Arrethas Amoureux des Mondes Blancs.
Nombre de messages : 292 Age : 34 Style Littéraire : Héroic Fantasy Animal représentatif : Loup Passion : La lecture, le patin à glace, l'ordi, les concerts de métal et rêver Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: Les forêts d'Opales Lun 23 Avr - 20:29 | |
| Un de mes écrits qui datent de quelques mois Chapitre 1 - Citation :
Areck n'était pas un adolescent comme les autres, il ne sortait pas le soir comme les autres adolescents de son âge, jamais il n'est allé faire la fête avec d'autre adolescent. Il passait ses journée dans sa chambre allongé sur son lit à lire des romans de fantasy. Il n'avait pas d'autre passions que celle de se perdre dans les histoire qu'il lisait.
Le seul endroit q'il aimait fréquenté était la boutique d'un vieux libraire. Une petite boutique, mais qui pour lui était un endroit où se perdre dans des histoires plus épiques les unes que les autres. Un jour alors qu'il revenait du lycée, il passa devant la petite librairie. Prit d'une impulsion, il rentra à l'intérieur. Il avança parmi les rayons, le regard attiré par les ouvrages qui se trouvaient là. Il sortit d'un rayon, et vit que la porte de la réserve était entre ouverte. Il avait toujours était attiré par cette porte. Mais jamais elle n'était ouverte. Il se dit que si elle était ouverte c'été parce que le vieux libraire était à l'intérieur. Il commença à s'avancer vers la porte, la peur d'être découvert lui nouait l'estomac, mais sa curiosité l'emporta sur sa peur. Il continua d'avancer, se rapprochant de plus en plus de la porte. Puis il fut sur le pas de la porte, il glissa sa tête dans l'entrebâillement de la porte, attendant le moment où il allait être découvert. La pièce était noire, sauf à un endroit où une chandelle éclairait un pupitre.
Il s'avança lentement vers le pupitre, heurtant un bon nombre d'objet dans la pièce. Puis il vit la couverture d'un livre, il resta ébahi devant la beauté de cet ouvrage. La couverture était faîte dans un vieux parchemin, mais on voyait toujours nettement une écriture qui pourtant avait l'air très ancienne. Le titre écrit en or attira son regard.
Les Forêts d'Opales
Il posa la main sur la reliure, et fut étonné par la chaleur que dégageait l'ouvrage. Il ne put s'empêcher de l'ouvrir, et sur la première page, un message était écris.
Voici la légende des forêts d'Opales.
Elle fut écrite par la main de ceux qui ont été oubliés.
Dans ce livre, une vérité te sera révélé.
Mais cette vérité à un prix, celui du courage et de la volonté.
Pour survivre à cette histoire, deux indices je vais te donné.
Premièrement, ne regarde pas la surface des choses, ce que l'oeil montre, n'est souvent que le faux.
Deuxièmement, chaque promesse et chaque vie est précieuses, bafoue une seul de ses conditions et longue sera ton agonie.
Maintenant si tu te sens près, ta destinée peut être créé.
Après avoir lu ces lignes, Areck tourna la page. Soudain, il sentit une chaleur étrange l'enveloppé, et l'instant d'après, il sombra dans le néant. Son corps se faisant aspiré au coeur du livre. Puis le livre se referma tout seul. Et si une personne rentrait à ce moment, jamais elle n'aurait su qu'il s'était passé une chose étrange dans cette pièce.
Chapitre 2 - Citation :
Pendant ce temps, Areck étaient transporté au cœur de l’histoire. Il était toujours endormi lorsqu’il arriva dans ce monde.
Au même moment, un chasseur qui s’étaient levé tôt ce matin, était parti dans la forêt pour chasser le cerf. Il se déplaçait furtivement, contre le vent pour que le cerf ne sente pas sa présence, puis il arriva dans une clairière, là aux beau milieu, il vit un jeune homme allongé nu dans l’herbe. Il s’approcha doucement, puis se mit à genoux aux côté du jeune homme. La poitrine de l’adolescent se soulevait régulièrement, prouvant qu’il n’était pas blessé. Le chasseur enleva son gilet et le passa autour de la poitrine de l’adolescent pour le réchauffer. Puis il le prit dans ses bras et l’emmena dans sa cabane. Lorsqu’il fut entré dans la cabane, il déposa doucement l’adolescent devant l’âtre de la cheminée où brûlait un feu, la chaleur enroba le corps de l’adolescent. Le chasseur ensuite alla se préparer une soupe pour pouvoir déjeuner. Pendant qu’il préparait sa soupe, il regardait l’adolescent pour voir si il commençait à se réchauffer. La journée passa sans qu’il n’y ait ni d’amélioration, ni de complication. Puis vint la nuit, le chasseur partit se coucher, puis il s’endormit d’un sommeil paisible. Quand soudain au cours de la nuit, il entendit un bruit sourd, il se leva et alluma une chandelle. Il vit le jeune homme étalé par terre. Il s’avança vers l’âtre où le feu était presque éteint, il rajouta quelque bûche dans le feu pour le faire revivre, ensuit il se dirigea vers le jeune homme et le releva. Lorsqu’il le regarda, il vit une lueur de peur s’allumer dans ses yeux. Il resta bloqué devant ce regard, puis le jeune homme se dégagea et s’éloigna de lui. On pouvait voire la peur inscrite sur son visage. Le chasseur quand à lui alla s’asseoir sur une chaise devant la table. Puis d’une voix calme, il s’adressa au jeune homme
«-Viens t’asseoir mon garçon»
Le garçon toujours apeuré ne fit pas un pas, et d’une voix presque hystérique s’adressa au chasseur
«-Qui… qui êtes vous? Qu… Qu’est ce que je fais ici?
-Je m’appelle Harran mon garçon, je suis un chasseur et tu es ici dans ma demeure. Je t’ai trouvé allongé au milieu d’une clairière, tu étais plongé dans un profond sommeil et complètement nu. Je t’ai ramené chez moi pour que tu te réchauffe avec le feu. Je te conseille de mettre les vêtements que j’ai déposé pour toi près de la cheminé, ce sera plus décent.»
Le jeune homme se dirigea avec prudence vers la cheminée et tout aussi prudemment s’habilla. Il se battit quelque minute pour enfiler les hauts de chausses et les chausses mais cinq minutes après, il fut habillé. Il se dirigea vers la table et s’assit en regardant le chasseur.
«- Je m’appelle Areck, quel est ce endroit?»
La peur avait déserté son visage remplacé par la curiosité qui l’habitait
«-Ceci est ma maison, elle st situé dans la plus petite des dix forêts d’opales qui sont regroupés en un royaume appelé le Royaume d’Opales.
- Vous avez dit les Forêts d’Opales?
- Oui c’est bien ce que j’ai dit. Pourquoi, cela te pose un problème?
- Avant que vous ne me trouviez, j’ai ouvert un livre intitulé les Forêts d’Opales, j’ai tourné la première page, il y avait un message écrit, je ne me rappelle plus exactement ce qu’il dit puis j’ai tourné la page et puis plus rien, le vide complet jusqu’à ce que je me réveille dans cette maison.
- En tout cas, tu vas rester ici quelque jour ne serait ce que pour te reposer, et peut être que tu pourrais rester plus longtemps.
- Merci c’est gentil de me le proposer, mais je ne veut pas vous déranger.
- Tu ne me dérangera en rien mon garçon, ma femme est morte il y a de nombreuses années et ma fille est partit en ville ouvrir une taverne. Maintenant tu devrait aller dormir, prend le lit, je resterai sur la chaise. Et demain, on parlera.
Areck se leva et alla se coucher, trouvant cette histoire bizarre. Il s’endormit d’un sommeil sans rêves, espérant qu’il n’avait que rêver, mais au fond de lui, il sut que ce n’était que la réalité
Je comptais la continuer, mais je n'ai ni le temps ni l'envie, j'ai commencé à l'écrire avant de sombrer dans les ténèbres | |
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Medhiv Bavard du Kom Turgo.
Nombre de messages : 50 Age : 35 Style Littéraire : (ex)Uni 24, ex-modérateur des guerres... Animal représentatif : Le Dragon Passion : Lecture, écriture, ami(e)s, sports... Date d'inscription : 27/03/2007
| Sujet: Re: Les forêts d'Opales Lun 23 Avr - 20:50 | |
| L' histoire en elle même est très intéressante, bien ficelée et le suspense y est présent. Mais ce qui me gène dans ta lecture, c'est la mise en page qui est dérangeante, et surtout les répétitions. Ces dernières gâchent complètement ton récit et sa lecture en devient lassante et pénible à la longue. Je pense que tu devrais réécrire ton histoire sans les répétions, elle sera alors encore plus plaisante. PS: On veut une suite! | |
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