voila que mon coeur bat à mille à l'heure...ils pouvaient pas frapper à la porte comme tout le monde...*

Il n'eut pas le temps d'approfondir sa pensée. Se propulsant sur le côté il évita une lame soucieuse de lui arracher quelque lambeau de peau. Se relevant prestement il n'hésita pas trois seconde. Prenant appui au sol il plongea sur les orcs, coupa la tête aux deux premiers qui s'étaient avancé, et amorçant un recul stratégique, récupéra les flèches disposés contre l'un des murs de la pièce. Jaugeant sa situation d'un coup d'oeil rapide, il compta six ennemis prêt à lui offrir un aller gratuit aux enfers.

*C'est peut être un peu trop pour un réveil...il vaut mieux entamer une retraite prudente... je n'aime pas trop ces combats imprévus.*

Déplaçant sa tête de deux millimètres il évita une flèche hasardeuse. Encore une fois il pensait trop lentement... .

Il ne voulait pas abandonner son arc malgrès sa furieuse envie de se jeter par la fenêtre.

*Un Arc composite offert par Yehendel... ils ne vont pas me voler le seul objet elfique en ma possession... *

Les claymores et les glaives semblaient hésiter en face. Probable qu'ils n'avaient jamais vu un ennemi réfléchir autant... . Il n'en demanda pas plus. Transperçant avec une flèche le plus proche adversaire, il se fraya un chemin à coup de frappe rapide et succinte jusqu'à son trésor, le mit rapidement dans son dos et jugeant que la situation risquait d'empirer dans les secondes à venir il opta pour la fenêtre.

Ce fut un choix discutable après coup. Le verre qu'il brisa d'un coup l'entailla à plusieurs endroits et la réception s'accompagna cri de surprise

*C'est une véritable invasion... *

Des orcs couraient partout, dans tous les sens, écrasant le village de leur acharnement furieux.

Yehoval sentit le mauvais vent continuer de le poursuivre. Hésitant sur le chemin à prendre, il sentit un trait effleurer sa joue droite. Il courut vers l'ombre la plus proche. De sa position il évalua ses chances de sortir vivant

*A un contre mille... si je suis pas le seul idiot à savoir me battre dans ce trou perdu... *

Il passa quelque rues, rasant les murs, épiant les carrefours avec un ennui profond. Tournant à gauche il entendit le fracassement d'une lame sur un crane. Le bruit le fit sursauter. Il se plaqua contre la paroi, chercha un poignard à sa cheville, et tendit doucement sa tête pour essayer de discerner l'identité du criminel.

*Tout sauf un Orc... Dieu m'est clément... *

Mais à peine eu t-il le temps de faire quelque pas qu'il vit l'inconnu continuer son chemin macabre.

Il le suivit à distance. Une vague lueur brillait dans ses yeux. Peut être qu'il avait trouvé un appui pour amenuire ses chances de mourir... . A un contre mille, il reste une chance de ne pas rejoindre ses aïeux.

Il entendit des bruit de pas derrière lui, et le résonnement d'un entrechoquement d'épée. Il se retourna, vit trois ombres contre une, prit son arc et ses flèches. Trois traits filèrent, trois orcs étaient mort. Il courut vers le combattant mystère qui s'ajoutait à sa chance. Quand il l'eut atteint , il était déjà mort. Maugréant contre la bêtise de mourir sans attendre son sauveur, il chercha à nouveau son inconnu.

*Morbleu...le voilà enfui mon oisillon!! *

Il courut dans différentes rues sans retrouver le mangeur d'orc qu'il avait croisé. Enfin, après quelques assassinats discrets d'ennemis isolés, il le retrouva dans une rue toujours en train de courir et de laisser derrière lui un désastre ambulant.

*Maintenant on fait connaissance, fini d'examiner ses bravoures...*

Il n'eut le temps de rien. Des Orcs arrivaient des deux côtés et leur nombre était effrayant. Ca allait encore mal se passer...très mal... Il jeta un coup d'oeil derrière lui... son bonhomme continuait son chemin... Il soupira...

Il leva sa garde et attendit l'adversaire, caché dans la pénombre. Il en avait déjà marre du patelin et se jurait de plus y venir avant la prochaine saison.

Fallait que je tombe sur un trafiqueur d’engin à moitié conscient, maugréa Yehoval

Il tendit un peu plus fort son arc et sentit une vague de frisson le traverser. Il calcula qu’avec trois flèches bien ajustée il lui resterait sept marmots à massacrer. C’était pas le bout du monde. Mais s’il finissait plus vite, il allait devoir aider son camarade et ca l’enchentait beaucoup moins…

La corde fut lachée. Trois orcs s’écroulèrent. Il réajusta deux flèches. Les Orcs étaient à cent mètre.

C’est pas une excellente idée d’être au milieu de la route, Confrère… Va falloir s’exiler…

On venait de leur répondre par un tir nourri, et des flèches les rasèrent.

Meme si Dieu doit veiller un peu la dedans…

Je ne crois pas en Dieu, lança Astriel avec nonchalance.

Son chargeur était fini, à croire qu'une trentaine de fléchettes n'était pas assez, trop rapidement écoulé à son gout. Certes, une dizaine d'orc s'étaient écroulés au sol, puis furent piétinés par leurs congénères,
d'auters rampaient, toujours avec cette lueur de haine dans les prunelles. plus le temps de recharger son engin, il rentra les branches et la machine se retracta d'elle même par un astucoeux mécanisme.

Astriel se saisit de son épée, et d'une de ses dagues imprégnées de poison.

Bon, je vous laisse finir votre boulot, je m'attarde au mien. Nous verrons ensuite ce qu'il en adviendra.


Yehoval gémit. Il pensa amèrement que son arc n’allait plus le servir. Il détestait le corps à corps. S’armant de deux poignards dans la main droite et de son épée main gauche il avança résigna vers les orcs. Son visage fut plus soucieux, moins cynique dans son expression. Rejoignant la nuit des bâtiments il s’élança en courant.

Le contact fut âpre et violent. Découpant les têtes en comptant les secondes qui lui restaient avant de mourir, il se rendit compte qu’une cinquantaine arrivait à la rescousse.

Les Cinquante qui suivent ne sont pas comptabilisé dans mon rendement !!

Il avait crié ses mots et l’adversaire semblait s’être figé, surpris et dérouté. Il finit de leur ôter la vie, et se dépêcha de rejoindre son camarade. Quand il l’eut rejoint, il le vit batailler sans effort. Il profita d’une accalmie pour essayer de reprendre leur discussion.


En fait… on ferait mieux… de trouver une autre solution que l’héroïsme… les toits… ca devrait être sympa comme chemin non ?

Vous lisez dans mes pensées cher compagnon

Non je lis dans ma survie

L'un n'empêche pas l'autre.

- Rendez vous dans la lune ...

Les deux hommes escaladèrent alors l'une des maison en s'appuyant sur des prises de fortune. Arrivés sur le toit ils contemplèrent un instant le désastre qui se proliférait au fur et à mesure des secondes; Le vent s'était levé de plus, attisant les flammes et leur redonnant vigueur. Il fallait faire vie pour ne pas se faire rattraper par ce torent flamboyant accompagné de sa marée sale et immonde.

Yehoval remit son épée dans son fourreau, garda ses dagues en main et fila de toit en toit, précédé de son compagnon de fortune. Le paysage était beau, vu de haut... .

Et maintenant... vous avez une illustre idée ou machinerie fabuleuse pour traverser la ville en un pas ou alors il va falloir encore faire mumuse longtemps...?

Le mieux serait de trouver un petit groupe de résistant pour pouvoir faire une percée, mais si votre flemme et votre égoïsme vous empêche de faire cela, nous pouvons très bien aussi filez comme des ombres. Ce que je n’approuve pas.

Un homme somnolait dans une clairière, se reposant de sa journée de voyage qu'il faisait à pied. La nuit éclairée de la lune était presque une allégorie à la douceur qui lui rappellait des beaux souvenirs passé au bord de la mer de Rhun.
Regardant les étoiles haut dans le ciel, il se souvenait de connaissances pour se dirigirer dans l'art de la navigation en mer intérieure. Sa main dessinait les constellations, les traçant furtivement en désignant le ciel du doigt.

*Tout ceci n'est que du passé désormais* Lança l'humain avec un grand soupir de désespoir, puis il se toucha frénétiquement le bras gauche, ressentant une vive douleur de brûlure récente.

L'homme somnolait mais n'arrivait pas à trouver le sommeil, son feu allait s'éteindre. Il avait les cheveux courts d'un brun comme l'écorce d'un chêne, les yeux noirs, mais un regard déterminé et froid comme la glace
qui recouvrait parfois en hiver la mer intérieure, celle qui laissait prisonnier pendant un mois les navires.

*Il est temps de dormir maintenant* fit il avant de se blotir dans sa couverture, regardant une dernière fois la carte qui le mènerai au terme de son périple, Bree.

L'humain n'arrivait pas à succomber aux assauts répétés du sommeil, au loin une lueur rougeoyante se formait, laissant supposer feux, flammes et fumées. L'indifférence le fit se mettre sur le coté pour échapper à la vision de cette lueur, mais c'était désormais l'odeur du brulé qui allait l'empecher de dormir.
Cette fois, il se devait de voir ce qu'il se passait, laissant en plan ses affaires de campement, il s'élança dans les ombrageuses plantes de la forêt en direction des lueurs qui se révélèrent alors.

Un village était en proie aux flammes, l'horreur, la terreur était au rendez vous, les gens fuyaient les hordes d'orcs venus saccager et piller le village pour d'obscures raisons.
Approchant discrètement, tout en carressant de sa main droite sa lame courte située au niveau de son épaule droite, le natif de Rhun, se dissimula derrière une barricade, voyant les atrocités des orcs sur d'innocents villageois. L'apparente lumière crée par les variations lumineuses des flammes révélaient l'humain, portant une armure légère en cuir, qui n'entravait nullement ses mouvements, portant deux armes, un sabre à la ceinture, coté gauche, une épée courte à l'arrière de l'épaule au coté droit.

"Bon sang, je ne devrais pas être là, ce n'est nullement mon problème d'être en ces lieux !"

En se relevant pour partir de ces lieux de désolations, l'homme remarqua une jeune villageoise de 16 ans, face à un orc lubrique. Cette fois, l'humain n'avait plus le choix, il tira alors son sabre situé à sa ceinture de sa main gauche, se déplaça discrètement et tua en traitre l'orc qui vit la lame courbée lui traverser son foie et ressortant par devant avec une déconcertante facilitée.
La jeune femme appeurée mais sauvée put prendre la fuite pour quitter le village. Mais d'autres orcs n'en resteraient pas là, ils ne laisseraient pas ce crime impuni. Le cri d'agonie de l'orc ameutant ses semblables.

"Je crois que j'ai aggravé mon cas maintenant !"

Le vent soufflait délicatement sur la Plaine, l' herbe haute se mouvant comme lors d' une danse tribale. Le vent soufflait sur les fougères, les baobabs, les collines, les rochers, les falaises blanches au loin. On sentait la vie partout où se tournait le regard, même si celui-çi ne pouvait, ne savait voir. Chaque roche, chaque écorce, chaque plante bouillonnait pourtant de vie dans ce désert végétal.

Un singe courait impétueusement sur sa branche favorite, jouant avec ses jeunes camarades, manquant de tomber, se rattrapant avec justesse comme si cela avait servi à faire peur aux autres. Le lion baillait, jetant son regard de souverain sur la troupe qui se reposait à l' ombre d' un grand arbre, dont les feuilles se balançaient délicatement. Finalement, il reposa sa tête contre celle de sa compagne, en une douce caresse.
La vie.

Une fougère, hérissée de piques, semblait bien seule au milieu de la vallée, faisant fuir par sa laideur apparente et ses armes tout semblant d' être. Pourtant, au milieu de tout celà, de ses piques et écorchures, de petits insectes noirs se rassemblaient, venant s' y reposer comme tout à cette heure, cherchant la sécurité et le confort dans cete fougère au départ inhospitalière et qui devient ainsi si belle. La plante crépitait, craquait, craquetait sans mouvement que celui imposer par la masse grouillante.
La vie.

Une fleur rouge, rescapée de sa race dans la plaine, se balançait également, faisant courir les chauds rayons du Soleil sur elle, emmétant de belles teintes rouges qui se reflétaient autour de celle-çi. Un goute d' eau perla et coula le long de sa douce robe et tomba, diffsusant ses bienfaits au sol sec.
La vie.

Dans ses yeux grouillait la vie et l' amour de la Terre, nourrissant, hébergeant ses enfants de leur vivant et même après la mort. Dans ses yeux, il voyait le Seigneur Ciel faire voleter ses jeunes enfants blancs comme un père ferait avec son nouveau-né. Baissant son regard, il vit les animaux s' ébattrent joyeusement, boire, manger, dormir, élever, chasser, mourrir, vivre. Il baissa encore les yeux et les insectes se mirent à grouiler, comme obéissant à un ordre. Les herbes jaunes et les fleurs se mirent encore à danser comme si elles répondaient à un appel.
L' appel de l' existence.

Jamais il ne laissera cette existence, cette beauté disparaître. Il était près à mourrir pour elle, puisque la mort ne la rapprocherait pas plus ou moins d' elle. Mourrir faisait parti du Tout. Et il défendra ce tout face aux ennemis de la vie. Il le promit.
Il soupira longuement et calmement, puis respira un grand coup l' air parfumé. Puis, il fit demi-tour, vers son village, se caressant une corne, tandis que tous autour elle fourmillait, se mouvait, créait et détruisait, imprégnait l' air, faisait naître la beauté et le bonheur.
La vie.

Argh! Ourouk-haï de mes deux!

L'elfe frappa du poing contre le
sol en lançant une bordée de jurons. Cela fesait à présent deux jours
et deux nuits qu'elle traquait cette immonde créature. Créature qui
avait osé pénétrer leur territoire et tuer un de leurs frères. Artanis
s'était bien évidemment porté volontaire pour le poursuivre et le
ramener à la cité. Elle ne pouvait pas le tuer car les elfes voulaient
savoir pourquoi cet ourouk-haï était venu jusqu'ici tout seul. Il y
avait forcément une raison et cela n'échappa pas à la méfiance des
elfes envers ces créatures du Mal.

Pffff...Mais pourquoi j'ai accepté de faire équipe avec toi ?
Tu n'as rien accepté du tout et moi non plus d'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi tu me suis depuis le début!
C'est parce que tu as besoin d'assistance puisque...

Il ne put finir sa phrase. Artanis lui attrapa le bras et la maitrisa au sol.

Ce que j'ai surtout besoin c'est que tu me fiches la paix Reyan! Peut-être que je serais plus apte à retrouver cet Ourouk-haï!

Elle le relacha et s'accroupit à
nouveau près des dernières traces du passag de l'ourouk-haï pour
essayer de savoir où il avait bien pu partir. Des cendres d'un reste de
feu de camp. Comment pouvait-il être aussi idiot pour faire un feu
alors qu'il était poursuivi..?

Artanis se retrouva projetée à terre brusquement à cause de Reyan. Elle lui lança un regard noir et grommela :

Il devait être au moins aussi stupide que toi

Le sourire niais qu'arborait son
compagnon elfe s'effaça immédiatement suite à cette remarque. Elle lui
faucha les jambes en se relevant.

Idiot! Bon, repartons, je pense savoir où il est parti malgrès ton intervention...

Artanis prit les devants. Reyan se releva en râlant, s'épousta et
courut pour rattrapper l'elfe qui prenait de l'avance. Artanis su
exactement où elle allait après avoir découvert d'autres indices en
chemin. Trop heureuse d'être sure d'en avoir bientôt fini, elle
attrappa Reyan et lui frotta la tête avec son poing, un sourire
triomphant sur le visage.

Aaaah mais lâche-moi! piailla Reyan
Si tu veux!

Elle le laissa chuter
lamentablement par terre. Reyan et elle se chamiallèrent un petit
moment jusqu'à ce qu'elle décide qu'il leur fallait se remettre en
route. Ils parcoururent la distance qui les séparaien de l'ourouk-haï
pendant l'après-midi. Artanis ne s'était pas trompée et au crépuscule,
ils le trouvèrent!

Reyan lui fit un signe de tête et disparut. Ils allaient
l'encercler. Artanis vint à la rencontre de l'ourouk-haï. Elle attrappa
son arc et prit une flèche dans son carquois. On entendit un sifflement
et la flèche se planta dnas le genou gauche de l'ourouk-haï qui gémit.
Paniqué, il scruta les environs et ne vit que trop tard Reyan abattre
son arme sur lui. Il put tout de même parer péniblement mais se
retrouva à terre. Artanis l'assoma avant que Reyan ne le fasse avec un
sourire moqueur.



Attache-le et prends-lui toutes ses armes.
Je ne suis pas ton esclave!
Hihi un peu quand même! Et je sais que tu vas le faire...

Elle leva la tête vers le ciel qui s'assombrissait.

Finalement, on va se
reposer ce soir et nous repartirons demain mais fait quand même ce que
je t'ai dit parce qu'il risque de ne pas être de très bonne humeur en
se réveillant si tu vois ce que je veux dire...

[HRP] Cela rappelera quelque chose à Astriel mais je vais reprendre quelque chose jamais continuer auparavant [/HRP]

Dans le village, tous s' affairaient.
Certains partaient à la ceuillette, d' autres forgeaient des armes, s' aiguisaient les défenses, s' entrainaient au combat, se peignaient de couleurs bleues ou méditaient à la lueur du Soleil levant. Les femmelles comme les mâles exécutaient leur travail, chacun ayant une tâche stricte à accomplir, dans une grande paix et un fort calme.

Mon village, perdu dans les déserts des plaines, me rendait fière: tous vivaient en une parfaite harmonie, une parfaite symbiose. A l' image de la Nature et de ses oeuvres, nous savions que nous avions un rôle à jouer chaque jour et que nous devions nous y tenir. Tous cela contribuait à la paix au sein de la tribu, qui avait plus les aspects d' une grande famille.

Les éléphants*, comme les hommes-à-la-peau-noire-et-aux-dents-blanches nous appelent, vivent sous la protection de la Nature et tout dans leurs gestes, leurs paroles, leurs actions, leur vie n' avait pour seul but que de récompenser cette mère aimante qui avait fait toute chose.
Le peuple Mambalo dont je fait parti est certainement le plus représentatif de cette paix liée au monde qui nous entoure. Et j' en suis très, très fière.

Moi ?? Je ne suis qu' un humble chaman, grand prêtre du Ciel* et du Soleil*, et de toutes choses.
Nous n' avons pas de véritable religion chez les... "éléphants"... mais plutôt un respect face à notre Bienfaitrice. Et j' ai été choisi pour cette mission qu'est de la remercier, jour et nuit.
Ma peau blanche, rare pour ceux de ma race, a fait que j' était désigné d' office pour ce rôle. Les amkas* sont sacrés chez nous, comme si la Nature nous avait choisi dès notre naissance. Mais je n' ai aucun mérite, aucun avantage, à part celui, merveileux, d' avoir appris à aimer la Nature et de la comprendre.

Ma robe blanche, tisées par les plus grands de notre peuple, est également un signe de mon rôle de chaman. C' est aussi le cas de mon baton, ensemble de branches noueuses se rejoignant à son sommet, face à une pierre-qui-lance-milles-éclats verte, reçu par mon prédescesseur*. Dotée de capacités importantes, elle peut soigner les blessures et créer la vie dans son plus simple appareil...
Un don précieux.


Et en ce jour je levait les yeux face au nouveau Soleil* qui nous était accordé et que tous s' affairaient à leur tâche. Chacun son rôle, aussi importants les uns que les autres pour le bonne marche de Mère Nature.
C 'est ainsi que je vis un oiseau noir, de mauvais augure, qui passa au-dessus du village.
Il commença alors à inscrire des cercles dans le ciel, autour des huttes et à hurler son message de désespoir.
Tous se retournèrent vers moi pour comprendre ce qu' avait dit cet animal, ou être sur de se qu' il affirmait.

Mes yeux se baissèrent alors, calmement, et ma voix grave se leva:
-La guerre est proche.


*Ces mots ont été traduis dans notre langue dans la mesure du possible mais ne posèdent pas de véritable équivalent dans la langue des Hommes-éléphants.

Exemple: amka = albinos.

Dorwinion

Une femme marchait vers l'entree de la ville. Tout en elle melait un aspect de femme fatale et mysterieuse.
Sur sa peau metisse qui semblait avoir ete carressée plus qu'a son tour par le soleil par manque de refuge stable, sa tenue de guerriere etait dechirée a quelques endroits, revelant des blessures d'antant. Outre les ouvertures provoquées par les combats, sa tenue n'etait de toute facon pas tres grande. Si elle l'avait payée au metre carré de tissu, elle n'avait pas du depensé enormement.
Malgre ses formes plus qu'harmonieuses et ses dehanchements affriolants, il suffisait de regarder plus en detail son visage pour que parte toute envie de la toucher sans son consentement.
En effet, son regard etait plus dur que le granit et il brulait au fond de ses prunelles d'un noir plus profond que les tenebres une tempete de fureur qui ne semblait jamais pouvoir se calmer.

Schaft se demandais bien où elle avait atteri ce coup ci.

Elle vadrouillait a travers les differents pays sans distinction. Tant qu'elle ne rencontrer pas de frontiere
Elle vit une pancarte taillée en bois et où le nom d'une ville etait inscrite.

*Dorwinion hein ! Une region que je ne connais pas !*

Elle eut un petit rire discret

-Au moins la preuve que je ne tourne pas en rond.

Elle se remit donc en marche, cherchant du regard a chaque pas des traces d'un danger potenciel. Elle etait comme ca, toujours a l'affut, jamais calme.

Elle arriva enfin a l'entree d'une taverne.

Apres un temps d'hesitation, elle verifia qu'il lui restait un peu d'argent pour se desalterer.

*Ca ira. Ou sinon ... ba je boirais moins. Ou je me ferais offrir*

Un frisson d'effroit et d'horreur la parcouru

*Sauf si il demande une contrepartie en nature comme la derniere fois. Plus jamais ca. Plutot embrassé un troll des montagnes !*

Les hommes. Jamais elle n'a jamais pu leur faire confiance. Et pourtant, elle les cotoie et les seduit de temps en temps, quand elle ne les trouve pas trop malsains. Mais jamais elle n'avait pu trouvé un homme qui aurait eu assez de grandeur d'esprit pour la faire succomber definitivement. Elle avait d'ailleurs arreter de chercher, resignée.

Elle entra donc dans la taverne où reignait deja une certaine animation.

A son entree, les plus curieux se retournerent pour voir qui entrait.
Certains resterent d'ailleurs retournés a la detaillée de haut en bas.

*Et ca y est, ca recommence.*

Elle avanca sa main sur sa dague, au cas où. On ne sait jamais ce qui passe par la tete d'un homme, surtout dans une taverne.

Elle s'accouda au comptoir et hella le patron de sa douce voie feline.

-Tavernier ! Une chope de ta meilleur biere !

L'auberge du dragon vert avait été remise en état après la mort de Saroumane. La bière, aussi bonne qu'avant, y coulait à flot. Les hobbits avaient retrouvé leur joie de vivre et leurs chants plus ou moins élaborés résonnaient dans cet établissement plein de vie.

Dans un coin, à l'écart de l'agitation, se trouvait un étrange couple. Il y avait là un ancien rôdeur, reconnaissable par son maintient discret mais dégageant une certaine force qui lui assurait la paix. Assise près de lui, se trouvait une elfe blonde dont la grâce et l’apparente fragilité étaient démenties par le sabre au fourreau élégant qui était posé contre sa chaise ainsi par l’arc et le carquois rempli de flèches posés sur la table. Sur celle ci était étalée une carte de la terre du milieu.


Les deux étranges personnages la regardaient avec attention.


- Il semblerait que les orcs, Ourouk-haï, gobelins et autres parasites multiplient leur action. La Terre du Milieu s’est endormie sur ses lauriers et je doute qu’il reste suffisamment d’hommes capables de se battre.


- Le feu, la douleur et le sang se rapprochent de La Conté, je le sens…


- Que proposes-tu Zaliara ?


- Les hommes dorment. Les elfes ne sont plus, sauf quelques uns, comme moi. Les hobbits sont faibles. Pour une fois je n’ai aucune réponse pour toi Teneombre...


- Cela ne sert à rien de rester ici, la guerre va arriver et nous ne pourrons rien faire… Je pense que tous les royaumes et contés vont tomber rapidement. Il nous faudrait un endroit où organiser une contre-attaque avec les guerriers digne de ce nom…


- Orthanc… Les Ents la gardent et personne n’aurait l’idée d’y venir.


- Pas bête mais comment guider les résistants jusqu’à nous ?


- Nous ne serons pas les seuls à y penser et nous verrons cela sur place. Partons dès à présent, le mal est en marche… Nous pourrons aussi traverser les villages que nous croiserons pour laisser un message. Ils s’en rappelleront le moment venu.


Ils rangèrent la carte et laissèrent la paye pour leur deux bière avant de quitter le pays, honteux de fuir ainsi le combat mais si la fuite leur permettait la victoire…

Petit post de demande:
Essayer de ne pas trop vous éparpiller tout de même.
Mais bon Schaft, s' il-te-plaît, va rejoindre le groupe qui se trouve dans ton secteur. Sinon c' est bon pour les autres.
Sinon, à partir de... euh... tout de suite, il serait pas mal que les nouveaux qui voudraient participer rejoigne une groupe (enfin, pas dès le 1er post).

Merci beaucoup !! Et bienvenue mesdemoiselles !!!!

Sur la route, une petite caravane s'était arrétée.
Une caravane commerciale, du royaume des nains.
Ceux ci s'étaient réunis, en concile. Ils n'étaient qu'une dizaine de nains, des guerriers, et avec treizes mercenaires humains, venant des monts de fer, pour échanger du minerais, et des babioles, contre du grain, de la biere, et du vin.
Choses difficiles à produire sous terre.

Le nuage de fumée, venant de leur destination, les laissaient perplexes.
Qui pouvait attaquer la ville?

Quoi qu'il en soit, hommes et nains se disputaient.
Une majorité des nains étaient pour aller aider la ville, mais les hommes plus prudents, hésitaient. A juste raison.

Finalement, la troupe se sépara en deux. neuf nains, et quatres humains, se dirigerent vers la ville, tandis que le reste ramenait la marchandise au royaume. On etait pret à aider, mais pas à vendre à perte, voir pire.... FAIRE LA CHARIté!


C'est ainsi que Lendal, le jeune humain, s'approcha furtivement de la ville, accompagné par neufs nains ahanants et grognants!

Heureusement, le bruit du brasier qui avait contaminé la ville, et la fumée camouflaient les indiscrets compagnons.

Mais il ne camoufla pas les quinzes orcs, qui gardaient la route.

Le jeune guerrier stoppa net, se figea.

Les êtres immondes qui barraient la route jouaient avec des dés en os qu'ils jetaient dans un crane...

Deux d'entre eux montaient néanmoins la guarde... en regardant partout, excepté tout ce qui éloigné de la table de jeu!

Les nains se tendirent, prêt au combat.

La fumée ne génait pas le groupe de sauveurs improvisés.
Elle montait trop haut. Mais l'odeur qu'elle dégageait étouffait l'odorat sensible des erreurs de la nature ambulantes créés par Morgoth...

Insousciantes, les gentilles créatures, ne purent percevoir les echanges rapides de leurs ennemis aux milieux des arbres, et quand 9 haches et deux dagues jaillirent des arbres, dans un sifflement sinistre, 11 tomberent, bientot suivis par leurs compagnons abasourdis.

Les compagnons recuperent vite les haches et couteaux, et s'élancerent vers le village, tels des spectres vengeurs.

HRP: l'idée, te rejoindre astriyounet^^
Avec des renforts suffisants pur aider^^

[HRP/
Aller, moi aussi je rejoins. Vous allez quand meme pas jouez sans moi ! ^^



La bataille fesait rage a la sortie de la ville, dans le comte de Dorwinion.

Tous les hommes fort des villages alentours s'etaient armés de pics, d'epee, de masses, de fourches, bref, de tout ce qui pouvaient infligés des degats a l'ennemis qui leur etaient tombé sous la main.

A leur cotés se battaient courageusement d'autres seigneurs, vraissemblablement venus d'ailleurs.

Mais malgre la determination de tous, leur vaillante armée se retrouvait quelque fois surmenée par le nombre important d'ennemis qui les assiegeaient.

Un honnete anonyme se trouvait dans cette foule. Lui, il etait jeune. Trop jeune. C'etait la premiere fois qu'il voyait un combat et malgre ses allures fanfaronne, il etait terrorisé.
Plusieurs fois de suite, il avait failli mourir, et si la il piurfandait tous les ennemis qui s'apporchait de lui, c'etait plus pour esayer de sortir de la bataille que pour faire acte de bravoure.

Il etait bientot sorti et personne ne l'avait remarqué. Il allait etre sauvé. Il se retourna une derniere fois pour regarder la bataille et ... tomba nez a nez avec un orc qui levait son arme en direction de sa tete.

Sa derniere heure allait sonner quand ...

CHTAK !

L'orc tomba raid mort a ses pieds, une dague plantée en plus milieu du front.
Ce fut trop d'emotion pour ce jeune adolescent qui tomba evanoui.

D'un pas calme et assuré, Schaft s'avanca vers le cadavre de l'orc qu'elle venait de tuer.

Elle retira sa dague de la tete du monstre et contempla avec etonnement et amusement de jeune homme evanoui.

-Pas bien resistants les hommes dans le coin !

Elle avait entendu, dans des conversations de taverne, la rumeur de cette bataille et avait decidée d'y preter ses armes.
Pas qu'elle eu l'ame d'une heroine prete a mourir a la guerre pour des grandes causes mais le fait est que si le mal progresse, elle en patira egalement.

Un frisson glacé lui parcouru l'echine.

Elle elle avait deja tellement souffert ...

*Et puis, peux etre me trouverais-je un groupe. Cela fait bien longtemps que j'erre seule*

Elle se massa le flanc ou une entaille a peine cicatrisée pouvait etre vu.

*Et ca va finir par me couter la vie*

Cependant, la belle rodeuse n'etait pas specialement du genre a tergiverser dix milles fois avant d'aller au combat, surtout quand il est aussi simple a comprendre.

*Les affreux sont mechants. Les un peu mieux sont gentils. A l'attaque !*

Et c'est ainsi qu'elle joignit sa lame a la bataille, entaillant la chair, egorgeant a tour de bras, blessant a mort et poignardant, vive comme l'eclair, sa technique de combat etant finement etudiée depuis des lustres et pofiner chaque jour jusqu'a une impression de perfection.

Cette fois, le natif de Rhun se retrouvait contre une compagnie d'orcs, alertés par l'agonie d'un des leurs. Avoir tué en traitre l'orc lubrique pour sauver cette jeune vierge en détresse, n'avait pas exclut la possibilité d'alarme de cet orc en question.

*Bon sang, pourquoi je me suis mélé de ces histoires ?, je ne devrais même pas être là !*

Les orcs grognaient et gromellaient des choses incompréhensibles et complétement inintérressantes pour l'humain qui se posaient des questions consernant son possible devenir, sans artifice et aucun détour qu'elle finirait par une mort douloureuse.

Les orcs entouraient le roublard, grognant sur sans doute la marche à suivre pour l'exécuter. Ils semblaient se disputer sur la manière dont ils allaient le tuer.

*Il veulent me donner un coup de hache ?, me passer à la broche ?, mais qu'importe, profitons de ce moment de faiblesse pour les tuer sans distinctions*

Les orcs semblaient en venir aux mains, ou plutot à la hache, l'un d'entre eux se prit un coup qui lui transperça le crâne par un orc plus massif et sans doute le plus puissant du groupe. l'humain n'en resta pas là, il avait déjà dans sa main gauche son sable maculé de sang noir orc, il s'élança puis dégainant sa lame droite courte situé dans un fourreau à l'épaule planta dans l'oeil un autre orc, puis avec son sabre aiguisé, trancha la main droite d'un orc qui tenait un cimeterre acéré, le tout en un mouvement spécifique confirmant une matrise bretteur pour cet humain. La main et l'arme de l'orc tombait au sol, lourdement.

Aucun cri de douleur ne retenti alors et l'orc à la main tranché se rua vers le roublard, le plaquant au sol et tenant dans la main gauche un poignard sale et rouillé. L'humain fut désemparé, tenu par les 2 orcs survivants, le massif et le manchot, ils avaient écarté ses armes pour plus de sécurité. Le massif Orc tenait une grande lame et elle allait s'abattre sur le roublard. Le sang sortant du moignon de l'orc coulait sur le visage du natif de Rhun, sans doute comme un prélude à un sacrifice humain, mais il n'en était rien.

*C'est la fin, Drake, pourquoi suis je allé dans ce taudit jouer le soldat face à une armée d'orcs sanguinaires, et pourquoi j'avais pas pris mon couteau ?"

Schaft voyait la scene de loin.
Elle tua negligement un orc qui courrait vers elle en hurlant, juste en levant le bras armé de sa dague.

Puis, les mains sur les hanches, elle soupira.

-pfff. Les hommes ! Faut vraiment tout leur faire !

D'un bond rapide et agile, elle se rua dans la bataille, tuant le premier orc qui s'effondra sur le bras du malheurex prisonnier et futur macabé si elle ne fait rien.

*Puisqu'il ne peux pas se servir de ses armes,a utant que quelqu'un le fasse*

-Je vous l'emprunte, vous permettez ?

Les orcs n'avait apparement jamais vu une femme se battre et encore moins tuer l'un d'eux. Avant la colere, il leur vint donc tout d'abord la surprise et le desaroi.

Instant fatal pour eux, Schaft etant desormais munie de deux lames et il restait justement deux orcs.

Le premier eu la dague dans la gorge et le second se fit tout bonnement et simplement decapité.

Schaft aborda une mine blasée de celle qui fait ca tout els jours et aida le malheureux a se relever, lui rendant la lame.

-Schaft, a votre service.

HRP: je viens de me rendre compte que mon texte étais illisible....
Je le réécris

Reyan ligota l'ourouk-haï après lui avoir retirer ses armes puis le traina péniblement sur quelques mètres jusqu'à un arbre pour l'assoeir contre. La créature ne se réveillerait pas de si tôt et Artanis s'en réjouit. Elle ne se sentait pas d'humeur à supporter les grognements de cette bête immonde toute la nuit, il lui serait surment venu à l'idée de l'assomer un seconde fois.

Pffff...C'est lourd ces machins-là et ils empestent, soupira Reyan une pointe de dégout dans la voix

Artanis eut un petit rire mais le répondit rien. Elle laissa tomber quelques branches qu'elle avait ramasser pour faire un feu et s'occupa de l'allumer en sortant deux silex qu'elle tira de son sac. Tout en s'attelant à sa propre tâche, qui consistait à ne rien faire, Reyan lança la discussion.

Juste une question ?
Hum..?
Pourquoi le veulent-ils vivant ?
Je te l'ai déjà dit je crois ! T'en connait beaucoup des ourouks qui se déplace tout seule sur les terres Elfiques ? Il venait pas cueillir des fleurs tu sais !
T'en penses quoi toi ?
Moi ? Je pense qu'un détachement d'ourouks n'est pas loin et qu'ils marchent vers notre cité ! Celui-là n'était qu'un éclaireur et encore...Tout cela est très étrange. J'aimerais bien êtr sur de ce que j'avance mais je ne peux pas aller vérifier maintenant alors je ne leur ferait pas part de cela et garde le silence là-dessus
D'accord !

La conversation s'arrêta là. Les deux elfes se restaurèrent puis passèrent la nuit à se relayer pour la surveillance de l'ourouk-haï. A l'aube, il était réveillé et ils pouvaient alors prendre la direction de la cité des elfes de la forêt noire.
Durant le voyage, Artanis eut du mal à supporter les propos de l'ourouk et celui-ci subit plusieurs fois divers coups de poings ou de pieds mais cela ne le calmait pas. Si elle aurait pu, Artanis lui aurait déjà planté son katana dans la panse mais elle se controlait.
Au crépuscule, il atteignirent la cité de Vanneth. La raison pour laquelle cette cité était bien caché c'est que les arbres eux-mêmes fesaient parti intégrantes de la cité et les elfes habitaient à l'intérieur. Il régnait dans la cité une ambiance apaisante et un parfum suave embaumait l'air. On se plaisait à vivre ici, malheureusement, Artanis passait le plus clair de son temps à l'extérieur en tant que capitaine et ne profitait guère de l'endroit...

Maitre Aubrey ! J'ai mené à bien ma mission, bafouilla-t-elle promptement en s'inclina par respect. Elle n'avait remarqué sa présence que lorsque Reyan lui mit un coup de coude dans les côtes.
Merci Artanis ! Tu nous es toujours d'une aide précieuse, tu as toute ma gratitude. Laisse-le nous, ta mission s'arrête là !

L'elfe fut surprise de cet échange aussi rapide. Artanis était quelque peu révoltée ! Elle aurait voulu elle aussi participer à l'interrogatoire et tout ce qu'elle eu le droit c'est de repartir illico-presto pour Dorwinion afin d'arrêter l'armée d'orks qui y sévissaient avec une poignée de combattants ! Elle n'en saurait pas plus sur l'ourouk-haï que Reyan du emprisonner dès la fin du concil.
Cette fois-ci, en plus de se trainer Reyan, Artanis était aux commandes d'une troupe de dix elfes des plus redoutables qui allaient mettre ses nerfs à rude épreuve. Heureusement, ils étaient à cheval. Elle pourrait prendre de la distance pendant le trajet.

Le roublard se fit relever et à l'entente des mots de Schaft, il se mit a pouffer jusqu'a éclater de rire.

"Et bien voilà la première fois qu'on me dit ça, sincèrement, moi être servi ?, non mais ce qu'il ne faut pas entendre !!! HAHAHA"

Schaft semblait alors véxée et regrettait presque d'avoir sauvé cet homme au combien étrange. L'homme de Rhun se mit alors à tousser voyant la moue de Shaft, il lui devait des escuses ainsi que la vie après tout, quoique pour Drake, les escuses c'était pas son fort, mais il s'y emploierait..

"Je suis désolé, c'est pas l'habitude, j'ai toujours été solitaire, mais là il est vrai que j'avais besoin de toute aide possible et vous êtes arrivé, en tant que pir... humain, je me dois une dette éternelle envers vous, mais ne vous attendez pas à des traitements de faveurs".

Schaft semblait intriguée par l'aspect et le comportement bizarre, qui une minute la rejettait presque et là qui parle de dette éternelle envers elle, sans doute cet homme ne savait pas comment s'y prendre, ou bien cachait il un bien lourd secret.

"Tu pourrais au moins te présenter !"

"Hum ? tu m'appelleras Drake, c'est d'accord ?" Fit il en ramassant son sabre et son épée courte et les replaçant dans leurs fourreaux.

Schaft prit un air abassourdie et là elle était vraiment fachée, elle voulais donner un bon coup de poing à Drake, mais celui ci commençait à marmoner, à faire un monologue tout en regardant le ciel étoilé dans la nuit noire.

"Fuir Rhun, fuir mon passé pour que je me retrouve dans une ville en flammes, je sauve une fille d'un dépucelage forcé, devenir un obligé de dette désormais, elle n'était pas obligée après tout, elle aurait pu me laisser crever là comme le chien que je suis !!!!!"

"Tu es vraiment déroutant comme homme, comme tout les hommes d'ailleurs, je m'en vais !"

"Attend !!! j'ai une dette éternelle envers toi, donc je te suis, c'est moi qui me place à ton service, mais tu n'a pas intérêt à jouer de caprices ou d'ordres ridicules"

Drake ainsi suivra Schaft, ou du moins jusqu'a ce qu'il s'acquitte de sa dette, le combat contre les orcs se ferait désormais en duo.

[HRP]Houla houla stop les gens ^^'
Laissez le temps aux autres (comme moi) de prendre part à la chose @.@
Bon ce soir je suis pas apte à répondre, je suis crever, j'ai 6 posts à rattraper au moins, sans parler du reste de lecture qu'il me reste à faire sur l'acaémie, fin bref, je vous demande un peu d'indulgence, je m'excuse d'avance, mais suite à cette semaine de bac blanc, je vous suis plus du tout là ^^'
Verrais ça demain donc, l'aventure sera relancée donc (je lock pas hein, je vous fait confiance )
A demain (et puis je viens de faire un index et tout et tout, aller un jeter un oeil )

merci de votre compréhension ^^'

j'aurais été plus en forme je vous aurais suivit dans l'élan, cette ardeur de poursuivre me va droit au coeur (mais je crois que je me fais vieux xD )

stop the aventure a moment please so [/HRP]

Schaft se battait d'un air distrait, ne donnant aucun effet de style a sa tuerie.

Elle pensait a sa breve discution avec le nommé Drake.

*Un fou. Je suis tombée sur un fou ! Mais qu'est ce qui m'as pris d'aider un homme aussi ?*

Elle l'observait du coin de l'oeil entre deux ennemis egorgés.

*quel style brouillon ! On voit bien l'experience d'un tueur d'homme, de franc combattant sur lequel on peut compter cependant. Ils ont tous ce style la. Humble. Mais pas tres efficace contre les orcs*

Schaft commencait non pas a fatiguer mais a s'ennuyer prodigieusement a bondir dans tous les coins pour y semer la mort.

Elle se dirigea donc vers le centre de la bataille, se tailladant un chemin dans la chair ennemi.

Une fois satisfaite de sa position, elle tira pour la premiere fois une eppe en plus de sa dague.

-Coucou les petits orcounets ! Venez jouez avec moi ! Vous savez a quoi on va jouer ? A la citadelle imprenable.

Les orcs se ruerent massivement sur la jeune femme dont le regard et le sourire carnassiers indiquaient qu'elle n'attendait que ca.

*J'adore ce jeu* se rejouit elle en commencant a parer et a tuer au fur et a mesure que les ennemis s'avancaient trop pres.

Quelques fois, elle bondissait dans les airs, ses ennemis s'embrochaient entre eux ou alors, pour les survivants, se faisaient empalés quand elle retombait.

Les nains et lendal avaient contourné la route. Il fallait eviter de passer par la rue principale. Il y avait trop d'orcs.
La situation semblait désespérée.
Les bruits de bataille étaient proches. Visiblement, les mercenaires étaient proche d'un grand carrefour. Mais au bruit des haches, des grognements, des corps qui tombaient à terre, ils pouvaient affirmer que les combattants étaient une cinquantaine du coté humain.
Et du coté orc, bien plus. Leurs grognements couvraient tout autres bruits.
Le bruit des flammes qui embrasait le village témoignait dans son rire sinistre que ce dernier était perdu.
Collés derriere le mur, le commando se concertait du regard. Un air déterminé, une flamme de rebellion les animait.
il ne fallait pas se résigner.
Les haches s'éleverent. Se mirent à briller.


Dans la rue, les hommes succombaient. Les rares qui avaient des épées, des soldats de la milice, arrivaient plus ou moins à resister.
Il s'étaient réunis en binomes, et se couvraient l'un l'autre.
Autour d'eux, les cadavres d'orcs s'accumulaient.
Mais ils n'étaient qu'une vingtaine.
Le reste étaient de pauvres paysans, qui n'avaient jamais tenus que des fourches, truelles, et gourdins.
En haillons, peu habitués au combat, le désespoir animait la prunelle de leurs yeux. Le hurlement de peur et de rage sortant de leur gorge, se coupait vite sous l'effet de lames rouillées, dagues, haches...

Mais en tombant ils entrainait a chaque fois un orc avec eux, d'un coup de couteau dans la gorge.

Déjà, il ne restait plus que les meilleurs combattant. Et ils reculaient lentement.

La masse des orcs couvrait la ville. Les flammes s'élevaient dans le ciel.

Un homme de plus allait tomber. Il parait deseperemment les coups de deux orcs, petits, malingres, peau verdatre.
Il trebucha contre un cadavre, alors qu'il reculait pour eviter un coup.

Déja, il voyait la mort arriver quand... Un des orces s'immobilisa brusquement, une hache au mlieu du visage.