MhosTa, l'esprit errant.

Qui suis-je ? Où vais-je ? Des questions, toujours des questions ...

Les réponses ne viennent jamais quand nous le souhaitons,
mais seulement quand elles le décident.

Dans ce cas précis, la patience est une qualité, et la sagesse une vertu.
Pour ma part, je possède la première, et suis lentement,
mais tant bien que mal, le chemin menant à la seconde.
Chemin qui, je le sais, durera toute une vie entière.
Chemin parsemé de diverses souffrances, et autres joies indicibles.
La vie est une chose si étrange, une expérience à la fois,
éphémère et à l’allure incommensurable dans toute sa durée.
L’existence, mon existence, ne se résume, depuis ma venue au monde,
qu’à deux choses, attendre et observer.

La solitude fait partie intégrante de moi-même, depuis mon plus jeune âge.
Et quand pour moi, le moment sera venu de retourner à la poussière,
je ne sais pas encore si ça sera avec, ou sans elle.
Cependant, hier, dans la nuit, regardant le ciel avec toujours plus d’émerveillement,
et de curiosité que les fois précédentes,
je perçus quelque chose, un bruit profond et léger à la fois, presque inaudible mais bien présent.

Si bien que …
Je me mis en quête de ce bruit.

A mon arrivée, et du bord de mon vaisseau,
je découvrit avec béatitude une planète recouverte d’un blanc,
que mes yeux ne pouvaient cesser d’observer.
Un frisson d’abord m’envahis et une impression de calme mélangé à une volupté,
comparable aux mouvements qu’effectuaient les nuages par un ciel d’été me submergea ensuite.

Une fois au sol, j’arpentais avec sérénité un chemin, chemin qui m’emmena aux portes d’une Académie.
Je franchis le seuil de celle-ci et aperçu un endroit reflétant une tranquillité peu commune.
Dans la cour principale, mes sens s’éveillèrent,
comme si une résurrection venait de se produire en mon sein,
une sensation nouvelle, agréable ...

Ne voulant rater aucunes miettes du spectacle fantastique qui s’offrait à mes yeux,
je bondis sur le toit et me tins debout prêt d’une cheminée,
attendant et observant, comme toujours.

Mais cette fois ci, il y avait quelque chose de différent…

Après mon arrivée toute récente dans l'Académie, je prenais plaisir à m'éttendre de tout mon long sur l'herbe des ses jardins. Cet endroit bien que délicat dégager une force.
Une force dont même les plus puissants seigneurs, magiciens, gardiens...ne pouvaient n'en saisir la mécanique et la sagesse.

Chaque jour, l'Académie reçoit de nouveaux venus, des chercheurs, des érudits, des apprentis, des voyageurs. Il y avait une telle concentration de genres différents, qu'on aurait dit, que les Mondes Blancs d'Aëringor rassemblaient toutes les personnes de l'Univers.

Néanmoins un arrivant avait attisé en moi le feu de la curiosité, je ne savais pas comment il s'appelait, il se trouvait sur les remparts.

Je l'observai durant des heures, perdant patience et m'en allant me dégourdir les jambes...lui ne bougeait pas et à mon retour était toujours là. Il n'avait pas bouger. J'étais, et je le suis encore étonné, et admiratif devant lui.
Observant cet étrange personnage. je m'approchai et déclara:

"-Bienvenue à l'Académie."

Observant d’un regard des plus contemplatif,
la vie suivre son cour dans l’enceinte de l’Académie,
une présence, celle d’un homme, m’interpella profondément.
Je fis un bond du toit et atterris au pied du bâtiment sur lequel,
j’étais posté depuis mon arrivée.

Marchant d’un pas ferme en sa direction, je vis dans ses yeux,
la curiosité peu commune qu’il tenait à mon égard.
Ce fût la première personne qui m’adressa la parole, ici, dans l’Académie.
Il ne me paraissait pas être un ancien de celle-ci, ni même un étudiant de courte date.
Cependant, j’avais la forte impression qu’il n’était pas ici par hasard,
quelque chose semblait occuper son esprit.

Arrivé face à lui, il y eût un léger moment de silence,
ont crût entendre le moindre son provenant de l’Académie.
Levant ma tête vers le ciel, je pris une grande inspiration silencieuse.
J’observais de nouveau l’étranger me faisant face, et lui adressa la parole.

Je me nome MhosTa,
veuillez pardonner ma froideur, seulement, il y à longtemps que je n’avais eût de compagnie,
et vous me semblez être quelqu’un de particulier …
Tout le monde ici, semble être particulier,
chacun semble avoir une histoire, quelque chose à partager,
Je n’ai rien de tout cela.

Certaines personnes sont très importantes, d’autres moins,
il y en à même d’aussi invisible qu’un esprit égaré errant seul,
sans but précis, tel une légère brise caressant l’herbe d’une plaine …

Je fais partis de ceux là …

Je devine à vous regarder, que, vous devez être un habile dragonnier.
Peut être aurons-nous l’occasion de nous revoir, et de nous parler plus longuement.
Pour l’heure, veuillez m’excuser, pour la rapidité du congé que je m’apprête à prendre,
mais cette Académie fait naître en moi des émotions, qui, m’étais jusque là inconnu,
et son appel m’attire, comme le pollen attire les abeilles.
Je vous remercie pour ces quelques mots de votre part,
et vous souhaites une bonne continuation au sein de cette Académie.

Je m’éloignais peu à peu, m’enfonçant un peu plus au cœur de l’Académie,
en songeant aux nouvelles rencontres que j’allais peut être faire.
Je savais aussi que ma route recroiserai celle du dragonnier …
Quand et où ? je ne sais pas.

L’avenir est seul détenteur de ces informations …

Worrzy, assis sur un rocher dans le jardin de l'académie, fumait sa pipe, paisiblement.
Il observait les bâtiments, les gens qui discutaient, les fleures

Alors que Worrzy allait finir sa pipe, il vit un homme près d'une cheminé. Il s'interrogea, vida sa pipe, et la reremplis. Il l'observait depuis plus d'une heure, en oubliant presque sa pipe à certain moment, qu'il vidait et remplissait de temps à autre. Mais voila que l'homme sauta, il fut surpris, amis à son atterrissage tut allait bien. Il vit l'homme discuter avec une autre personne. Les hommes se parlèrent brièvement, puis l'acrobate s'en alla. Il était au loin, mais prenait une direction, celle ou Worrzy se tenait. Il 'l'observait toujours, avec une grand attention. Lorsque l'homme fut assez près pour cela, Worrzy se mit à le fixé dans les yeux, continuant de fumé sa pipe. L'homme s'approchait de plus en plus, Worrzy ne le quittai pas des yeux. Le regard des deux hommes allait-il se croiser, ou l'individu, marchant, allait-il tourné avant...

Un esprit. Un autre. Comme il y a...
Les yeux bleus d'Ominoe se perdirent quelques instants dans les trames de ce monde, les halos de chaque être et de chaque chose. Dans la verdure et les cascades, dans ce monde de psychée et d'être
Oui, decidement, ler nouveau venu venait de réveiller en lui des sensations bien étranges.
A cet instant, les yeux pétillants, dans son épaisse cape, il se revoyait sur ces pylones branlants, dans la tempête. Il crut même sentir le vent qui soufflait alors.
Mais il était temps de se reprendre.
L'inconnu à son niveau, il inclina légèrement la tête, un sourire énigmatique aux lèvres.

Bienvenue à l'académie.

Perdu dans mes songes, je continuais mon chemin à travers l’Académie.
J’arrivais bientôt à un croisement, et comme à tout croisement,
Il faut prendre soin de choisir la direction qui nous semble la meilleure.

Mais quelle fût ma surprise quand mes narines s’emplirent d’une odeur particulière,
odeur d’un tabac raffiné que je n’avais plus humé depuis très, trop longtemps pensais-je.

Cette odeur m’emplis de colère et de joie.
Pourquoi ? qu’en sais-je ?

Des images, des flashs de moments bien précis de mon passé m’apparurent devant les yeux.
Un mal de tête me prit d’un coup,
comme ci toutes les cloches d’Aëringor sonnaient en même temps au creux de mes oreilles.
Sous la douleur, je plias un genoux et le posa au sol, tout en me tenant la tête de la main droite.

Soudain, je vis une ombre se rapprocher de moi, et relevant doucement la tête,
je puis voir une main tendue, celle d’un homme à l’allure sereine.
Je lui tendis ma main gauche, et il m’aida à me relever péniblement.

La douleur commençait à s’estomper quelque peu.
Je regardais l’homme et observa qu’il tenait une pipe dans sa bouche.

Cette … pipe, c’est elle …
Le tabac que vous fumiez … ma fait voir … des choses …
Cette odeur délicate … je l’ai bien connue …

L’homme à la pipe m’observa sans dire un mot. Il me tenait toujours le bras,
et semblait rester de marbre devant mes paroles.

Ainsi donc … je savais que cet endroit recélé de magie et de sensations indicibles …
Intriguantes et effrayantes … à la fois …
Je sais maintenant … qu’en venant ici … je ne m’étais pas tromper …

Sur mes dernières paroles, l’homme à la pipe me lâcha le bras.
Je me mis à reculer, encore, et encore,
jusqu’à me cogner contre un autre inconnu qui me souhaita la bienvenue.
Perdu et effrayé à la fois, je fixais une dernière fois l'homme à la pipe dans les yeux,
et me remit en route d’un pas haletant et indécis.

Je décidais d’aller m’isoler un peu, histoire de retrouver mes esprits,
au calme du cœur de l’Académie.

J’aperçus un petit jardin sombre, où trônais des arbres plus beaux les uns que les autres.
Je vis une fontaine, et tout en m’en approchant,
je songeais à ses visions qui avaient provoqué en moi, ces émotions inattendues.
Je m’assis sur le rebord de celle-ci, plongea mes mains dans son eau,
d’un clair plus pur encore que le blanc des ailes d’un ange, et m’humidifias le visage.

Cet endroit ne m’a pas encore révélé tout ses secrets,
et je compte bien en apprendre plus ...

Worrzy voyait l'homme partir, très troublé, tout comme lui d'ailleurs. Il vit un autre homme en face de lui, mais n'y prêta aucune attention. Il resta quelques instant, et décida de suivre l'homme qui partait vers un petit endroit de repos.

J'arrive devant l'entrer du petit jardin. M'appuyant contre une paroi, j'observe l'homme. Alors que j'allais allumer ma pipe, je repense a ces paroles. Je range ma pipe et attend quelques instant.

L'herbe d'Arda

L'homme se retourne, et me regarde. Nous nous fixons dans les yeux.

Peut être y êtes vous déjà allez, avant que...
Je m'arrête dans ma phrase, le passer... je préfère me présenter:
Je me nomme Borzeur, mais appelez moi comme vous voulez

Je m'arrete de parler quelques instant. Il ne réagit toujours pas.

Désirez vous fumez un peu avec moi? par chance, j'ai toujours deux pipes avec moi

Je décroche ma bourse et prend mes pipes. Je tend la bourse et une pipe à l'homme, toujours me fixant.

Ayant repris mes esprits un temps soit peu,
et regardant l’homme à la pipe appuyé contre la paroi devant moi,
je décidais d’accepter l’offre de l’inconnu.

Borzeur, c’est bien ça …
Veuillez me pardonner pour mon comportement,
comparable à celui d’un dément dont les démons auraient pris l’âme.
Je … je me nome MhosTa et n’est ni passé, ni avenir.
J’erre dans l’espace, de spatioport en spatioport, sans but, sans conviction, seul …

Je bourrais ma pipe et la levas à ma bouche sans un bruit.
Borzeur écoutait attentivement mes paroles, et cela me faisait chaud au cœur.

Pour je ne sais qu’elle raison, la mémoire sur mon passé, me fait défaut.
Je ne suis pas vraiment à sa recherche, et je n’en cherche pas d’autre,
cependant, hier soir, j’ai ressentis une émotion, un son, qu’on ne peut entendre,
qu’à la seule condition de vraiment le vouloir.

Cette émotion, elle émanait de cet endroit,
endroit que je suis venu retrouver aussitôt …

Par curiosité ? qu’en sais-je ?
Pour trouver des réponses ? qui peut le savoir ?
Pour étudier et recevoir un enseignement ? Peut-être, qui sais …

En venant ici, je ne pensais pas découvrir tout ce que j’ai pu voir jusqu’à maintenant,
cette Académie est formidable, tout comme, je pense, les gens qui la dirigent.
Peut être aurais-je l’occasion de les voir un jour.
J’espère simplement, que ma présence ne dérangera point,
je ne suis pas homme de conflit, ni grand orateur,
mais ce lieu est si important pour moi …

Mais si vous me le permettez,
revenons en sur cette « force mystérieuse » qui me frappa, sans que je m’y attende.
Cette herbe, son nom, il tourbillonne en moi,
comme une feuille tomber de l’arbre de mon passé.

Cette herbe, d’où provient-elle ?

La seule chose dont je suis à peu prêt sûr est que …
Ma planète natale n’est plus …

Et vous, avez-vous ressentit quelque chose de bizarre lors de ma « démence » ?
Savez-vous des choses sur cette herbe ?

Je fixais énergiquement Borzeur, comme s’il tenait entre ses mains,
le début de mon histoire, de mon existence …

De mon identité.

Je reste attentif.Je ne comprend pas.... Mon histoire est semblable à celle MhosTa.

Lors de votre démence? Je...je ne sais pas...

L'herbe que vous fumez vient d'une planète qui portait le nom de Arda. Cette planète n'a jamais été répertorié sur les cartographie, et...elle ne le sera jamais...
Je souris et allume ma pipe, prend une bouffer de fumé, maculant mes poumons d'une odeur, qui resort à chaque expiration.
Je ne tien pas à trop m'attardé sur cela ici.
Mais permettez moi de vous posez une question. Vous dites que votre planète n'est plus... Par quel prodige?
Car j'ai eu ...vent
En disant cela, je souris du coin de la bouche.
... d'une légende. Cette légende raconte qu'un vaisseau, d'une taille inimaginable, capable d’ombrer la moitié d'une planète. L'équipages qui habitent dans ce vaisseau, ou plutôt se peuple, car ils y sont aussi nombreux que sur une planète, possède des technologies incomparable
En disant cela, Worrzy caressai une pièce de son vaisseau, qu'il avait dans sa poche
Cette technologie, dépassant, et surpassant ce que nous pouvons connaître, est tel, qu'il ne faut que quelques minutes pour détruire une planète entière.
Cela vous dit-il quelque chose?

En quelque instant, avant même que je finisse de parler, je me dis:

Je croix que s'il connaît cela, alors il n'y aurai pas qu'un seul Arda encore vivant... mais pas de conclusion hâtive, les histoires sont parfois semblable, mais fondamentalement différente.

- Bienvenue à toi MhosTa, que la plume amusée dictée par ta muse t'accompagne jusqu'à la fin et jamais ne se tarisse. Et aussi, au plaisir de te lire, toi et tes oeuvres toute en prose ou en poésie peu importe.

Astriel s'inclina en signe de respect à l'individu et déjà repartit dans une autre direction, déambulant à travers les couloirs.

On pouvait alors voir une silhouette allongée dans l'herbe, à l'ombre d'une arbre ... Un cerisier en fleur, en témoigne son sommet tout de rose vêtu, que balayait une légère brise... L'homme allongé contrastait totalement avec la place où il se tenait : Une carrure assez grande, amplifiée par sa longue cape, décrépie, le tout dans une nature des plus magnifiée...

Dormait-il ? Difficile à dire... Il semblait passer son temps à fumer, à l'aide de sa longue pipe, cependant, sa capuche, plongeant son visage dans l'ombre, empéchait quiconque de savoir ce qu'il faisait exactement ...

Entendant les bruits d'un nouvel Académicien approcher, il se leva puis parti, sans une parole, sans un mot... Mais un papier, plutôt d'ancienne facture, sans doute artisanale, avait été laissé comme délibérément...
MhosTa s'en approcha alors, se pencha et le ramassa... Il déplia enfin le papier, et lut:

Citation :: Je te souhaite la bienvenu MhosTa, en espérant que ta plume pourra glisser à son gré dans cette splendide contrée ... Ne fait pas attention à mes manières, j'aime seulement la tranquilité et la quiétude ... Je te salue bien bas ...

Le Vagabond ...

Ecoutant avec beaucoup d’attention, les paroles de Borzeur,
d’autres flashs m’apparurent.
Je fermais mes yeux, en me concentrant sur ces visions.

Le calme, le silence m'apparurent …

Soudain, un vaisseau d’une taille inimaginable passa devant mes yeux,
j’entendais le bruit sourd, que produisaient ses réacteurs,
les craquements caractéristiques de la coque,
le brouhaha émis par toutes les personnes présentes à son bord.

Vint ensuite une explosion de lumière, explosion si intense,
que je crus observer la lumière du jour pendant la nuit, l’espace d’une seconde.

Puis … rien …
Plus rien …

Le vide, le calme et le silence à nouveau.
Ouvrant mes yeux, je tournais ma tête vers Borzeur et lui dis ceci.

Oui … je me souviens … non … je ne sais pas … je …
J’ai vu cet immense vaisseau, dont tu me parle, le bruit qu’il faisait,
son aspect, toute cette scène, je l’ai vécu.

Oui … je croix … je …

Cette lumière que j’ai vu … la destruction d’Arda …
J’ai connu ce monde …

Comment je le sais ? je ne sais pas …
En suis-je sûr ? je ne sais pas …

Mon vaisseau … sa coque … cette ressemblance ….
Elle était frappante …
Borzeur, je crois que … je crois que …

Je ne sais pas …

Il faut que je retourne à mon vaisseau, je reviendrais te voir plus tard.
Pardonne mes paroles incohérentes,
mais je tiens à confirmer plusieurs petites choses, avant d’en affirmer d’autres.
Si ce à quoi je pense se retrouve être vrai, alors nous serions …

Je ne finis pas ma phrase et me mit en route vers la sortie de l’Académie.
Je culpabilisais un temps soit peu, de laisser Borzeur seul de cette manière,
mais il fallait être sûr de moi, avant d’affirmer des choses,
qui pourrait bouleverser le cours de notre existence.

Sur le chemin vers la sortie,
ma route croisa celle du maître de l’Académie, qu’elle fût ma surprise de le rencontrer ainsi.
Il semblait pressé et marchait d’un pas hâtif.

Arrivé à ma hauteur, il me regarda, et souriant, me souhaita la bienvenue.
Honoré et flatté, je voulu lui répondre, mais aucun son ne sorti de ma bouche.
Il se remit en chemin, en me confirmant que l’on se recroiseraient sans aucun doute.

Je me remis en route et arrivé dans la cour centrale, je pus apercevoir une silhouette au loin,
un homme allongé dans l’herbe, vêtu d’une cape et une longue pipe à la bouche, semblait dormir.
Cependant, à mi-chemin entre lui et moi,
il se leva, me regarda et partis sans un bruit.

Je m’arrêtais, et observa tout autour de moi.
Un silence comme il n’en existait point d’autre me cernais.

Je me remis en route, et arrivé à hauteur de l’endroit ou s’étendait l’homme,
un papier, comme délibérément posé, s’y trouvait.
Je me penchais, pour l’attraper, et je le lu.

Sur ce papier figurait le mot suivant :

Citation :: Je te souhaite la bienvenu MhosTa,
en espérant que ta plume,
pourra glisser à son gré dans cette splendide contrée ...
Ne fait pas attention à mes manières,
j'aime seulement la tranquillité et la quiétude ...
Je te salue bien bas ...

Le Vagabond ...

Tout en levant la tête au ciel, je me dis que cet endroit était empli de personnes,
toutes plus différentes les unes que les autres,
et que cela en faisait son originalité et cette petite chose en plus, que je n’arrivais pas encore à cerner.

Je me remis en route et vis bientôt la sortie de l’Académie,
d’où je pris le chemin vers mon vaisseau.

...

Je voulais en avoir le cœur net, et pour cela, une seule chose à faire …
Fouiller le présent, à la recherche de son passé.

» Arrivée inattendue : Sephiroth, graphiste errant