Aëringor
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| Le cour | |
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Arrethas Amoureux des Mondes Blancs.
Nombre de messages : 292 Age : 34 Style Littéraire : Héroic Fantasy Animal représentatif : Loup Passion : La lecture, le patin à glace, l'ordi, les concerts de métal et rêver Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: Le cour Jeu 5 Juil - 17:45 | |
| Un nouvel écrit que je viens de faire
Un professeur était en train d'enseigner à trois de ses élèves, quand l'un lui posa une question
-Maître, est ce que l'amour est synonyme de mort?
Le professeur regarda l'élèveb qui avait parlé. C'était un garçon au cheveux blond, court ayant des yeux bleus, il était plutôt grand et plutôt maigre aussi. Il ne sut que répondre devant cette question, surtout qu'elle était arriver plutôt rapidement.
-Pour tout dire, je ne peus y répondre Matthias, certain dirait que oui, d'autre non, ça dépend de ce que tu vis, de ce que tu as affronté, des chagrins et d'une quantité d'autre chose. Le plus important, ce n'est pas ma réponse, mais celle que tu as toi. Ainsi que celle de tes camarades. C'est comment tu vois l'amour.
Matthias détourna la tête songeur, il ne savait que penser de la réponse de son professeur. Une lueur de tristesse apparut sur son visage
-Moi je pense que c'est vrai, l'amour est synonyme de mort, elle te fait te sentir bien un court moment, puis ensuite elle te tue à petit feu dans les plus horrible souffrance, c'est la plus grande torture qui éxiste puisque qu'elle touche tout le monde et qu'elle est présente partout.
Il soupira doucement puis se tourna vers le professeur
-Est ce que je me trompe, est ce faux, parce que pour l'instant c'est l'effet que l'amour m'a fait, aimante un jour, te détestant le reste de la vie.
Le professeur demanda aux autres élèves de sortir, que le cour était terminé. Quand les deux autres élèves furent partis, il parla à Matthias
- Je comprend que tu dise ça, mais qu'est ce qui c'est passé pour que tu en arrive là?
Matthias regarda son professeur entre les yeux, il ne voulait pas parler, ne voulant rien révéler, mais le regard emplit de bonté du professeur fit fondre sa résistance, des lrmes commencèrent à couler le long de ses joues, larmes qui tombèrent sur le sol immaculé.
- Tout aller si bien, je l'aimais, elle m'aimait, on étais bien ensemble, son ancien petit ami, elle l'avait quitter sur une dispute, se retrouvant anéantie, je venais de sortir d'une rupture aussi, plutôt douloreuse. On s'est mutuellement réconforté, se trouvant des sentiments qu'on ne pensait pas avoir l'un envers l'autre. Tout allé bien, puis son ancien petit ami a commencé à l'appeler, lui demandant de lui donner une autre chance. Elle ne devait pas retourner avec lui, elle en souffrirait et ce qui s'est passé se passerait à nouveau. Mais elle a cédé, devant ses belles paroles, elle qui me disait qu'elle ne me quitterait pour retourner avec lui. Lorsqu'elle m'a annoncé qu'elle me quittait pour lui, j'ai eu l'impression de recevoir un coup de poignard dans le corps. J'aurais dû la retenir, j'aurais dû insister, mais non, je suis rester là, sans rien dire, ne faisant que pleurer. Des larmes de tristesse, je m'en veut, je m'en veut de n'avor rien fait, de n'avoir rien sut lui répondre. Depuis ce jour, je vi sans vivre, j'erre, ne sachant plus où aller. Je fais partie de son passé, un passé qu'elle tente d'oublier, un passé révolus. Il y a quelque jour, je lui ai écrit une lettre, lui disant ce que je ressentais. Elle m'a répondu que notre relation était une erreur et qu'il fallait l'oublier. Je ne sais quoi faire pour qu'elle revienne, je veus tout faire pour qu'elle revienne. Plusieurs fois, j'ai eu envie de disparaître, à tout jamais, d'arrêter de vivre. Maintenant, j'en suis là, ne sachant que faire, ne sachant quoi lui dire. Tant qu'il y a une chance qu'elle revienne, mon corp refusera de mourir, mais si cette chance disparaît alors il ne me restera plus rien qui me rattche à ce monde, je disparaîtrais à tout jamais de cet univers où je n'ai aucun bonheur.
Au fur et à mesure que les mots sortaient de sa bouche, les quelques larmes se multiplièrent, créant un filet descendant de chaque oeil et finissant leur trajet sur le sol. Le professeur n'en put plus, il s'avnaça vers Matthias et le serra contre lui lui répondant avec des mots doux...
Ce que je voudrais, ce n'est pas tant des commentaire sur le texte, mais que chacun me disent ce qu'il répondrait si il était le professeur et qu'il se trouvait dans une situation comme celle là. | |
| | | Ambre Melifol Habitant de la Ville Moyenne.
Nombre de messages : 658 Age : 34 Style Littéraire : celui qui regroupe toutes les fantasy... Animal représentatif : marmotte... taupe... tortue ! Passion : écrire, lire Date d'inscription : 06/05/2007
| Sujet: Re: Le cour Jeu 5 Juil - 17:53 | |
| Alors je commente d'abord le texte... et je te signale qu'il faut que tu donnes un genre à ton récit Arrethas (comme ça ça évitera à Méphi de flooder en rentrant XD). Donc le texte, je ne dirai ren sur le fond, mais je te signale juste qu'il y a des fautes, je sais que tu es faché avec la grammaire, mais je pense que pour un texte comme celui-là, tu devrais faire un effort... Ensuite, si j'étais le professeur, je ne dirais pas à l'élève que c'est comme il pense, je lui dirais que ce n'est pas vrai et que l'amour n'est pas la mort. Parce que même un amour non accompli donne la force de continuer à vivre, et la créativité (la preuve...) Voilà, donc en gros, même un amour qui ne s'accomplit pas est une bonne chose... (vive l'optimisme...) | |
| | | Tr0n Bavard du Kom Turgo.
Nombre de messages : 74 Age : 44 Animal représentatif : Chat Passion : Lecture, Ecriture, Jeux, Rugby Date d'inscription : 23/06/2007
| Sujet: Re: Le cour Jeu 5 Juil - 18:34 | |
| L'Amour.
Pourquoi les Hommes oublient toujours le grand "A"...
La petite allumette attise les feuilles souvent mortes et leur fait prendre feu. L'incendie se déclare, les flammes s'élèvent et lèchent les cimes des hauts paysages. Puis elles s'étendent devenant moins hautes mais attisant des hectares et des hectares de ton coeur. Et quand tout se termine, il ne reste plus que des braises.
L'Amour est ainsi. Il ne tue pas, mais laisse des braises ou des feuilles mortes jusqu'à ce qu'un souffle, de la taille même d'une allumette, le rallume. On a souvent l'impression qu'on va mourir, les braises brûlent toujours les pieds quand on marche dessus, n'est ce pas ? Mais le temps fait son office. On n'oublie rien mais on vit avec et la petite allumette arrive finalement...
Très cher élève, vous savez, j'ai connu plusieurs femmes, la dernière est celle à qui j'ai donné mon coeur. J'étais aveugle, je n'ai rien vu, rien partagé et l'horreur est arrivé. Ce fût un Lundi en partant travaillé loin de mon domicile, elle me dit les yeux à peine ouvert, encore engourdie par le sommeil.
" Je t'aime "
Elle réclama un baiser. Comment lui refuser... Même si j'étais en train de me chercher un avenir, de forger ma volonté et mon caractère, je crois que je l'aimais, qu'elle serait toujours au fond de mon coeur. Mais... Le jeudi soir, rentrant pour un week end prolongé, j'ai appelé. Je voulais la rejoindre et là, la discussion fût plus qu'un poignard dans le dos. Ma mère était là, ma soeur aussi. Elle m'avait caché pendant tout ce temps ce non amour, ces sentiments hésitants. Ma confiance en fût soudainement brisée. J'ai eu l'impression une nouvelle fois d'avoir 16 ans, d'avoir oublié 10 années d'existence. Mourir ? Chacun sa vision mais le poignard ne m'a pas tué. Il m'a rendu plus fort, de plus en plus fort. J'ai passé des tempêtes, ma santé a été vascillante, j'ai frolé la mort plusieurs fois. L'Amour tue ? Non... Je n'ai que "frôler". N'oublie jamais ça. Rien mon jeune élève ne doit influencer ta vie. Pense d'abord à toi, pense à ta vie, à ton bonheur, soit égoïste quand il le faut, apprend à véritablement partager et un jour tu verras l'Amour autrement. Crois moi jeune élève, quand tu sauras qui tu es, tu connaîtras le véritable sens du mot Amour, pas avant. Tous nous voulons brûler les étapes en croyant que le ou la première sera la bonne. Tous nous croyons sans cesse avoir trouver. Quand on a 20 ans, on croit en beaucoup de choses. Quand on en a 25, les illusions disparaissent progressivement. J'approche de la trentaine jeune élève et je suis loin de savoir encore la définition que tu me demandes. Je sais juste que tu répeteras les mêmes erreurs que tout le monde. Tu vivras, tu traverseras des Amours, et tu comprendras alors qu'il n'est pas la Mort, mais une sorte de mutation de ton être vers autre chose. La vie est ainsi faite... D'étapes.
L'Amour ne te tue pas. Et tout ce qui ne te tue pas jeune élève te rendra plus fort. Les premiers mois sont difficiles mais à terme, on se pose des questions récurrentes. Est ce que je l'aimais véritablement ? Est ce que l'Amour n'est pas un partage total sous une liberté immense ? L'Amour est tout et rien à la fois, une simple association de molécules.
Aujourd'hui je suis seul jeune élève. Un an est passé depuis cette femme. Je ne rêve que d'une chose, que mon coeur vibre pour une autre. Je ne l'ai pas oublié, je ne suis pas mort et je suis devenu un autre homme que ce que j'étais.
L'Amour est une simple expérience de la Vie, une étape ou des étapes. Passe les et tu comprendras de quoi il en retourne. Ne cherche pas à analyser, vis. | |
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| Sujet: Re: Le cour | |
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