J'ai ecrit ca apres avoir lu l'art poetique selon Nicolas boileau, et c'est donc un "commentaire poetique" sur celuis ci.
A quoi bon,à quoi bon
A quoi bon césurer
Pour toujours plus briller?
Et moi, je dis non.
Si toujours la cadence
A rythmé la danse
Il n'en va pas de meme
Pour un doux poème.
Il n'en va pas de même
Pour rythmer un poème
Le rythme, la cadence même
Toujours les memes rythmes
Toujours les memes rimes
Immanquablement lassent
Et rendent un poème nulasse.
Certes, ce barbarisme choque
Est ce une raison pour l'exclure?
Et bien non, car il est comme une coque
Au centre s'y trouve son etre, sa nature
Mon dieu j'ai disloqué l'orthographe francaise!
Et bien moi j'en suis toujours plus a l'aise.
A l'oubliette les rythmes,orthographes et malaises!
Haha! sans limites , le poete est maître.
Les seules contraintes qui l'interresse sont les siennes
Toujours plus haut, toujours plus beau
En cherchant un peu, il s'illumine, elles viennent,
Les bonnes idées toujours affluent.
Mais qui voici, mais qui voilà
La douce muse j'entends ses pas
Une peu grise, un peu bourrée
Inspire moi , divinité ,
Avec ta chandelle mouillée
Avec ton verre à la main
Aide moi a faire un beau quatrain
Parle plus fort, je n'entend rien
Peut etre cette source de connaissances
Oui,peut etre n'existe-t-elle pas?
La muse est ici, elle est là
Toujours sur vos pas, dans vos stances
Rigolez, critiquez, musez
Tant qu'en créant votre poème
Vous vous auto suffisez.
c'est ca un poeme
c'est encore plus doux qu'une creme.