La Taverne du Paon

Quand elle sentit la main se saisir de son poigné, elle fit volte face et lui lança se regard de haine qu'il avait croisé un jour. Ne la lachant toujours pas, surement surpris, elle fit apparaitre dans ses mains la mythique Lame de Diamant et la pointa sur son cou, son souffle court la faisait légérement trembler.

* Grr, je déteste faire ça sans raison apparente !*

- Bien, que les choses soient claires, je ne suis pas celle que vous croyez, tant bien même vous ne m'avez jamais vu. De plus lachez moi avant que je ne transperce votre chair sans auccun état d'âme.

Invité

Ramalok entra dans la taverne. Il fut ébloui par l'ange.Une fois la stupeur passée il commanda un bon jus de fruits exotiques puis alla s'installer dans un coin sombre. L' iris et la rétine de ses yeux prirent la forme des yeux de dragon.
La tristesse qui émanait de l'ange l'avait affecté. Il sorti sa flûte d'argent et débuta une musique lente, mélancolique, qui vous touche au plus profond de votre âme. Musique créée par les elfes pour la mort d'un dragon d'or, puissant gardien.

Schaft entra dans la taverne du paon, suivit de Coin-coin, qui avait une folle envie de faire la connaissance de Piou-piou, le pingouin de Francois.

Aussi le palmipede européen se precipita t'il directement sur son congenere d'outre Antartique apres un "coinc" amical a sa charmante maitresse.

Schaft, elle, avec un doux sourire a la pensée de son petit camarade a plume, s'assit a une table non loin d'un individu endormi qu'elle n'identifia pas tout de suite.

Les jambes croisées sous sa jupette, elle enleva machinalement sa paille de la boutonniere de son corsage et se mit a jouer avec entre ses doigts.

Ominoe se reveilla, cette fois-ci un peu plus en forme, faisant tomber la poche à glace qu'il avait sur le câne. Il haussa les épaules, sans chercher à le ramasser et s'étira.
Oui, decidement, il était en pleine forme, et assoiffé. Il s'étira encore un peu plus en arrière, et failli cogner Schaft, qu'il ne reconnut qu'au dernier moment. Elle était assise, dans une charmante petite tenue légère.
Il lui sourit, un peu confus.

Désolé, demoiselle Schaft, je ne vous avais pas reconnu... comment allez-vous ?

Il reprit une posture un peu plus normale.

Que diriez-vous d'un petit verre ?

Il tira de sous la bar une chaise à sa droite.

Schaft lui sourit timidement et egalement tendrement a la vue de la mine type "sortie de cuite" du maitre.

Elle se leva avec une grace de felin probablement heritée de son Astriminou de papa et alla se poser sur le siege qu'Ominoe venait de tiré.

Les coudes sur le comptoir et le menton sur les mains, elle plongea ses beaux yeux dans ceux de son interlocuteur.

-C'est avec joie que je partagerais un verre en votre compagnie mon cher maitre. Que m'offrez vous de bon ?

Ominoe souria à la question de la jeune femme, les yeux toujours dans les siens. Des étincelles de malices brillaient dans ses yeux, désormais bien eveillés.

Tout ce que vous voudrez...et bien plus encore. Mais je n'ai qu'un souhait, me soumettre au vôtre. Que désirez-vous ?

De sa main droite, il fit au barman signe de s'approcher, mais sans détourner le regard. Celui-ci arriva bien vite, avec sur le plateau sa bière habituelle.

Les etincelles dans les yeux du maitre la fascinait. Elle ne l'avait jamais vraiment cotoyer jusqu'a la mais elle commencait a le regretter tant il lui semblait sympathique.

-Pour moi ce sera un amercano, meme si je ne serais pas contre de vous prendre une gorgée de votre breuvage histoire de gouter, si vous le permettez bien entendu.

Faisant rapidement tournoyer sa paille sur sa main, elle se tourna vers le barman.

-certains etablmissement ont la maine de mettre des olives dans les americanos. J'ignore si vous etes mais au cas ou, je tiens a vous indiquer que cela m'orripile. Merci de votre comprehension.

Elle ponctua la fin de sa phrase en se saisissant de sa paille, arretant son mouvement.

Puis, avec un clin d'oeil espiegle au barman, elle se retourna vers le maitre et capata de nouveau son regard.

Ominoe se concentrais sur le visage de Schaft, s'amusant à détailler chacun de ses traits, chacune de ses moues. Ses yeux d'un bleu parfait dansaient sur son visage. On lui avait déjà remarqué q'il changeait selon son humeur, et depuis lors, il avait fini par réussir à le contrôler. Il était parfois dur, perçant, comme des dards d'acier dont il en avait la teinte. Parfois bleu comme la mer turquoise des lagons lointains, quand il rêveit. Mais là, il le savait, et n'avait même pas besoin de s'y forçer : il y avait du ciel étoilé dans son regard.

Il s'amusa de la remarque faite au barman.

Vous n'êtes pas olive ?

Schaft parti d'un grand rire.

-Disons juste que le dernier serveur qui a commis l'erreur de l'oublier s'est pris le noyau dans l'arriere train.

Elle fit voltiger sa paille et gratifia le maitre d'un clin d'oeil.

-Il faut dire que je suis douée a la sarbacane.

Puis, prenant un air parodique de serieux charmeur et charmant, elle enchaina.

-Mais bien entendu, je ne vous soumettrais pas la disgrace de me pitreries en votre compagnie mon cher maitre. A moins que vou ne souhaitiez des cours de tir ?

Sur ces paroles, le barman revint avec une bière et un americanos sans olive, qu'il déposa devant eux. Ominoe avait souri à la remarque de Schaft, et remercia le barman d'un geste de la tête.

Ma foi, s'entraîner à la sarbacane... pourquoi pas... c'est un domaine où je ne suis que novice.

Il s'empara de sa chope et lui tendit son verre.

On pourrait déjà commençer par trinquer, non ?

La belle endormie avait commencé à cauchemarder jusqu'au moment où une douce musique enchanteresse parvint jusque dans son esprit. Mais quand celle-ci s'arrêta, les songes revinrent plus horribles que jamais. Des brides de son passé d'humaine s'insinuèrent vicieusement dans son inconscient, elle luttait contre elle même pour se reveiller mais rien. Son coeur battait trop vite, song tapait dans ses tempes et sa gorge était nouée. Un étau la maintenait et l'étouffé, l'alcool la faisait délirer, elle martellait du poing la chose qui la retenait prisonnière. L'étreinte se ressera.

* Lachez moi ! Laissez moi ! Allez vous en ! *

Mais rien n'y faisait, les quelques minutes lui parurent un éternitée. A bout de souffle, elle tenta un dernier coup. Silissia libéra sa main droite et l'envoya sans savoir où. Elle percuta quelque chose et ne put distinguer qu'un "Humppf". C'est à ce moment précis que tout bascula. Quelqu'un la poussa et le sol se déroba sous ses pieds. C'était la douleur de son aile froissée qui la reveilla.

- Ahhhh !!

In n'y avait rien de plus douloureux que cela pour un ange, même son mal de tête lui parut une agréable sensation. Elle se recroquevilla, ne perçevant plus rien autour d'elle, autre qu'une brume épaisse.

Schaft lui rendit son sourire et pris son verre, effleurant sans faire expres la main du maitre au passage.

-Vous avez raison, plus tard le champ de tir, nous avons le temps.

Elle fini sa phrase sur un clin d'oeil et clin tinter son verre contre celui d'Ominoe Gondana.

-A votre santé maitre.

Puis, sans le quitter des yeux, elle porta a ses douces levres son verre et en sirota calmement un peu de son contenu avec delice.

Puis, histoire de ne pas faire mourir la conversation a sa naissance, elle le relanca avec une pointe de taquinerie.

-Je vous ai decouvert fin maitre chocolatier dans mon dernier article, vous m'etonnez aujourd'hui en vous revelant grand buveur. Quel merveille cachez vous encore derriere vos beau yeux si calme.

Elle rougit malgre elle d'avoir formuler a haute voix ce qu'elle pensait sur le regard de son interlocuteur, mais tant pis, c'est dit.

Ominoe but quelques gorgées de son breuvage. Décidement, la bière était bien bonne ici.

Heu eh bien ma foi... c'est plutôt logique. Le chocolat pour le matin, la bière pour le reste du temps. Une vie siane quoi...

Il rougit lui aussi à la dernière remarque de la dame. Cela faisait...oui, bien longtemps, qu'il n'avait plus entendu cela.

Oh et bien... tout ce que peut receler cinquante ans d'une vie tourmmentée de chevalier Jedi... bien des choses, en vérité...

Le cri de douleur de la Jeune ange avait résonné dans l'âme d'Hezeriel avec tant de force qu'il resta un moment sonné. Ses mains tremblaient sur le comptoir, et ses yeux clignaient. Il s'efforçait de rester calme, pour ne pas perdre son contrôle, pour ne blesser personne. Peut être... qu'il réussirait... . Mais c'était, et dans son coeur et dans son corps, des mots qui venaient trop tard.

Dans un élan agressif et spontané, il se retourna, le poignard doré qui se trouvait à sa taille jaillit dans sa main et le jeune homme qui avait tenu dans ses bras l'Ange n'eut le temps de rien faire, sinon de recevoir en pleine joue la lame d'Hezeriel qui passa comme un éclair. La surprise le renversa au sol. A l'endroit ou il avait été touché, une profonde entaille laissait échapper un filet de sang.

L'Enfant avait le souffle court, les yeux vermeils. Les tatouages à son poignet semblaient battre au rhytme d'un coeur effréné. Il regarda l'homme qu'il venait de frapper, mais il ne lui venait aucun remords. La violence d'un Loup n'est pas excusable. Non.

Il s'agenouilla devant la fée blessée et examina son aile. C'était moche, c'était moche et c'était grave. L'aile était rompue presque à la racine. Il posa sa main sur son front: elle était brûlante.

Les cris avaient attiré les regards, des mains s'étaient posés sur les pommeaux des épées lorsqu'il avait tiré son poignard, et maintenant on avait abandonné les verres. Certains discutaient indolemment. Ominoe était profondément passioné par Shaft, Shaft lui rendait la pareille.

Monsieur François lui paraissait fasciné par la scène, tandis qu'Arrethas restait prostré par terre, caressant sa joue blessée.

Hezeriel posa sa main gauche sur l'aile brisée, une émanation de lumière semblait s'en dégager. Et tandis que cette douce lueur envahissait le corps de l'Ange, il murmura à qui voulut bien l'entendre

Qu'on aille chercher un Médecin...

Arrethas était par terre, le sang dégoulinant le long de sa joue, il se demandait ce qui s'était passé. Il vit le gamin penché sur Silissia, un poignard à la main. Sa stupeur laissa place à une colère noire, Ses yeux se mirent à briller d'un éclat meurtrier. Il se releva, la haine brulante au fond de ses yeux. Il dégaina son épée et passa sa main sur la lame, y laissant des traces de sang, ces traces disparaissaient avalés par la lame. Celle ci se mit à luire d'un rouge éclatant. Il s'approcha du garçon et posa la lame contre la nuque de celui ci. Il lui parla avec haine

- Ecarte toi d'elle, ou je te tue, ma lame réclame du sang et j'ai envie de lui donner le tien.

Il appuya sa lame, entamant la peau, laissant une entaille assez profonde.

- Maintenant, on est quitte pour la blessure, lève toi que je puisse te tuer, à moins que tu ai envie de mourrir au sol tel le chien galeux que tu es.

C'était un geste de trop. Une insolence, une goutte d'eau dans un vase trop plein. Au fond de lui, tout au fond, l'enfer s'élevait, l'emportait. C'était l'Eveil, enfin, le véritable Eveil du Loup qui s'élève comme un Hurlement sauvage dans les Plaines glacées et les Déserts froids.

Il sourit quand il sentit la lame d'Arrethas lui ronger sa peau et boire son sang. Ou n'était ce pas une grimace? Qui sait... .

Maintenant, on est quitte pour la blessure, lève toi que je puisse te tuer, à moins que tu ai envie de mourrir au sol tel le chien galeux que tu es.

Il n'en sera pas la Peine... je crois...

Sa main serrant le poingnard se déploya et vira l'épée qui le rongeait et dans un élan brusque il projeta Arrethas contre une table. Maintenant la taverne se réveillait un peu...aussi... . Une seconde passa, ou les regards adversaires se consumaient à fixer l'autre. Le reste fut inévitable. Deux corps s'élancèrent, se heurtèrent, se frappant encore et encore, sans jamais cesser de chercher à tuer purement et simplement celui qui avait osé lever son arme. C'était une folle danse de poignards et d'épée.

Les verres volaient, et les chaises tombaient au sol. Les clients de la taverne venaient se réfugier dans les coins.

Une dague effleura Mr François, une autre ravagea la rangée des bouteilles disposés avec soin dans le fond du bar.

Et ce fut soudainement l'immobilité. Les deux Ennemis s'étaient retrouvés bloqués l'un contre l'autre, au centre de la salle: Hzeriel avait coincé ses poignard contre l'épée d'Arrethas et il s'en suivit une longe épreuve de force et de pression. Visage contre visage, rage contre rage. La sueur coulaient sur les fronts, et de multiples entailles décoraient leurs traits fins.

Il n'était plus question de la Fée blessée, mais d'une Vie contre une Autre vie...

Invité

Les portes de la Taverne claquèrent soudain.

Ramrod apparut. La mine sérieuse et contrariée.

Il suffit !
En ma qualité de Bienveillant Supérieur, je vous somme d'arrêter tout ceci.
Nulle autre violence ne sera tolérée ici. Et nul acte ne sera toléré en ce sens, en cette Cité.
Posez vos armes immédiatement, reflouez toute velléité, ou je me verrai contraint de faire intervenir la Garde Sacrée, qui vous ménera droit vers les hautes autorités où vous serez jugés.

Je ne préviendrai qu'une fois !

[EDIT HRP] Vous avez furieusement interêt à revenir dans le droit chemin immédiatement, sinon c'est moi qui vous mettrait un avertissement à chacun.[/HRP]

Leurs lames se croisaient, quand soudain une personne entra, menaçant d'appeler la guarde. Arrethas la regarda, elle ne plaisentait pas, toute envie de meurtre quitta son visage, il se mit à regarder son adversaire et rompit le combat.

-Arrêtons nous là, je ne veus aller en prison pour avoir massacré quelqu'un.

Sitot ces paroles dites, il quitta la taverne, pour ne pas avoir à se justifier sur comment cette querelle avait commençait

Ominoe Gondana interrompit sa reflexion sur les conte s d'Arthur dans laquelle il s'était plongé depuis presque une heure, pour regarder sévèrement les pugillistes.

Je ne peux qu'appprouver les paroles de Ramrod, et je pense que vous avez de la chance qu'il soit passé ici avant moi !

Il adressa un clin d'oeil à ce dernier.

Beau travail d'équipe, mon Ramrodounet...

Invité

Ramalok était entrer au moment du début du combat. Le verre qu'il avait commandé avait depuis longtemps renversée le doux brevage qu'est le jus de fruit. Maintenant que tout était rentrer dans l'ordre Ramalok alla s'assoir et recommanda un jus pour se remettre de ce spectacle.

Silissia s'était réfugié au plus profond de son esprit, la douleur se calma, elle ouvrit un peu les yeux et constata que la brume ne s'était pas dissipé. Quelques mots fusèrent mais elle n'en comprit pas le sens. Cherchant à se redresser elle essayer de se rappeler de la dernière chose qu'elle avait vu.

* Aspect conique, de couleur transparente, quelques petites choses circulaires et brillantes...*

Puis petit à petit elle réalisa qu'un mal de tête hors du commun venait de s'emparer de son corps. Incapable de tenir sur ses pieds, elle essaya de battre des ailes, ce qu'elle abandonna immédiatement vu l'état catastrophique de son côté droit. Ne pouvant rester dans un tel état de disgrace, elle s'accouda au comptoire et employa toute sa magie à la réparation de la déchirure rougoyante indigne d'un être de son rang.
Toujours faible mais déjà plus en état, elle se redressa et attrappa un tabouret. S'adressant à la silouhette d'un flou merveilleux, elle faillit rater son siège.

- Une bouteille de liqueur de verveine s'il vous plait ça m'aidera à maitriser mon sort de guérison.

Pas vraiment convaincu par les dire de la dame, le serveur déposa quand même le breuvage en face d'elle. Voyant trois verres, elle se demandait bien lequelle était le vrai. Après avoir passé une bonne minute à l'attrapper, elle abandonna et se concentra sur son aile blaissée. Une douce lueur divine au ton de blanc s'échappa de son dos. La tiédeur rassurante l'appaisa et elle dut lutter pour ne pas de nouveau s'endormir. Elle n'avait même pas remarqué les deux personnes prêtes à s'affronter. Elle resta assise en face de la bouteille à la regarder sans y toucher.

Invité

Ramrod se détendit, rendit son clin d'œil à Ominoe.

Arrethas parti, il restait Prince-Seigneur au milieu de la pièce.

Je ne garantis en rien une réaction des Doyens quant à vos faits et gestes, sache-le. L'incident est clos.

... J'ai soif.

Il s'approcha du comptoir, jeta un œil compatissant envers Silissia, et s'accouda lentement.

... Un truc très frais, Tavernier. S'il-te-plaît.

Ambre avait poireauté toute la journée toute seule à côté d'Ominoe en attendant un minimum de reconnaisse... en vain. Sa patience était grande, mais elle avait tout de même des limites. Elle se redressa d'un bond, furieuse, ramassa ses affaires, se planta devant Ominoe, lui colla sa main dans sa figure et sortit de la taverne, folle de rage et grommelant contre la bêtise qui l'avait poussée à essayer de l'aider.

C'était ainsi qu'Hezeriel recevevait en pleine figure des Montagnes de problème... . Impulsif et irraisonnable... . Ses yeux s'adoucirent devant les menaces des Bienveillants. Il rangea ses poignards décorés par quelques larmes de sang, rajusta ses vêtements afin de se donner meilleure figure, et passa ses mains dans ses cheveux.

Quand il se fut remis, il laissa son regard aller vers Silissia. Elle était devant son verre de verveine, le fixant avec ces yeux troublés par la douleur. Elle était...jolie... .

Les mots de Ramrod lui revinrent à la tête. Possible que de tels actes dans la taverne aient des conséquences plus... délicates pour son cas. Il rejoignit le comptoir. Il garda sa tête en direction du barman tout en murmurant à la jeune Ange au verre de Verveine...

Vous vous sentez mieux.. ou auriez vous besoin de quelque aide pour votre aile...

Arrethas était dehors, l'expression de son visage impénétrable, il ne savait que faire, lorsqu'il vit une silhouette sortir de la taverne, d'une démarche raide. Il la regarda, elle avait les traits tirés de colère. Arrethas se dirigea vers cette silhouette et l'aborda

- Je vois que vous aussi ressentez le même sentiment que moi, ça se lit sur votre visage

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