Baigné dans un milieu d’hypocrisie, je me vois comme un cartésien. Objectif, j’aime rêver, et tous les sentiments futiles du même genre, chose qui semblerait paradoxale pour un cartésien. D’ailleurs ma vie entière est un paradoxe. Une énigme à la quelle je n’ose toucher de peur de voir l’atrocité se cachant derrière. De nature étrange, je suis une sorte de marginal noyé dans une masse semblable, une sorte de pseudo résolution personnelle, une sorte de grosse connerie.
Une connerie, une de plus, au point de se demande si ma vie n’en est pas une.
En pleine crise de je ne sais quoi(peut être l’adolescence) je me demande finalement si j’ai réellement une vie. C’est vrai, qu’ais-je accomplie pour le moment ? Mon objectivité me fait dire que mon pessimisme me dévalorise, voir plus…Cela résumerait bien la mon état d’esprit : Une confusion des plus total. C’est ce qui me fait moi, ma complexité et mon incompréhension (qui est réciproque, mais plus par fainéantise, je ne dois pas réellement chercher à comprendre.)
Je suis loin d’être stupide (quoique…) et j’ai sûrement des choses à raconter (je ne suis pas inculte au point d’être un légume) mais étrangement, je n’ai aucune conversation (toutes discutions avec ma personne est perdu d’avance.) Ce qui me rend à caractère associable.
Je pourrais continuer avec mes talents, qui se résument en rien. Je sais voir, mais pas comme les autres, je vois des détailles, mais rien d’autre. Je ressent les choses plus qu’autre chose, et d’ailleurs mon inconscient est doué en la matière surtout quand il est question d’écriture (poésie, nouvelle ou texte expérimental) car ce n’est pas si moche que ça. Puis en prise de vue aussi, il sait faire quelque chose avec rien.
Je n’ais pas de personnalité propre, du fait que je n’en ais pas du tout. Je suis donc plat et inintéressant, et pourtant, si intrigant et mystérieux.
Je cache du vide.
2/5 (ça doit être l'ortographe)
3,5/5
4/5
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9,5/15 12,7/20