Une quête périlleuse (2)

Invité

L'armée commenca à se mettre en marche, en
direction vers le village, leurs intentions étaient évidentes, ils
voulaient le raser.
La pluie de flèches ne tarissait pas, et
plusieurs batiments se mirent à bruler suite au fait qu'une des flèches
enflammées se soit plantée dans le toite en chaume.

Gelmir était aller à la forge, il avait pus trouvé un vieille arc et plusieurs flèche. Il n’était pas le meilleur des archers, mais tous les elfes de son peuple savaient tirer à l’arc. Il demanda à Grendelor de le suivre, plusieurs achevait les barricades et tous longeaient les murs pour être à l’abri des flèches.

Grendelor et Gelmir longèrent une maison en flamme puis ils atteignirent le marché. Il était pratiquement vide. Ils atteignirent en peu de temps le passage de la lune, une file de villageois était toujours présent.

-Restez ici Grendelor, je vais rejoindre les autres, pour que vous ayez le temps de vous enfuir il faut que nous les retenions entre le temple d’Àlistaée et l’hôtel de ville. Vous devez faire passez tout ces gens, je vous promet de revenir.

Gelmir s’en alla, avec une adresse mesuré il atteignit en peu de temps la palissage et il arriva au côté de l’elfe du soleil.

-Nous devons les retenir entre le temple d’Àlistaée et l’hôtel de ville, vous êtes un archer expérimenté nous aurons besoin de vous, il faut laissez au villageois assez de temps pour qu’Ils s’enfuissent.

Astriel, après avoir donné des ordres claire à certains soldats du village, s'en retourna vers le petit groupe des défenseurs de la cité, laissant les gardes s'occuper de conduire les villageois dans l'étroit boyau de roche.

Une idée lui traversa l'esprit lorsqu'il passa devant ce qui semblait être la forge, voyant Gelmir en ressortir avec un arc, fonçant vers la porte où se trouvait Grendelor et les autres, il n'eut pas d'hésitation. Il entra, cherchant la personne désirée, le forgeron, en espérant qu'il ne s'était pas mis avec le reste des villageois.

Son espoir fut soulagé lorsqu'il aperçu un grand homme munit d'un long et lourd tablier de cuir, tenant un marteau impressionant. Il se dirigea vers lui, à pas rapide.

- Vous ne vous enfuyez pas ?
- Non, cette forge est ma vie, je resterais jusqu'à la mort, je n'ai que ma forge.
- Je vois...
- Mais toi que fais tu encore là ?
- J'ai besoin de vous pour défendre le village. Il m'est venu une idée en ce qui concerne la suite des évènements. Y a-t-il de la poudre dans ce village ?
- Très peu, cinq tonneaux tout au plus.
- C'est parfait, ils vont nous êtes utiles !
- Laisses moi deviner, tu compte l'utiliser pour boucher le chemin passant par le canyon ? Pour éviter que l'ennemi ne puisses vous poursuivre, vous et le reste du village ?
- C'est tout à fait ça.
- Oh tu sais que tu me plaît mon ptit gars ! Viens, je vais te montrer où c'est, mais d'abord, il faut trouver au moins deux ou trois personnes si l'on veux que le plan marche, il faudra un certain temps avant d'acheminer les tonneaux là-bas et de mettre en place le dispositif.
- Ok !

Malgré son appel, Astriel partit déterminée vers la forge, une idée en tête apparement.
Nathan devrait se débrouiller seul pour acheminer les villageois à bon port. Il repéra un jeune étudiant et alla s'adresser à lui.

-Où se trouve la ville la plus proche d'ici ? demanda-t-il.

-La capitale se trouve à des semaines de marche d'ici. Mais Guerispan est à seulement une journée de marche!

-Faites passer le message: que tout le monde se dirige vers ce hameau.

Le jeune guerrier alla s'adresser aux gardes et bientôt ils se rassemblèrent. En tout, ils étaient cinq, les autres étant restés au village. Ils organisèrent la fille de villageois et bientôt tous furent heureux d'apprendre qu'ils seraient sauvés s'ils arrivaient à terme de cette journée de marche.

Nathan se retourna alors et regarda le village, qui commençait à s'éloigner de plus en plus. Des habitations étaient en flammes, les soldats ennemis semblaient sur le point de rentrer dans la cité. Si seulement ceux restés en bas pouvaient retenir l'armée adverse suffisament longtemps...

Alors que la compagnie d'exilés aboutissait dans une petite clairière, à seulement un kilomètre du village, un étrange hurlement se fit entendre.

-Des loups! hurla une femme.
-A moi ! Rassemblez-vous à moi! cria le capitaine de la garde.

Les villageois formèrent alors un cercle, les enfants et les femmes à l'intérieur et les hommes aux extrémités. Les quatre guardes et l'aventurier se rassemblèrent puis, après avoir tiré les armes et pris pour ordre de faire en sorte que la colonne humaine continue son chemin coûte que coûte, ils se séparèrent le long de la fille.

La situation était plus compliquée que prévue. En plus d'une meute de loups, s'ajoutait à cela une bande de pillards. Et il s'agissait de féroces chiens dressés, et non pas de prédateurs désorganisés.

Avec force de hurlements, la dizaine de voleurs se jeta sur eux, leurs animaux à leur suite. L'un d'entre eux, aveuglé par sa propre folie, se jeta sur Nathan, un gros couteau de boucher à la main.

D'un geste précis et froid, Nathan fit siffler sa lame et trancha la gorge de l'individu, faisant gicler un flot de sang sur sa lame. Alors que le l'homme s'écroulait par terre, son loup se jeta sur Nathan et le choc le mit au sol.

Roulant dans l'herbe pour ne pas se faire déchiqueter la gorge, le jeune guerrier ne dut son salut qu'à un paysan qui vint à son secours pour attraper le monstre et lui tordre le cou.

La bête s'affala alors sur l'herbe de la clairière et Nathan put se relever, ruisselant de peur et de la frénésie du combat. Une flèche fendit alors l'air et perça le jaret du pauvre homme qui était venu le soutenir. Il voulut le relever, mais trop tard, d'autres bandits arrivaient déjà.

Sortant son cor, il souffla de tous ses poumons dedans, hurlant à la mort pour de l'aide.
Si des aventuriers ne venaient pas à son secours, cela serait bientôt fini de lui.

Invité

Plusieurs dizaine de minutes plus tard, tous les villageois s'étant enfuis du village, à l'exception de quelques téméraires, ou suicidaires.
la porte céda dans un grand bruit.

La porte céda devant Grendelor alors qu'au même moment le cri d'un cors résonnait dans la passe qu'avaient empruntés les villageois. De ce côté là monta une vague de panique alors qu'en face d'elle une soif de sang déferlait.

La jeune femme avait vu les elfes se mettre en place avec leurs arcs pour retarder l'ennemi et faire un maximum de dégâts, ainsi qu'Astriel et le forgeron trainer des tonneaux vers la passe. Elle ne savait pas ce qu'ils contenaient mais les deux hommes avaient un large sourire sur le visage malgré les efforts apparents qu'il fournissaient.

Elle devait prévenir quelqu'un qu'il se passait quelque chose du côté des villageois. Certes tous avaient du entendre le cors mais combien avaient compris. Et surtout, qui pouvait quitter son poste pour leur porter secours. Elle seule n'avait pas de vrai poste : elle n'avait pas d'arc, seulement sa dague et sa force n'était pas suffisante pour faire face à des guerriers aguérris et enragés.

Aussi, elle cria à Gelmir qui n'était pas loin

Les villageois sont attaqués! J'y vais!

Et elle s'élança dans la faille, avec de longues foulées légères qui la portèrent rapidement sur les lieux. Là elle vit le cercle formés par les hommes protégeant femmes et enfants et en face des pillards aidés de loups. L'un des hommes qui se trouvait à l'auberge le soir précédent semblait en mauvaise posture et c'est lui qui portait son cors pour appeler à la rescousse. Il avait réussi à se débarrassé d'un pillard et de son animal mais d'autres s'avançaient vers lui et les soldats.

Pour une fois, la jeune femme fut emportée par sa propre folie et se jeta sur un des hommes, dégainant sa dague pour l'enfoncer dans l'épaule de son adversaire qui hurla de douleur et de rage. Il essaya de l'attraper par le bras mais, rapide, Grendelor s'esquiva, passant derrière lui, dague toujours en main, et lui porta un coup au niveau des reins qui le mit à terre.

Elle se retrouva alors près de l'homme au cors, lui tendit la main pour qu'il se relève et ils se mirent côte à côte pour faire face à leurs ennemis.

Invité

Une dizaines d'hommes rentrèrent dans la village, armes aux poings. Ces guerriers ne portait pas le même uniformes que les autres, celui ci était exclusivement noir, même si le blason y était représenté.
Deux autres guerriers pareillement vêtus mais sur des chevaux entrèrent à leur tour. Ces derniers portaient de longues capes noirs et de lourds heaumes représentant des dragons, créatures mythiques, que tout le monde redoute.

Ces douzes hommes commencèrent à anvancer, d'un pas souverain, leur regard sondant les rues du village à la recherche de la moindre âme à tourmenter. Puis ils s'arrêtèrent, dégainèrent de longues épées dont les lames étaient rouges, non pas de sang mais alles étaient constituées d'un acier magique rarissime. seuls les officiers balmoréens étaient réputés pour en avoir. Ces officiers étaient aussi connus pour êtres choisi non pas pour leur faculté à commander des hommes mais pour leur maitrise des armes et de la torture.

La situation était désespérée, seuls les Templiers serait en mesure de les vaincre. mais les Templeirs étaient pour l'instant figés, tels des statues dans le Sanctuaire, tample secret, que seuls quelques rares élus connaisent la localisation.

Cette aide était providentielle. Peut-être que finalement les Dieux ne le haïssaient pas tant que cela.

Mais il n'eut pas le temps de s'attarder sur la question car déjà un autre homme se jetait sur lui.

Il le frappa de toute sa force avec son glaive, mais c'est le bouclier du pillard qui encassa le coup et il se fendit sous la violence du choc. Le pillard fit siffler sa lame que Nathan bloqua de justesse grâce à l'un de ses bracelets.

Il prit alors la tête de l'homme et lui infligea un violent coup de boule.

Il fit alors un petit sourire à la femme qui l'avait sauvée et, haletant, lui montra le bandit de la tête.

-Le coup de grâce est pour vous madame.

L'elfe des forêt d'argent lui demandait s'il pouvait l'aider étant donné qu'il était un bon archer.

Amras le dévisagea et sourit, entre le temple d'Alistaé et l'hotel de ville était selon lui le meilleur point de défense...
D'une certaine manière c'était là un bon point...

"Aider les villageois à s'enfuir... Aider des lâches... Après tout, pourquoi pas..."

Le mépris était dans ses mots et dans ses yeux mais il semblait pourtant décidé à les aider.

"Bien, allons-y, je vous suis."

Il s'apprêtait à descendre quand il remarqua les douzes officiers balmoréens, il s'apprêtait à se dissimuler mais il était trop tard, trois d'entre eux venaient de les remarquer.
Action réaction, il fallait dégager au plus vite, il fit signe à Gelmir de le suivre, celui-ci comprit parfaitement le délicat problème et ils descendirent à toute vitesse pour semer les officiers, une fois qu'ils furent semés, les deux elfes remarquèrent qu'ils étaient arrivés au passage de la lune, fallait-il continuer plus loin ou se conduire en héros suicidaires et tenter de retarder les balmoréens ? les deux elfes savaient parfaitement ce qu'étaient ces douzes hommes en cuirasse...

Amras se tourna vers l'elfe des forêts d'argent.

"La logique voudrait que l'on suive les villageois et qu'on les aide à fuir rapidement.
Nous n'avons pas le temps de parler, je vous conseille de me suivre..."

Il continua par le passage de la lune, actuellement, c'était ce qu'il y avait de mieux à faire...

Invité

Le combat entre les gardes et les pillard débuta avec le tintement des lames. Les gardes venait de charger les pillards, épée à la main et pavois dans l'autre.

Après plusieurs passes d'arme réduites à néant par un adversaire habile, le premier garde réussit en un enchaînement complexe à asséner un violent coup de son arme dans la gorge du pillard, lui tranchant l'artère principale, faisant couler un torrent de sang.

Le second quant à lui était en difficulté, il venait de recevoir un coup de cimeterre dans l'épaule, qui saignait abondemment.

Les deux autres tuèrent sans difficultés apparentes leurs adversaires. Puis ils vinrent aider leur compatriotes.

La situation semblait grandement s'arranger. Heureusement, les gardes avaient pu se débarasser d'une grande partie de leurs adversaires.

Nathan fonça sur un des bandits qui semblait destabilisé par la farouche résistance qui leur était opposé. Ils ne pensaient affronter que des paysans désarmés.

Au moment où le pillard tournait la tête, le jeune guerrier lui fendit la joue droite de son glaive et fit jaillir un oeil hors de son orbite. Hurlant de douleur, le pillard agita son sabre en tous sens et le planta involontairement dans son loup qui s'effondra sur l'herbe.

Pour l'achever enfin, Nathan arracha d'une main la tole qui lui servait d'armure et empâla son adversaire sur son glaive. Celui-ci eut alors un sursaut et cracha du sang, qui constella le visage du farouche combattant de perles rouges. Celui-ci retira alors son arme du coeur transpercé et d'un coup de pied fit tomber l'homme à l'agonie à terre.

Il se retourna et vit qu'un des derniers assaillants fonçait sur Grendelor, mais celle-ci semblait l'attendre et son air farouche ne laissait aucun doute sur l'issu du combat, tout du moins l'espérait-il.

L'homme qu'il avait envoyé au tapis tout à l'heure s'était alors relevé et commençait, en boitant, à se diriger vers la jeune femme, dague à la main.

Sans hésiter, Nathan arriva derrière lui et attrapa sa tête par les cheveux pour lui trancher la gorge. Un flot de sang jaillit et un gargouillis se fit entendre, et enfin le corps s'effondra inerte.

"Nous sommes désormais à égalité" pensa Nathan.

Invité

Les pillards survivants se relevèrent et prirent la fuite en poussant des cris de terreur.
Le ciel s'assombrissait et la nuit ne tarderait pas à tomber, cependant il restait plus de 10 km à faire avant, afin d'atteindre le prochain village.

Dans le lointain, des loups hurlaient, à d'autres endroits, des coyotes leur répondaient. Ce curieux dialogue intriguait un homme, confondu dans la foule des villageois. Cet étrange individu était très légèrement vêtu, une simple toile verte sur laquelle était fixée un manteau de feuilles. Une longue cape verte pendait jusqu'à ses pieds, traînant sur le sol.

Il regardait pensivement le ciel, les oiseaux tournoyant dans un ballet virevoltant, les nuages défilant et le soleil se couchant. L'air pensif, un sourire aux lèvres, il avançait, suivant le rythme de la foule.

Personne ne connaissait cet homme. Il ne vivait pas au village, et il n'avait rien d'humain, tant par son physique que par ses vêtements.

Peu à peu les gens commencèrent à remarquer sa présence, il faut dire qu'il ne passait pas inaperçue, ses cheveux blanc, son regards glacial, alimenté par des yeux d'une clartée à vous éblouir.

Personne n'osait le regardais fixement mais des regards saccadés se succedaient, les détails commencèrent à s'accumuler, sa peaux brune n'avait rien de comparable à celle des paysans qui eux contrairement à l'homme avait une peau blanche comme la neige.

Des questions furent murmurer dans les rangs des villageois, une rumheur, qui dans d'autre circonstance aurait été complétement farfelus et dénigrer des paysans, fit sont apparitions, il était l'hommes de la profetie...

[hrp]Elendur, pour poster dans l'aventure tu dois y être inscrit et les inscriptions sont clôturées depuis belle lurette Wink

[/hrp]

Karum a écrit:: [hrp]Elendur, pour poster dans l'aventure tu dois y être inscrit et les inscriptions sont clôturées depuis belle lurette [/hrp]

[hrp] oups desolé[/hrp]

Invité

[HRP]Si quelqu'un veut participer à l'Aventure alors qu'il n'est pas inscrits, merci de m'envoyer un MP avec motivations et fiche de personnage.[/HRP]

Tuer, tuer, tuer.

Tout son être ne réclamait que cela. Les corps des pauvres paysans et villageois tués par le déchaînement des archers ennemis ne faisait qu’augmenter sa soif de carnages. Après tout les clones Jadharis avaient pour fonction première l’art de la guerre. Et réprimer ses instincts naturels, c’est mal.
Ainsi commença une course effrénée pour rattraper les fuyards avant qu’ils ne rejoignent le gros de la troupe de pillards.
Zigzagant entre les corps inertes qui jalonnaient l’allée principale il passa devant un petit groupe d’hommes en arme, dont il reconnu le visage de certains clients de l’auberge le regardant incrédules.
Voyant qu’il ne pourrait les rattraper assez tôt, il s’injecta une de ses nombreuses drogues de combat dans une des ouvertures métalliques de sa poitrine. Aussitôt les effets de la toxine se firent sentir. Cette fois tout son corps se mit à frémir de rage, l’adrénaline emplissant les moindres parcelles de son corps et de ses muscles.

Maintenant il n’y avait plus que lui et ses proies. D’un bond il dégaina ses lames consacrées d'Arh-Tolth sorte d’épée à doubles lames. Le premier des fuyards ne vit rien venir. Le choc fut si violent que la lame de Razheem s’enfonça dans son dos jusqu'à la garde. Le malheureux poussa un cris de douleur, avant de tomber à genoux posant un regard étonné vers son bourreau un trou dans la poitrine. Son compagnon se retourna interloqué. Son air abrutis par la mort de son compagnon se figea alors dans une expression de haine. Celui-ci ce jeta alors sur le clone qui esquissa un sourire démant derrière son masque sans expressions.
En un éclair Razheem lui décocha un carreau avec son arbalète de poing, mais ne fit qu’effleurer sa cible. Les premières attaques de son adversaire aveuglé par la colère se firent violentes et rapides. Razheem dut reculer et parer, non sans difficultés, les attaques du pillard.
Après une minute de combat, mené sur la défensive il perçut les premiers effet du poison que le carreau d’arbalète avait occasionné au pillard. Les mouvements de celui-ci ce firent plus lent et moins précis. Un éclair parcouru les yeux de Razheem, et il pénétra dans la garde de son adversaire par une habille passe d’arme menée aussi rapidement qu’il le put.
Le corps inanimé de son adversaire tomba par terre dans un bruit sec.

Razheem dut alors se rendre à l’évidence. Son combat avait duré trop longtemps et déjà unemeute de loups se ruait sur lui. Le temps n’était plus au combat, Razheem dut se soustraire à la fuite. D’autant que les effets de sa drogue de combat commençaient à s’estomper.

Aembur avait jusqu'à maintenant suivit le groupe des villageois mais en n'effectuant aucun mouvement pour les défendre, n'en voyant pas l'utilité.
Cela faisait longtemps qu'il n'appréciait plus la compagnie de ces humains insignifiants, pourtant l'attaquer des pillards lui fit l'effet d'un electrochoc; malgré sa rancoer il allait utiliser sa lame pour aider les aventuriers à protéger ce groupe et les accompagner jusqu'au village le plus proche, ensuite il devra reprendre son chemin.

Aembur sortit sa longue lame, Croc de la lune, et s'approcha des aventuriers:

"Je vais vous aider a protèger ces villageois!"

[hrp]Je suis désolé de ne pas être intervenu avant mais des problèmes presonnels mon empecher de venir sur le forum, j'ai vu avec ChaosAngel et il est d'accord pour que je reprenne le fils de l'avnture [/hrp]

L'air était lourd. Des nuages flottaient dans le ciel, avançant à une allure rapide, plongeant le village de Guerispan dans une obscurité effrayante.

- Le Mal est sur nous ! s'écria un villageois apeuré, les yeux atteints de folie, rivés sur le sombre ciel.

Superstitions...

Edmund jeta sa bouteille de rhum sur le bas côté de la route de terre. Il n'était pas d'ici, il n'avait cure des pressentiments de quelques villageois attardés. Cette ville n'était qu'une étape. Une étape...

Il serra son pendentifs entre ses doigts. Ce pendentif représentant une étoile à neuf branche. Un symbole dont il ignorait totalement la signification, mais il savait qu'il était important dans sa quête.

Edmund avait une trentaine d'années. Il avait vu bien des choses durant son existence, des choses dures, qui avait fortifié son caractère taciturne et solitaire. Il marchait dans la ruelle poussièreuse, vêtu d'un pantalon en lin brun et d'une veste de cuir élimée. Il n'avait plus qu'un seul but, un seul...

[hrp] je voudrais bien savoir quand est ce que l'aventure va reprendre, car sa va faire longtemps qu'on à pas avancer! merci d'avance pour la réponse! [/hrp]

Invité

[HRP]Je m'excuse de ne pas avoir répondu plus tôt, ce pendant, un projet est actuellement en étude au sujet de l'aventure, je demaderais donc, de la patience de la part des joueurs ainsi que de la compréhension. En attendant, je demanderais à un membre du Staff de vérrouiller ce topic.[/HRP]

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