La Communauté

Bonjour Mesdames et messieurs, c'est votre envoyé spécial en direct de l'académie qui vous parle.
S'il vous plaît n'éteignez pas votre poste, pour une fois lejournal a quelques chose d'intéressant à dire.





Oui donc, nous couvrons aujourd'hui une évènement de la plus haute envergure, de la plusgrand importance de...
Enfin une truc cool, Mido est enfin Gardien Sacré... petite nouvelle qui réjouis tout nos habitants..










Hum désolé pour cette interruption, comme je suis un envoyé spécial très très spécial...Et bien oui figurez vous que j'ai un sourire ultra-blanc et ce ci grâaaace a ....






Donc je vais maintenant réaliser une interview de la plus haute envergure, de la plus grand importance de...Enfin une truc cool, je vais rejoindre votre ancien gardien sacré Astriiiiel!

..Email-perdant, le dentifrice des loosers, pour les loosers..

***

Journaliste un tantinet béta: Bonjour cher Astriel, Alors il parait que vous avez abandonné vos fonctions de gardien?

Astriel: chalut, oui, faut bien changer un peu dans la vie. Celui qui ne change pas de métier de nos jour est soit un passionné, soit quelqu'un qui n'a pas su
saisir sa chance

Journaliste un tantinet béta:ah et vous êtes donc content ?

Astriel: Ben oui...place aux jeunes quoi.

Journaliste un tantinet béta:et qu'est-ce que vous allez devenir ?

Astriel: Et bien, on verra, pour l'instant rédacteur du journal et mascotte c'est déjà beaucoup de boulot vous savez. XD

[i]Il y a un coup de vent et toutes les fiches du journaliste s'envolent...


Journaliste un tantinet béta:tout péteux parce-qu'il a perdu ses fiches: euh...hum..euh..désolé mais envoyééé la pub!

Astriel : Tiens il fait plus son kéké maintenant qu'il à plus ses fiches... (quoique...) -_-' * ronchonne *






Oui, donc après cette intermède musical.. euh vidéo nous allons nous rendre a la tente de monsieur Mido dans l'espoir que celui-ci nous accorde uninterview.





Journaliste un tantinet béta:mais qui a retrouvé ses fiches: Bonjour, enfin bonsoir monsieur Mido, pourrais-je vous poser quelques questions ?

Mido: Vas y ( avec un sourire ) Je suis là pour ça ( clin d'oeil )

Journaliste un tantinet beta:d'accord très bien, donc voici la première question est-ce que vous êtes content d'occuper ce poste privilégié ?

Mido: Eh bien oui, forcément, c'est un honneur qu'on me fait, surtout pour mon âge ( sourire ) Mais je suis très heureux, et je compte bien assurer..

Journaliste un tantinet béta:quelle pensée avec vous pour votre prédécesseur Astriel ?

Mido: Qu'ilaille manger de la pâtée, c'est principalement pour ça je crois qu'il a arrêté ... Ou pour pouvoir plus dormir.. Vous pourrez lui demander ( sourire)

Journaliste un tantinet beta: Quel est concrètement votre rôle ? à part manger du pâté vous aussi ..

Mido: Mon rôle ? Eh bien je vais m'occuper des bienveillants principalement. Ces fainéants n'ont qu'à bien se tenir ! Je ne compte pas les laisser
tranquilles ! Il faudra qu'ils bossent, sinon j'emprunte le fouet de Elvia !!!

Journaliste un tantinet beta qui va se " défféquer" dessus ^^: et bien...euh...cher Mido sur ce je vais vous laisser aux festivité bonne soirée et a vooooous les studio's!!!

Encore un réveil de plus, depuis le temps que je ne les compte plus...mon enfance déjà, puisqu'il ne me venait pas à l'esprit que l'on puisse être capable de compter. Et puis qu'elle utilité, quand on arrive même pas à mettre deux pieds l'un devant l'autre sans trébucher, par manque d'équilibre.

Après une bonne douche, un petit déjeuner express, toujours, certes, je ne suis pas un exemple à ce niveau là, puis je sort, armée d'un bataillon d'idée sur la journée, de quelques appréhension et a priori, entre autres...

Il fait beau dehors, alors, que tout autour d'Aëringor, les nuages montrent à quelle point leur colère est noire, et que leur mère, la tempête les poussent à faire parler les gouttes. Et devant cette vision irréelle de la réalité matinale qui siège sur l'Académie, je me dis que celle-ci est sous une bonne étoile, ou alors qu'une quelconque magie se joue de la nature et de ses lois. Enfin bref, que ce soit l'un où l'autre, l'important est pour le moment, ce rendez-vous que m'a donner le Vagabond.

Je lève la tête, regarde l'heure sur l'horloge, dominant la Place Blanche et le Quartier de la Ville Moyenne. Aussi, me trouvant dans la Ville Haute je me dirige vers cette haute tours décrivant le cours du temps.

Quelques dizaines de secondes me suffisent, volant en rase motte, de me retrouver devant l'escalier centrale, joignant Ville Haute et Ville Moyenne. Là, où je vois sa silhouette, l'interview va enfin pouvoir débuter. Une excitation particulière m'envahit, mais je calme mes ardeurs, et reste serein.

Je me dirigeai donc vers le personnage, les questions se mélangeant dans ma tête, l'âme quelque peu en émoi face aux réponses à venir sur cette histoire. Nous restâmes un moment sans rien nous dire sur ces escaliers. Puis, rompant ce silence dérangeant je me lançai dans la soupe.

- Bien le bonjour, le Vagabond, je suis donc venu à votre invitation pour votre interview, j'espère ne pas vous avoir trop fait attendre. J'ai eu quelques problèmes avec quelques courriels importants.

Retirant sa pipe de sa bouche, il respira une bouffée d'air frais avant de répondre :

- Je vous en prie, c'est à moi de m'excuser d'abuser de votre temps libre que je suppose aussi rare que précieux...

- J'ai trouvé le temps pour endosser ma veste de journaliste, voilà tout. Je n'aurais peut être pas du la prendre d'ailleurs, contrairement aux contrées environnante, ici il fait chaud, pas un nuage...

- Comme quoi il y a bien un endroit où le Soleil parvient à percer ...

- Pas faux. Bon, passons en aux choses pour lesquelles nous sommes ici voulez vous ?

Je lui adressai un sourire sincère, avide de savoir ce qu'il en adviendrait. Je posai ma veste sur les marches, sur le côté, pour ne déranger personne, quoique , à cette heure ci, personne ne foulait le quartier de ses pieds, à part nous deux.

Il se tut quelques instants, son regard se perdit au loin, pour revenir subitement à la réalité. Il éteignit sa pipe, la rangea dans la poche intérieur de son vaste manteau rouge, avant de reprendre :

- Mais je vous en prie cher Gardien.

- Vous n'êtes pas sans oublier les différents heurts qui y a eut au sein de l'Académie, entre les problèmes liés à l'école, les multiples départs de membres, certains ayant une position importante dans le Staff, ainsi que de tensions persistantes entre certains membres du Staff, voir même certains membres n'en faisant pas partie. Et les vacances estivales n'ont pour ainsi dire pas arrangé grand chose,...Bref, un vrai méli mélo. Alors, pourquoi, en toute simplicité, avoir demander à une interview comme celle ci ? Quelle sont vos motivations pour agir ainsi, et quelque part risquer de prendre le chapeau ?

- Demander une telle interview, simplement pour tout d'abord poursuivre un dialogue entamé à la suite des "évènements" s'étant déroulés, mais aussi pour m'excuser auprès de l'Académie, de sa communauté et de ses Doyens . Ensuite, je ne risque pas de porter le chapeau, puisque j'ai déjà avoué mes actes (chose voulue), donc je ne peux risquer de porter un chapeau que je porte déjà... Mais ce qui me motive ici, c'est bien de clarifier certaines choses qui ne semblaient l'être réellement.

- Bien entendu, mais agir ainsi, toute raison valable et honorable soit-elle, aurait pu être bien plus mal reçu si vous voyez ce que je veux dire.

- Oui sans aucun doute. Cependant, y-aurait-il eut un réel dialogue si quelque chose d'aussi grave ne s'était produit ? Je ne suis pas totalement certain... De plus, comme vous l'aviez vous-même très justement indiqué, à défaut d'être une bonne chose , cela aura servi à faire réagir...

- C'était le but d'une telle manoeuvre je présume, sinon à quoi bon se risquer de faire une chose qui vous fera défaut par la suite ? Enfin, bref, passons déjà à un petit point que je penses essentiel, sur la chronologie des faits. Je veux dire, pour clarifié ce que vous avez fait. Aviez vous prévu de faire ainsi avant d'avoir accès à l'un des comptes administrateurs ? Comment avez vous eut accès au compte administrateur ? Des questions parmi tant d'autres, je vous laisses la suite.

- Alors tout s'est très rapidement déroulé... J'ai obtenu les accès par "chance" devant m'occuper du compte Ogame de notre cher Doyen. par simple curiosité, j'ai voulu tenté en Aëringor, voir si les pass étaient les même. A ma grande surprise, ce fut le cas... Un acte loin d'être prémédité donc, et assez imprévu... Par la suite, il m'était assez simple de "prendre le contrôle" ainsi..

- Je vois, et quand vous est venu cette idée de vouloir donner un coup de pied dans la fourmilière si je puis dire ?

- Lorsque j'ai vu certaines choses privées m'indiquant que le dialogue risquait ou était plus ou moins à long terme d'être menacé dans les hautes sphères, dialogue qui s'il était rompu, risquerait grandement de causer beaucoup de mal à une Communauté qui ne le mérite pas.

- C'est donc cela qui vous à poussé à agir ainsi ?

- Disons que c'est "le verre qui a fait déborder le vase", et qui a sans doute énormément joué pour la suite oui

- Suite qui a effectivement permit de bouger les choses après ce remue ménage qui d'ailleurs se voulait très ciblé, alors pourquoi n'avoir joué qu'avec les droits des groupes, et les groupes de membres ? Alors qu'un faux pas aurait pu tout réduire à néant, le but n'était donc pas de viser bien et faire mal, mais juste chambouler assez les choses pour que cela bouge. Aviez conscience des risques ?
- J'avais conscience des risques, d'autant plus que je savais ce que je faisais... Je ne voulais absolument rien détruire, mais simplement empêcher d'agir ceux qui l'auraient pu, pour n'en citer qu'une seule, notre Doyenne Elvia... Aucun faux pas n'était possible, d'autant plus que j'avais tout de même gardé un bon nombre de sécurité de mon côté, pour être certain que tout ce qui était modifié pourrait être à l'avenir remis à la normal.

- Et pourquoi l'avoir fait, vous ? Mise à part le fait que vous en aviez la possibilité, ayant les codes d'accès.

- Qui d'autre que moi aurait pu faire exactement ce que je désirai faire sans rien faire d'irréparable ? De plus, je voulais que l'on sache que c'était de moi que venait un tel acte et pas d'une autre personne, je n'aime que peu faire prendre d'autres à ma place.

- Et regrettez vous quoique-ce soit ?

- Tout dépend pour qui je devrai regretter...

- C'est à dire ?

- Je ne regrette pas de répondre des mes actes de façons "pénale" loin de là. Je regretterai si le dialogue n'évolue pas après ceci... Et enfin, je regrette envers tout ceux m'ayant fait confiance, les Doyens en tête, auprès desquels je m'excuse publiquement, et enfin je m'excuse auprès de mes élèves, avec qui je ne pourrai peut-être plus exercer mon ancienne fonction, notamment auprès de Mido que je félicite pour son Diplôme ainsi qu'auprès de Zaliara, dont je souhaite sincèrement qu'elle l'obtienne, ne serai-ce que pour saluer son évolution considérable...

- Nous espérons aussi, que votre action aura servit à quelque chose, de manière concrète, à plus ou moins longue échéance. Mais, votre départ est-il irrévocable ? Alors que vous pourriez entretenir le dialogue et participer à faire évoluer les choses ? De plus, votre départ en chagrinerais plus d'un me semble-t-il.

- Mon départ est révocable, et il est d'ailleurs en voie de l'être... A ma grande surprise, notre Doyen mande toujours ma présence au sein des Bienveillants. Ensuite, mon but n'était pas réellement de participer au dialogue, bien qu'il m'intéresse grandement, mais d'au moins le faire naître...

- Je vois, mais tant qu'à le faire naître, autant faire poursuivre la flamme qui l'anime, ou du moins veiller à ce qu'elle ne s'éteigne pas. Et je ne suis pas surpris que vous êtes toujours mandés, pour diverses raisons que je penses, vous connaissez parfaitement. Et il serait triste de vous voir partir ainsi, sans retour. ne croyiez vous pas ? Il est bien beau de jouer aux chevaliers sombres permettant la mise en place d'une nouvelle ère, pour repartir dans l'oublie, loin des autres...mais mise à part la mise en scène très cinématographique, c'est aussi une bêtise selon moi, tintée d'une pointe d'égoïsme flagrante.

- Une bêtise possible, quant à un égoïsme, c'est certain en effet.

- Et puis, crever un peu d'orgueil ne fait pas tant de mal, quand vous savez ce que vous avez à gagner à rester, n'est-il pas ?

- L'orgueil ne mène qu'à l'enfermement sur soi. De plus, j'ai beaucoup à gagner en effet, car je prends toujours un grand plaisir à lire les diverses oeuvres présentes dans l'Académie. Le facteur humain tient aussi pour sa part une place prépondérante.

- Nous sommes d'accord, alors sachez ne pas faire une erreur que vous auriez à regrettez, pour vous même, et les autres. Hum ?

- Nous verrons cela dans les jours à venir, jours qui je le souhaite seront munis d'un ciel plus clément à l'avenir...

- Sûr, et ce sur tous les mondes du multivers...

Le soleil est désormais haut dans le ciel ,pas loin de son zénith, l'horloge parlante nous rappelle ô combien cette conversation à durée, puisque midi sonne déjà. Je me tourne vers un nid de crécerelles, les petits réclamant leur nourriture qui arrive dans la minute, depuis le bec paternel.

- Nous l'espérons tous, et y veillerons comme nous le pourront. Un dernier mot pour la fin de cette interview ?
Il sortit nerveusement sa pipe de son manteau, en observant à son tour l'heure déjà avancée . Il regarda tout autour de lui, pour esquisser l'ombre d'un sourire... Il commença à remplir sa pipe de tabac frais, puis lança :

- Cessons de nous battre entre-nous à l'avenir, et encore pardon pour les tords occasionnés... A présent, quelques paroles valent souvent mieux que les plus longs des discours.

Il gratta une allumette, sortie furtivement de son manteau, et embrassa sa pipe. Il fit quelques cercles de fumée, avant de conclure :


- Merci pour cet entretien, je vous souhaite une bonne journée, et espère vous revoir bientôt dans les couloirs de la cité ...

- Merci à vous aussi, en espérant que certaines paroles auront été entendues, comprises et que quelques points obscures des évènements de ces derniers mois auront été baigné d'une certaine clarté.

Je rangeai alors mon micro, mon job se voulait désormais terminer pour cette fois ci, job d'amateur peut être, mais job quand même.

- Allez, je vous invite à la Taverne du Paon. Vous n'allez quand même pas filer comme ça.

Avant de s'en aller, Le vagabond fut durement retenu par l'invitation de son intervieweur d'un jour. Il s'exclaffa quelque peu, avant de se retourner, l'air amusé :

- Je ne le puis pour l'instant, mais je vous promets de remettre cette occasion à plus tard, et je vous inviterai à mon tour cette fois-ci. Il faudra simplement m'indiquer votre boisson favorite...

- Très bien, vous avez intérêt à suivre vos paroles, sinon je vous asticoterais jusqu'à plus soif ! lui lançais-je avec humour, puis je finis la conversation en déclarant, ma boisson préférée ? L'hydromelait, ça coule de source. A la prochaine donc, et bonne journée à vous.

A peine arrivé au fameux batîment où va se dérouler le suivie de l' Aventure, je levais la tête pour admirer la finesse des briques constituant l' ensemble, des colonnes blanches, des portes scultées, des escaliers en marbre et tout le tralala Alexandrie-Alexandra et je trouvais tout cela magnifique.
Je m' avançais alors, le regard ébahie par l' imposant édifice et voilà que bam je rentre dans une charette la tête la première: 1 dégat, ça fait mal, -2 sagesse. Je retrouve dard-dard le propriétaire du dit véhicule, un vieux fermier moisie, m' explique avec lui et lui fiche un coup de calpin sur la tête. Il y en a qui pourraient penser à retirer leurs véhicules dangeureux devant un batîment que tout le monde regarde sans faire attention... Y' en a, je vous jure !

Bah quoi ?!

Votre fidèle serviteur, se calmant un temps soi peu, reprit alors ses esprits (grace à la flaque pleine de vin qu' il avait heureusement pensé à prendre) et s' avança vers l' édifice. Après avoir grimpé les escaliers de marbre, je frappais à la lourde et massive porte de bois. Aucune réponse...
Je me mit donc à frapper... frapper... frapper puis à cogner encore et encore... Non mais ! Qu' est-ce qu' ils font !!! EH ! Je frappais un peu plus fort, le visage rouge de colère et...
-AAAAÏÏÏÏÏEEEEEE !!!
Ne jamais, jamais taper avec force sur une porte massive en bois...
A ce moment apparut, sous mes yeux ébahis et pleins de larmes (oui, ça fait très mal...), un petit bouton alors qu' une brique pivotait sur son axe. J' appuie dessus, avec mon autre main... et la porte s' ouvre...
Je sais que l' on est au batîment des Jeux et de l' Aventure mais là, il y a des limites...

Je penètre dans les lieux plongés dans la pénombre... Autour de moi ce n' était que tables garnies de parchemins gribouillés, de plateaux de jeux, de maquettes, de dès, de livres tels que Créatures des Mondes Exterieurs, Les Terres Sauvages, Zouzou le Loup et Doudou le Lapin, Jeux de Rôle et Co, Sorciers Célèbres, etc...

Rien... Pas un bruit... L' ennemi guette... Mais le journaliste que je suis, courageux, fort, imposant, décida de s' avancer entre les ombres de la pièce...
Soudain, un bruit se fit entendre... Régulier, fort, rapide, et même, de plus en plus rapide... Etrange... De plus, il semblait accompagné d' une douleur sourde dans ma machoire...
-Et m***** ! Mes dents !
Arrêtant le claquement intempestif de ces dernières, je décidait d' aller droit vers la porte au fond...
Je fit un pas... Deux... Trois... Les tours et les cases s' enchaînaient sous mes pieds sans qu' un MJ sadique n' en décide autrement...
Et finalement, je me détendit, croyant échapper au danger...
Erreur !
Car, les dès, sortant de leur torpeur, vinrent se poster à mon insu sous mes pieds et VLAM ! Deux dégats, le compte y est, bosse de taille G. Je me suis alors relevé, ais prit en main mon calpin, suis retourné à la porte et, à travers, je l' ai balancé sur le paysan de tout-à-l' heure.
Ouf... Ca détend...

Après moults péripéties -notamment, avec une maquette de montagne, un coin de table, un pavé mal placé, un chandelier, un ours en peluche enragé et bien d' autre choses- je parvins enfin au bureau de Kyuden, Maître du Jeu...
Pratiquant souvent l' ouverture de portes de réserve de bière, je suis très bien placé pour pénétrer dans n' importe quel lieu (Ouverture des douches des filles, Mise en place de caméras pour voir la Doyenne se curer le nez, Pénétration Rapide des Tavernes les Jours de Fermeture, contactez-moi). Prenant alors une épingle à cheveux, je tentais de la faire rentrer dans la serrure... Damned ! Un chewin-gum coincé dans l' ouverture ! Les fourbes ! J' ai alors tenté par tout les moyens de l' arracher de là, faisant coller mes doigts et finalement, m' y prenant avec les dents, je réussit à passer l' obstacle...
Bam ! Une dalle tomba alors du plafond et me parvint sur le crâne. Quatre dégats et besoin d' une aspirine d' urgence. Voyant alors trouble ainsi qu' en triple, je m' acharnais sur la porte. Mais rien n' y fit. J' eus beau utiliser tout ce que j' avais dans mon sac, pinces, aiguilles, pied-de-biche, je fut finalement réduit à l' impuissance... Si près du but...
Anéantit, je fis, en un effort désespéré, un dernier geste: je poussais la porte...
Qui s ' ouvrit devant moi...


...Moment extrème de solitude...


Parvenant enfin au bureau de Kyuden, je pris un dossier qui était dessus sans que rien ne m' arrive (A part un combat acharné entre le coin du bureau et mon orteil...).
Projet Secret de la Nouvelle Aventure...
Je l' ouvris alors, dévoilant alors le secret que j' étais venu chercher, le calice de ma carrière, la récompense de mes douleurs, la lettre où était écrit: